Merci Sambi. Voilà le nouveau site que viennent de lancer les partisans de l'ex-président. Je vous invite à le visiter. Vous vous ap...
Merci
Sambi. Voilà le nouveau site que viennent de lancer les partisans de
l'ex-président. Je vous invite à le visiter. Vous vous apercevrez que la
modestie est loin, très loin d'être le point fort de ces griots d'une
idéologie déclinante et dangereuse, le sambisme.
Mais, diable, pourquoi tout ce tapage médiatique? La réponse est claire: ce dernier carré des Sambistes (la plupart ont quitté le navire avec armes et bagages) cherchent tout simplement à réhabiliter un homme aux abois, à nous revendre une marchandise périmée et à recycler une pensée dont les effets néfastes font aujourd'hui l'unanimité de tous.
Comme si, entre 2010 et 2013, les Comoriens étaient subitement devenus amnésiques ou atteints par la maladie d'Alzheimer ! L'une des erreurs de Sambi est justement d'avoir cru que le peuple comorien n'était rien qu'une bande d'abrutis, auquel il pouvait raconter des salades et autres balivernes à longueur de journée. Innocemment.
L'un des premiers articles du site fait d'ailleurs l'apologie de la ''verve'' de l'ancien président qui aurait ''réussi là où tous les présidents africains ont échoué" (sic). Il est des louanges qui sonnent parfois comme une insulte!
Voici la triste réalité du bilan de Sambi: durant cinq ans, il a abusé de la confiance du peuple qui, naïf comme il l'a toujours été, continuait à croire à son discours et à ses envolées lyriques contre le système. De toutes ses promesses, il n'en a tenu aucune, sinon une: celle d'avoir fait ''voir aux Comoriens quelque chose qu'ils n'avaient jamais vu jusque-là'' (tsona trongo mwa tsuparo wona) : la cession des Comores à des affairistes arabes, Bashar and Co et la généralisation de la corruption à tous les étages de l'administration. Je vous fais délibérément l'économie de ces projets annoncés à grand renfort de publicité et qui n'ont jamais connu le moindre début de commencement.
Et au lieu de raser les murs, le temps que les Comoriens oublient ce lourd héritage, l'ancien président, toujours égal à lui-même, se rappelle à notre mauvais souvenir. Merci Sambi de nous...laisser un p'tit peu nous remettre de nos émotions!
Mais, diable, pourquoi tout ce tapage médiatique? La réponse est claire: ce dernier carré des Sambistes (la plupart ont quitté le navire avec armes et bagages) cherchent tout simplement à réhabiliter un homme aux abois, à nous revendre une marchandise périmée et à recycler une pensée dont les effets néfastes font aujourd'hui l'unanimité de tous.
Comme si, entre 2010 et 2013, les Comoriens étaient subitement devenus amnésiques ou atteints par la maladie d'Alzheimer ! L'une des erreurs de Sambi est justement d'avoir cru que le peuple comorien n'était rien qu'une bande d'abrutis, auquel il pouvait raconter des salades et autres balivernes à longueur de journée. Innocemment.
L'un des premiers articles du site fait d'ailleurs l'apologie de la ''verve'' de l'ancien président qui aurait ''réussi là où tous les présidents africains ont échoué" (sic). Il est des louanges qui sonnent parfois comme une insulte!
Voici la triste réalité du bilan de Sambi: durant cinq ans, il a abusé de la confiance du peuple qui, naïf comme il l'a toujours été, continuait à croire à son discours et à ses envolées lyriques contre le système. De toutes ses promesses, il n'en a tenu aucune, sinon une: celle d'avoir fait ''voir aux Comoriens quelque chose qu'ils n'avaient jamais vu jusque-là'' (tsona trongo mwa tsuparo wona) : la cession des Comores à des affairistes arabes, Bashar and Co et la généralisation de la corruption à tous les étages de l'administration. Je vous fais délibérément l'économie de ces projets annoncés à grand renfort de publicité et qui n'ont jamais connu le moindre début de commencement.
Et au lieu de raser les murs, le temps que les Comoriens oublient ce lourd héritage, l'ancien président, toujours égal à lui-même, se rappelle à notre mauvais souvenir. Merci Sambi de nous...laisser un p'tit peu nous remettre de nos émotions!
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