Le projet de désigner un Abalmoudjid Abou Ounthman a été quelque chose de précis derrière la Et cette "chose derrière la tête...
Le projet de désigner un Abalmoudjid Abou Ounthman a été quelque chose de précis derrière la Et cette "chose derrière la tête", ce déré comme "très conciliateur",mufti à Ndzuwani crée la polémique parmi les diffé- rents guides religieux de l'île. Celui qui est appelé à porter ce titre est Abalmoudjid Abou Ounthman, actuel président du conseil insulaire des ulémas, un des hauts dignitaires religieux anjoua- nais. Il devait être officiellement investi à ses nouvelles fonctions de mufti de l'île jeudi dernier, et la cérémonie devait se dérouler au foyer Jaf de Mutsamudu.
Le président Ikililou Dhoinine y était, semble-t-il, convié, en même temps qu'un nombre important d'u- lémas issus de tous les coins de l'île. A 8 heures, les invités (hormis le chef de l'Etat), étaient déjà arri- vés sur le lieu, mais l'investiture n'a finalement pas eu lieu : pris de malaise le matin même, et transféré à l'hôpital de Hombo où il a été admis en réanimation.
Asseoir leurs idéologies
Il semble que le religieux ait été désigné à ce poste par un décret du président Ikililou (ce qui reste encore à vérifier), et que la cérémonie du Jaf était seulement une séance d'officialisation.
Mais la nouvelle n’a pas plu à tout le monde, et certains ulémas la dénoncent : “C’est une initiative
jusqu’ici inédite et contraire aux règles qui doivent régir le fonctionnement de toute communauté
musulmane. Il ne peut y avoir qu’un seul mufti dans ce pays. Ceux qui sont derrière cette initiative ont
Le président Ikililou Dhoinine y était, semble-t-il, convié, en même temps qu'un nombre important d'u- lémas issus de tous les coins de l'île. A 8 heures, les invités (hormis le chef de l'Etat), étaient déjà arri- vés sur le lieu, mais l'investiture n'a finalement pas eu lieu : pris de malaise le matin même, et transféré à l'hôpital de Hombo où il a été admis en réanimation.
Asseoir leurs idéologies
Il semble que le religieux ait été désigné à ce poste par un décret du président Ikililou (ce qui reste encore à vérifier), et que la cérémonie du Jaf était seulement une séance d'officialisation.
Mais la nouvelle n’a pas plu à tout le monde, et certains ulémas la dénoncent : “C’est une initiative
jusqu’ici inédite et contraire aux règles qui doivent régir le fonctionnement de toute communauté
musulmane. Il ne peut y avoir qu’un seul mufti dans ce pays. Ceux qui sont derrière cette initiative ont
quelque chose de précis derrière la tête “, croit savoir Koussoy Abdallah, prêcheur de la mosquée de vendredi de Mutsamudu. Et cette “chose derrière la tête”, ce serait l’intention des chiites et des Wahabites de se servir d’Abalmoudjid, un homme considéré comme “très conciliateur”, pour “asseoir leurs idéologies religieuses”. SM
Source : alwatwan
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