Le crime contre la démocratie, entretenu et reconnu par Ahmed Sambi ! Comme thème dans nos médias sociaux. Après la reconnaissance par...
Le crime contre la démocratie, entretenu et reconnu par Ahmed Sambi ! Comme thème dans nos médias sociaux.
Après la reconnaissance par Ahmed Sambi, du crime qu'il a commis contre la démocratie comorienne, crime qu'il a avoué à Mohamed Saïd Fazul : en 2010 « Je t'ai privé injustement de ton élection et de ton mandat, pour Ikililou Dhoinine ».
Quelles mesures dissuasives s’imposent à nous ?
Un débat musclé doit être mené dans nos réseaux sociaux. Le but est de trouver les mesures dissuasives qui s’imposent
Mrimdu lance un appel urgent à nos médias sociaux, car le besoin est très pressent. Un débat musclé doit être mené dans nos réseaux sociaux, dans le but est de trouver les mesures dissuasives qui s’imposent. {L’inéligibilité est devenue automatique pour Ahmed Sambi qui ne peut plus devenir : « ni maire d'une ville, ni député, ni gouverneur encore moins président de la république »}.
Cette délinquance contre la démocratie empêche inévitablement à notre ancien président Ahmed Sambi « de parler au nom de la démocratie », car après tout il est devenu « l’ennemi N°1 de la démocratie aux Comores », cet homme a vraiment du culot quand il ose parler de démocratie n'est ce pas ? il se trouve qu’en ce moment « Une sommation interpellative est adressée à Mohamed Said Fazul, pour lui persuader à faire un démenti formel aux propos que l’aurait dit Ahmed Sambi : en 2010 « Je t'ai privé injustement de ton élection et de ton mandat, pour Ikililou Dhoinine ». Alors « Un démenti formel tombera quelques heures après la publication de cet article ? » Je ne sais qu'une chose : Ceux qui connaissent Fazul, disent qu’on peut lui reprocher de tout sauf, « le statut d’un menteur récidive », à moins que les mensonges d’Ahmed Sambi soient contagieux. A suivre…
Devenus heureusement une partie indissociable, naturelle, et spontanée de notre vie quotidienne, nos réseaux sociaux ont désormais un mot à dire face aux criminels de la démocratie, une démocratie que nous aimons tous.
Que ce passera-t-il si nos réseaux sociaux ne se mobilisent pas sur ce sujet ?
Qu’on ne s’étonne pas ensuite que le discrédit de la démocratie s’étende dans notre pays, que le débat soit muselé et que, par temps des récidives crimes politique économique et démocratique deviennent la règle ; Que des organes élus: députés, gouverneurs et président, restent sourds aux revendications qui montent de toutes part et que les criminels politique économique et démocratique, réapparaissent …
Vous criminels de la démocratie, inquiétez-vous...