PALAIS DE MRODJOU, 16 janvier 2014 - La reprise des cours dans les écoles est effective depuis mercredi 15 janvier, selon plusieurs source...
PALAIS DE MRODJOU, 16 janvier 2014- La reprise des cours dans
les écoles est effective depuis mercredi 15 janvier, selon plusieurs
sources.
L’intersyndicale a décidé cette reprise à l’issue d’intenses négociations menées par le commissariat à l’Education, le ministère de l’Education nationale avec l’appui de l’association des Maires de Ngazidja.
Le gouverneur de l’île autonome de Ngazidja qui suivait de très près la situation avait reçu à Mrodjou à plusieurs reprises les différentes parties ces derniers jours.
C’est ainsi que Mouigni Baraka avait eu des échanges à Mrodjou, mardi, avec le syndicat des enseignants, le Ministre de l’Education national, la Commissaire de l’Education de l’île de Ngazidja mardi 14 février . C'est à l'issue de cette rencontre la reprise des cours a été annoncée.
Les enseignants se sont montrés inflexibles de bout en bout, demandant que les avancements promis et ayant fait l’objet d’un accord signé par le ministre de l’Education deviennent effectifs à partir de ce mois de janvier.
Si les autorités de l’île et de l’Union sont d’accord sur le principe de mettre en œuvre ses avancements, elles font valoir qu’aucune décision de valorisation salariale ne pourra être prise avant que la commission mixte chargée d’éplucher les dossiers concernés ne rendent ses conclusions définitives.
Pour rappel, les enseignants, qui n’ont eu droit théoriquement à aucun avancement depuis 1998 en raison des gels des salaires issus des discussions avec les institutions de Bretton Woods, réclament une amélioration de leur traitement qui prendrait en compte l’ancienneté.
A la rentrée, le ministère de l’Education nationale a donné son accord de principe pour faire accorder des avancements à ceux qui en ont droit. Mais l’analyse de leurs documents personnels a soulevé de nouveaux problèmes inattendus : des références douteuses pour certains, des surclassements pour d’autres etc….
L’intersyndicale a décidé cette reprise à l’issue d’intenses négociations menées par le commissariat à l’Education, le ministère de l’Education nationale avec l’appui de l’association des Maires de Ngazidja.
Le gouverneur de l’île autonome de Ngazidja qui suivait de très près la situation avait reçu à Mrodjou à plusieurs reprises les différentes parties ces derniers jours.
C’est ainsi que Mouigni Baraka avait eu des échanges à Mrodjou, mardi, avec le syndicat des enseignants, le Ministre de l’Education national, la Commissaire de l’Education de l’île de Ngazidja mardi 14 février . C'est à l'issue de cette rencontre la reprise des cours a été annoncée.
Les enseignants se sont montrés inflexibles de bout en bout, demandant que les avancements promis et ayant fait l’objet d’un accord signé par le ministre de l’Education deviennent effectifs à partir de ce mois de janvier.
Si les autorités de l’île et de l’Union sont d’accord sur le principe de mettre en œuvre ses avancements, elles font valoir qu’aucune décision de valorisation salariale ne pourra être prise avant que la commission mixte chargée d’éplucher les dossiers concernés ne rendent ses conclusions définitives.
Pour rappel, les enseignants, qui n’ont eu droit théoriquement à aucun avancement depuis 1998 en raison des gels des salaires issus des discussions avec les institutions de Bretton Woods, réclament une amélioration de leur traitement qui prendrait en compte l’ancienneté.
A la rentrée, le ministère de l’Education nationale a donné son accord de principe pour faire accorder des avancements à ceux qui en ont droit. Mais l’analyse de leurs documents personnels a soulevé de nouveaux problèmes inattendus : des références douteuses pour certains, des surclassements pour d’autres etc….