La Commission de l'Océan Indien et le Programme SmartFish ont organisé conjointement lundi à Djibouti un atelier de formation sur la gou...
La Commission de l'Océan Indien et le Programme SmartFish ont organisé conjointement lundi à Djibouti un atelier de formation sur la gouvernance des pêches maritimes.
L'atelier a pour but d'apporter un regard nouveau sur la manière dont pourrait être abordée la gestion du secteur de la pêche en utilisant une méthode de planification basée sur l' application de différents principes de bonne gouvernance.
"De plus en plus, les Etats reconnaissent que l'adoption de + principes de bonne gouvernance+ permet aux composantes de ce cadre d'éviter certains dysfonctionnement rendant impossible l'atteinte d'objectifs cruciaux tels que l'endiguement de la surexploitation des ressource, la réalisation du plein potentiel des pêcheries en termes de développement socio-économique et la garantie d'une meilleure répartition des richesses crées dans le secteur", a fait savoir la chargée de Programme au Bureau de la Délégation Européenne à Djibouti, Mme Nicoletta Avella.
Il a souligné que l'analyse des forces et faiblesses du cadre de gouvernance des pêches nécessite une connaissance et une compréhension partagée de ces "principes de bonne gouvernance", tels que la transparence, la responsabilité, la participation ou encore la cohérence.
Actuellement, la situation des pêcheries mondiales sont caractérisées par la surexploitation avancée de la plupart des stocks mondiaux de poisson, modifiant profondément les perspectives et les conditions de progrès, a indiqué M. Ahmed Darar, du point focal national du Programme SmartFish.
"Ce constat nous oblige à revoir nos méthodes et styles de gestion si on veut accroître les disponibilités de protéines d' origine marine et d'améliorer leur contribution à la sécurité alimentaire, et à la réduction de la pauvreté à l'échelle internationale", a-t-il rappelé.
Le programme Smartfish, soutenu par l'Union européenne à heuteur de 21 millions d'euros au titre du 10ème Fonds européen de développement (FED), a été mis en place en vue de répondre à la demande grandissante des ressources d'aquaculture et de pêcheries, des populations croissantes de 18 pays de l'océan Indien et de l'Afrique.
Les 18 pays concernés par ce programme sont : Djibouti, la Tanzanie, Zimbabwe, la Zambie, le Burundi, les Comores, le Kenya, la RDC, l'Erythrée, le Malawi, l'Éthiopie, Madagascar, Maurice, le Rwanda, les Seychelles, la Somalie, le Swaziland et l'Ouganda.
L'étude réalisée par SmartFish en juillet 2011 et l'atelier régional sur la gouvernance des pêches maritimes organisé par SmartFish en février 2012 ont souligné la nécessité de renforcer les capacités des pays de la zone Afrique orientale et australe- océan Indien (AOA-OI) en matière de promotion des principes de bonne gouvernance dans la gestion des pêches maritimes.
Source:Chine information
L'atelier a pour but d'apporter un regard nouveau sur la manière dont pourrait être abordée la gestion du secteur de la pêche en utilisant une méthode de planification basée sur l' application de différents principes de bonne gouvernance.
"De plus en plus, les Etats reconnaissent que l'adoption de + principes de bonne gouvernance+ permet aux composantes de ce cadre d'éviter certains dysfonctionnement rendant impossible l'atteinte d'objectifs cruciaux tels que l'endiguement de la surexploitation des ressource, la réalisation du plein potentiel des pêcheries en termes de développement socio-économique et la garantie d'une meilleure répartition des richesses crées dans le secteur", a fait savoir la chargée de Programme au Bureau de la Délégation Européenne à Djibouti, Mme Nicoletta Avella.
Il a souligné que l'analyse des forces et faiblesses du cadre de gouvernance des pêches nécessite une connaissance et une compréhension partagée de ces "principes de bonne gouvernance", tels que la transparence, la responsabilité, la participation ou encore la cohérence.
Actuellement, la situation des pêcheries mondiales sont caractérisées par la surexploitation avancée de la plupart des stocks mondiaux de poisson, modifiant profondément les perspectives et les conditions de progrès, a indiqué M. Ahmed Darar, du point focal national du Programme SmartFish.
"Ce constat nous oblige à revoir nos méthodes et styles de gestion si on veut accroître les disponibilités de protéines d' origine marine et d'améliorer leur contribution à la sécurité alimentaire, et à la réduction de la pauvreté à l'échelle internationale", a-t-il rappelé.
Le programme Smartfish, soutenu par l'Union européenne à heuteur de 21 millions d'euros au titre du 10ème Fonds européen de développement (FED), a été mis en place en vue de répondre à la demande grandissante des ressources d'aquaculture et de pêcheries, des populations croissantes de 18 pays de l'océan Indien et de l'Afrique.
Les 18 pays concernés par ce programme sont : Djibouti, la Tanzanie, Zimbabwe, la Zambie, le Burundi, les Comores, le Kenya, la RDC, l'Erythrée, le Malawi, l'Éthiopie, Madagascar, Maurice, le Rwanda, les Seychelles, la Somalie, le Swaziland et l'Ouganda.
L'étude réalisée par SmartFish en juillet 2011 et l'atelier régional sur la gouvernance des pêches maritimes organisé par SmartFish en février 2012 ont souligné la nécessité de renforcer les capacités des pays de la zone Afrique orientale et australe- océan Indien (AOA-OI) en matière de promotion des principes de bonne gouvernance dans la gestion des pêches maritimes.
Source:Chine information
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