Après avoir purgé cinq ans de prison pour crime, Mouhamadou Gueye est égorgé par sa femme dans la nuit du 11 février. Celle-ci, n’arriv...
Après avoir purgé cinq ans de prison pour
crime, Mouhamadou Gueye est égorgé par sa femme dans la nuit du 11
février. Celle-ci, n’arrivant plus à supporter les sévices corporels que
ce dernier lui faisait subir pour cause de jalousie.
Mouhamadou Guèye a été égorgé par sa
femme dans la nuit du 11 février. Les vraies causes du problème restent
encore floues. Mais nous en retenons ceci. De sa cellule de prison où il
purgeait une peine de cinq ans pour crime, ce Sénégalais apprend la
triste nouvelle que sa femme le trompe avec un autre homme.
Le prix de la jalousie
Une rage qui lui ronge le cœur pendant toute sa détention. Une fois sorti de prison, Mouhamadou Guèye rejoint le domicile familial. Pris de jalousie, il garde toujours une dent contre sa femme âgée de 38 ans. Il la violente, la tabasse, la traite de prostituée. Il nie même être le père de son enfant « conçu pendant qu’il était en prison ».
La revanche
L’épouse ne supporte plus les accusations émises à son encontre. Elle tente de convaincre son mari âgé de 44 ans à plusieurs reprises qu’elle ne l’a jamais cocufié. Mais en vain. Elle passe à la vitesse supérieure. Dans la nuit du 11 février, elle prend l’absurde décision de tuer son mari. Ce qui est fait. Pendant que celui-ci est plongé dans un sommeil profond, elle saisit un couteau de gros calibre et commence à l’égorger. Prise de panique après son geste, elle alerte les sapeurs-pompiers.
Le mari est toujours en vie sur son lit, mais il est dans le coma et baigne dans le sang. Il est immédiatement transporté au service de réanimation de l’hôpital de Thiaroye, dans la banlieue de Dakar, la capitale sénégalaise. Son état est jugé très critique. Les médecins tentent de le sauver. C’est mission impossible. Mouhamadou meurt quelques minutes plus tard.
Femme infidèle ?
Sa femme est actuellement en détention à la gendarmerie. Elle est soumise aux interrogatoires.
Sa grossesse survenue pendant la détention de son époux crée la polémique. Certains disent que le voisin du couple qui vit à quelques mètres en est le responsable. D’autres confirment la thèse et ajoutent que les relations entre le voisin et la femme de Mouhamadou Guèye ne datent pas d’hier.
Mouhamadou est actuellement transféré à la morgue en attendant l’autopsie du légiste.
Par
Le prix de la jalousie
Une rage qui lui ronge le cœur pendant toute sa détention. Une fois sorti de prison, Mouhamadou Guèye rejoint le domicile familial. Pris de jalousie, il garde toujours une dent contre sa femme âgée de 38 ans. Il la violente, la tabasse, la traite de prostituée. Il nie même être le père de son enfant « conçu pendant qu’il était en prison ».
La revanche
L’épouse ne supporte plus les accusations émises à son encontre. Elle tente de convaincre son mari âgé de 44 ans à plusieurs reprises qu’elle ne l’a jamais cocufié. Mais en vain. Elle passe à la vitesse supérieure. Dans la nuit du 11 février, elle prend l’absurde décision de tuer son mari. Ce qui est fait. Pendant que celui-ci est plongé dans un sommeil profond, elle saisit un couteau de gros calibre et commence à l’égorger. Prise de panique après son geste, elle alerte les sapeurs-pompiers.
Le mari est toujours en vie sur son lit, mais il est dans le coma et baigne dans le sang. Il est immédiatement transporté au service de réanimation de l’hôpital de Thiaroye, dans la banlieue de Dakar, la capitale sénégalaise. Son état est jugé très critique. Les médecins tentent de le sauver. C’est mission impossible. Mouhamadou meurt quelques minutes plus tard.
Femme infidèle ?
Sa femme est actuellement en détention à la gendarmerie. Elle est soumise aux interrogatoires.
Sa grossesse survenue pendant la détention de son époux crée la polémique. Certains disent que le voisin du couple qui vit à quelques mètres en est le responsable. D’autres confirment la thèse et ajoutent que les relations entre le voisin et la femme de Mouhamadou Guèye ne datent pas d’hier.
Mouhamadou est actuellement transféré à la morgue en attendant l’autopsie du légiste.
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