C'était un peu le match de la dernière chance. Lille n'a pas su la saisir et se retrouve encore un peu plus au-dessus du précipice....
C'était un peu le match de la dernière chance. Lille n'a pas su
la saisir et se retrouve encore un peu plus au-dessus du précipice.
Mardi, les Nordistes se sont inclinés face à un Bayern Munich
implacable. Les vice-champions d'Europe se sont imposés 1-0, sur un
penalty généreusement accordé à Philipp Lahm et transformé avec autorité par Thomas Müller
(20e). Lille n'a toujours pas ouvert son compteur et pointe à six
longueurs des trois autres pensionnaires du groupe F. Il reste trois
journées pour un exploit qu'on a du mal à imaginer au vu des prestations
continentales d'un LOSC perdu dans l'immensité de la Ligue des
Champions.
Battu sur la plus petite des marges, on aimerait dire que le LOSC est passé près et méritait mieux que cette troisième défaite européenne, intervenue après les revers concédés face au BATE Borisov (1-3) et à Valence (2-0). Mais franchement, il n'y a pas grand chose à redire. Parce que les coéquipiers de Sidibé, aligné à droite de la défense lilloise, n'ont pas su bousculer l'ogre de Bavière, qui a ouvert le score à la 20e minute sur une "faute" de Digne, qui a tenté de se rattraper après un tacle manqué. Il a légèrement, très légèrement, accroché Lahm dans la surface. Monsieur Atkinson a sifflé, Müller s'est exécuté. Avant le but du Bayern, le LOSC ne voyait pas beaucoup le ballon. Ça s'est un peu arrangé après la pause. Mais Manuel Neuer a passé une soirée relativement tranquille, sans aucun arrêt à effectuer.
Kalou à la rue
On ne peut pas dire que Mickaël Landreau ait croulé sous le travail non plus, mais le Bayern, en mettant le pied sur le ballon lors de la première période notamment, s'est acheté une tranquillité que quelques timides incursions lilloises n'ont pu mettre à mal. A son entrée en jeu, Mendes a mis de l'énergie et donné de l'allant à une équipe qui en manquait clairement, à l'image d'un Salomon Kalou complètement à la rue. Le Capverdien est entré trop tardivement pour tirer le LOSC du bourbier dans lequel il s'est un peu plus enfoncé mardi soir.
Battu sur la plus petite des marges, on aimerait dire que le LOSC est passé près et méritait mieux que cette troisième défaite européenne, intervenue après les revers concédés face au BATE Borisov (1-3) et à Valence (2-0). Mais franchement, il n'y a pas grand chose à redire. Parce que les coéquipiers de Sidibé, aligné à droite de la défense lilloise, n'ont pas su bousculer l'ogre de Bavière, qui a ouvert le score à la 20e minute sur une "faute" de Digne, qui a tenté de se rattraper après un tacle manqué. Il a légèrement, très légèrement, accroché Lahm dans la surface. Monsieur Atkinson a sifflé, Müller s'est exécuté. Avant le but du Bayern, le LOSC ne voyait pas beaucoup le ballon. Ça s'est un peu arrangé après la pause. Mais Manuel Neuer a passé une soirée relativement tranquille, sans aucun arrêt à effectuer.
Kalou à la rue
On ne peut pas dire que Mickaël Landreau ait croulé sous le travail non plus, mais le Bayern, en mettant le pied sur le ballon lors de la première période notamment, s'est acheté une tranquillité que quelques timides incursions lilloises n'ont pu mettre à mal. A son entrée en jeu, Mendes a mis de l'énergie et donné de l'allant à une équipe qui en manquait clairement, à l'image d'un Salomon Kalou complètement à la rue. Le Capverdien est entré trop tardivement pour tirer le LOSC du bourbier dans lequel il s'est un peu plus enfoncé mardi soir.
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