En vers et contre toutes attentes, les intempéries qui ont causé d’importants dégâts matériels dans les régions de Bambao et Hambu ont repri...
En vers et contre toutes attentes, les intempéries qui ont causé d’importants dégâts matériels dans les régions de Bambao et Hambu ont repris depuis hier. En effet, les cours d’eau ont commencé à rendre impraticable les routes de Mitsudje vers la capitale. ‘’La route qui mène directement de Kafuni vers Moroni est redevenue inaccessible. Les automobilistes sont contraints de repasser par Ndruwani’’ témoigne un habitant de Dzahadju la Hambu, qui a emprunté, hier, le chemin vers Moroni.
A Vuvuni, l’eau a commencé à prendre dangereusement de la hauteur. Pendant ce temps, le traumatisme guète les habitants des zones déjà déclarées sinistrées. Et d’autre part, le risque de rendre à néant les efforts énormes, déployés les semaines passées, autant que faire se peut, pour se créer un semblant de route. Vers l’après-midi les automobilistes ne pouvaient plus rejoindre les villages du haut de Hambu.
Il faut dire que, le laps de temps entre les dernières intempéries, et celles qui viennent de se produire n’ont pas permis d’échafauder des mesures préventives, quoi que plus que jamais nécessaires. Une nouvelle bataille contre des tonnes de boue, notamment dans les villes de vuvuni, Nyumadzaha ya Bambao et Ndruwani, s’impose encore une fois.
La plus grande inquiétude est bien la situation qui pourrait potentiellement s’aggraver, dans la principale station de pompage d’eau de Vuvuni alors le nettoyage avait déjà débuté. Rappelons que plusieurs hommes politiques, en premier desquels le chef de l’Etat, mais aussi des associations, des directions publiques, des écoles et autres anonymes s’y étaient rendus pour prêter main forte aux populations sinistrées.
L’heure n’est plus au relâchement du relent de solidarité qui s’est promptement crée. Une prière, peut-être : pourvue que cette fois, la pluie ne dure point.
T.A : alwatwan
A Vuvuni, l’eau a commencé à prendre dangereusement de la hauteur. Pendant ce temps, le traumatisme guète les habitants des zones déjà déclarées sinistrées. Et d’autre part, le risque de rendre à néant les efforts énormes, déployés les semaines passées, autant que faire se peut, pour se créer un semblant de route. Vers l’après-midi les automobilistes ne pouvaient plus rejoindre les villages du haut de Hambu.
Il faut dire que, le laps de temps entre les dernières intempéries, et celles qui viennent de se produire n’ont pas permis d’échafauder des mesures préventives, quoi que plus que jamais nécessaires. Une nouvelle bataille contre des tonnes de boue, notamment dans les villes de vuvuni, Nyumadzaha ya Bambao et Ndruwani, s’impose encore une fois.
La plus grande inquiétude est bien la situation qui pourrait potentiellement s’aggraver, dans la principale station de pompage d’eau de Vuvuni alors le nettoyage avait déjà débuté. Rappelons que plusieurs hommes politiques, en premier desquels le chef de l’Etat, mais aussi des associations, des directions publiques, des écoles et autres anonymes s’y étaient rendus pour prêter main forte aux populations sinistrées.
L’heure n’est plus au relâchement du relent de solidarité qui s’est promptement crée. Une prière, peut-être : pourvue que cette fois, la pluie ne dure point.
T.A : alwatwan
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