Les exécutions sommaires en Corée du Nord sont régulières. Mais là, le jeune numéro un, Kim Jong-Un, aurait littéralement dépassé les limit...
Les exécutions sommaires en Corée du Nord sont régulières. Mais là, le jeune numéro un, Kim Jong-Un, aurait littéralement dépassé les limites de l'horreur. Il aurait ordonné que son oncle, Jang Song-Thaek, 67 ans, soit dévoré par une horde de chiens affamés.Cette affaire a créé une onde de choc dans le monde entier, selon le journal Asiareport qui relate les faits d'une incroyable brutalité.
Des faits à prendre avec des pincettes comme toutes les informations venues de Corée du Nord, une dictature qui joue avec son image de brutalité. Un blogueur bien informé du Washington Post a rapidement démonté ces faits en mettant notamment en avant le fait qu'aucun média sud-coréen ou chinois n'ait relayé cette information parue pour la première fois dans un journal hong-kongais début décembre.
D’après le rapport, contrairement aux exécutions précédentes de prisonniers politiques qui ont été menées par des pelotons d’exécution avec des mitrailleuses, Jang aurait été déshabillé et jeté dans une cage, avec ses cinq plus proches collaborateurs. Ensuite, 120 chiens, affamés pendant trois jours, auraient été lâchés pour chasser leurs proies jusqu’à ce qu’elles soient complètement dévorées. C’est ce qu’on appelle « quan jue », ou l’exécution par des chiens.
L'exécution suivie en direct par le leader suprême
Il semblerait toujours selon ce rapport que l'exécution ait duré une heure et qu'elle ait été suivie en direct par le leader suprême Kim Jong Un et 300 autres membres officiels.Jang Song-Thaek, oncle par alliance du jeune dirigeant Kim Jong-Un, a été arrêté, jugé lors d'un procès express et exécuté le 12 décembre, accusé de complot et de corruption. L'oncle du dirigeant nord-coréen et officieux numéro deux du régime a été exécuté parce qu'il tentait de prendre le contrôle des très lucratives exportations de charbon, a avancé lundi le chef des renseignements sud-coréens
Jang Song-Thaek, 67 ans, a servi de mentor à Kim Jong-Un lorsqu'il a pris la succession de son père Kim Jong-Il décédé en décembre 2011. Kim Jong-Un, âgé d'une trentaine d'années, ne semble avoir aucun problème dans le contrôle du pouvoir, deux ans après son arrivée à la tête du pays. L'exécution expresse de ce très haut responsable, fait politique le plus notable en Corée du Nord depuis l'arrivée au pouvoir de Kim Jong-Un, a entraîné une purge dans le cercle des proches de l'homme tombé en disgrâce.
La Corée du Nord, pays communiste dirigé d'une main de fer par la dynastie des Kim depuis 60 ans, est coutumière de déclarations guerrières mais l'éviction de Jang Song-Thaek et de sa garde rapprochée inquiète les Etats-Unis et la Corée du Sud.
leParisien.fr
Des faits à prendre avec des pincettes comme toutes les informations venues de Corée du Nord, une dictature qui joue avec son image de brutalité. Un blogueur bien informé du Washington Post a rapidement démonté ces faits en mettant notamment en avant le fait qu'aucun média sud-coréen ou chinois n'ait relayé cette information parue pour la première fois dans un journal hong-kongais début décembre.
D’après le rapport, contrairement aux exécutions précédentes de prisonniers politiques qui ont été menées par des pelotons d’exécution avec des mitrailleuses, Jang aurait été déshabillé et jeté dans une cage, avec ses cinq plus proches collaborateurs. Ensuite, 120 chiens, affamés pendant trois jours, auraient été lâchés pour chasser leurs proies jusqu’à ce qu’elles soient complètement dévorées. C’est ce qu’on appelle « quan jue », ou l’exécution par des chiens.
L'exécution suivie en direct par le leader suprême
Il semblerait toujours selon ce rapport que l'exécution ait duré une heure et qu'elle ait été suivie en direct par le leader suprême Kim Jong Un et 300 autres membres officiels.Jang Song-Thaek, oncle par alliance du jeune dirigeant Kim Jong-Un, a été arrêté, jugé lors d'un procès express et exécuté le 12 décembre, accusé de complot et de corruption. L'oncle du dirigeant nord-coréen et officieux numéro deux du régime a été exécuté parce qu'il tentait de prendre le contrôle des très lucratives exportations de charbon, a avancé lundi le chef des renseignements sud-coréens
Jang Song-Thaek, 67 ans, a servi de mentor à Kim Jong-Un lorsqu'il a pris la succession de son père Kim Jong-Il décédé en décembre 2011. Kim Jong-Un, âgé d'une trentaine d'années, ne semble avoir aucun problème dans le contrôle du pouvoir, deux ans après son arrivée à la tête du pays. L'exécution expresse de ce très haut responsable, fait politique le plus notable en Corée du Nord depuis l'arrivée au pouvoir de Kim Jong-Un, a entraîné une purge dans le cercle des proches de l'homme tombé en disgrâce.
La Corée du Nord, pays communiste dirigé d'une main de fer par la dynastie des Kim depuis 60 ans, est coutumière de déclarations guerrières mais l'éviction de Jang Song-Thaek et de sa garde rapprochée inquiète les Etats-Unis et la Corée du Sud.
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