La première phase de l'opération de vérification et de contrôle des structures sanitaires privées vient de s'achever. Elle concernai...
La première phase de l'opération de vérification et de contrôle des structures sanitaires privées vient de s'achever. Elle concernait quatorze pharmacies privées de la capitale. L'opération vise les pharmacies, les cabinets sanitaires, les cliniques, les laboratoires et les dépôts pharmaceutiques, et a pour objectif de veiller au respect de la législation et règlement en vigueur sur la protection de la population.
Selon Farid Dhoihari Toilha, chargé d'inspection, le constat fait est que "beaucoup de ces structures ne sont pas aux normes et que certains ignorent complètement le code national de la santé, ou encore, simplement, ferment les yeux". Par ailleurs, alors que le code national de la santé stipule que "seul le ministère de la Santé est habilité à signer une autorisation ou agrément à l'ouverture d'une structure sanitaire", des commissariats insulaires continuent de le faire.
Il est prévu également dans ce code, qu'un renouvèlement de l'autorisation ou de l'agrément, doit se faire tous les trois ans or, les anciennes pharmacies n'ont jamais renouvelé leurs autorisations. "On ne va pas faire de cadeaux car notre souci est de protéger la population". C'est ainsi que, si l'on en croit le technicien, des fermetures de certaines de ces structures qui ne répondent pas aux normes seront opérées.
Autre grief relevé par le ministère de la Santé, c'est le nombre important de cliniques et autres cabinets médicaux privés tenus par des médecins étrangers sans l'aval de l'autorité compétente contrairement à ce qui est prévu dans le code national de la santé. Le phénomène est tel que le ministère de la Santé ne serait pas en mesure de donner des statistiques exactes sur le nombre de ces médecins expatriés exerçant dans le pays.
A en croire Farid Dhoihari Toilha, pour la sécurité des patients dans les cliniques ou cabinet sanitaires, des mesures conforment au code actuel de la santé seront prises "afin de contrôler qui est, et qui n'est pas médecin".
Nakidine Hassane : alwatwan
Selon Farid Dhoihari Toilha, chargé d'inspection, le constat fait est que "beaucoup de ces structures ne sont pas aux normes et que certains ignorent complètement le code national de la santé, ou encore, simplement, ferment les yeux". Par ailleurs, alors que le code national de la santé stipule que "seul le ministère de la Santé est habilité à signer une autorisation ou agrément à l'ouverture d'une structure sanitaire", des commissariats insulaires continuent de le faire.
Il est prévu également dans ce code, qu'un renouvèlement de l'autorisation ou de l'agrément, doit se faire tous les trois ans or, les anciennes pharmacies n'ont jamais renouvelé leurs autorisations. "On ne va pas faire de cadeaux car notre souci est de protéger la population". C'est ainsi que, si l'on en croit le technicien, des fermetures de certaines de ces structures qui ne répondent pas aux normes seront opérées.
Autre grief relevé par le ministère de la Santé, c'est le nombre important de cliniques et autres cabinets médicaux privés tenus par des médecins étrangers sans l'aval de l'autorité compétente contrairement à ce qui est prévu dans le code national de la santé. Le phénomène est tel que le ministère de la Santé ne serait pas en mesure de donner des statistiques exactes sur le nombre de ces médecins expatriés exerçant dans le pays.
A en croire Farid Dhoihari Toilha, pour la sécurité des patients dans les cliniques ou cabinet sanitaires, des mesures conforment au code actuel de la santé seront prises "afin de contrôler qui est, et qui n'est pas médecin".
Nakidine Hassane : alwatwan
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