Des personnes venues rendre hommage à l'ancien président continuent d'affluer près de sa maison de Johannesburg, bien que son corps...
Des personnes venues rendre hommage à l'ancien président continuent d'affluer près de sa maison de Johannesburg, bien que son corps n'y repose plus.Quelques centaines de personnes chantaient et dansaient toujours vendredi matin devant la maison de Nelson Mandela à Johannesburg, bien que le corps de l'ex-président décédé jeudi soirait été transféré vers un hôpital militaire de Pretoria. Des familles, des couples, certains avec des appareils photo, d'autres avec des fleurs, continuaient d'affluer dans la matinée. Des femmes reprenaient en dansant des chants de l'époque de la lutte anti-apartheid, accompagnées par des choeurs improvisés de Sud-Africains portant des tenues jaune et vert, les couleurs de l'ANC, le parti au pouvoir. Beaucoup chantaient le poing levé.
"Mandela yo, Mandela yo. Réveillez-vous, réveillez-vous, Madiba veut des soldats, ne dormez pas", disait l'un de ces chants, en langue pedi, l'une des 11 langues officielles d'Afrique du Sud. Entre les chants, le silence du deuil reprenait ses droits. "Il a sauvé nos âmes", a dit à l'Agence France-Presse James Mc Cormack, un homme blanc de 45 ans, venu avec sa fille : "Il n'y a personne maintenant pour rendre ce pays meilleur, sauf nous-mêmes."
Dès l'annonce du décès tard jeudi soir, la rue avait été investie par quelques centaines de personnes venues rendre hommage au héros, mort dans sa maison d'un quartier chic de Johannesburg. Selon la radio publique, le corps a été transporté en fin de nuit vers Pretoria, la capitale, où doivent avoir lieu les funérailles, à une date qui n'a pas encore été communiquée.
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"Mandela yo, Mandela yo. Réveillez-vous, réveillez-vous, Madiba veut des soldats, ne dormez pas", disait l'un de ces chants, en langue pedi, l'une des 11 langues officielles d'Afrique du Sud. Entre les chants, le silence du deuil reprenait ses droits. "Il a sauvé nos âmes", a dit à l'Agence France-Presse James Mc Cormack, un homme blanc de 45 ans, venu avec sa fille : "Il n'y a personne maintenant pour rendre ce pays meilleur, sauf nous-mêmes."
Dès l'annonce du décès tard jeudi soir, la rue avait été investie par quelques centaines de personnes venues rendre hommage au héros, mort dans sa maison d'un quartier chic de Johannesburg. Selon la radio publique, le corps a été transporté en fin de nuit vers Pretoria, la capitale, où doivent avoir lieu les funérailles, à une date qui n'a pas encore été communiquée.
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