Des femmes travailleraient 24 h sur 24 pour des salaires variant entre 80.000 fc et 100.000 francs comoriens. Le ministre de l’Intérieur a a...
Des femmes travailleraient 24 h sur 24 pour des salaires variant entre 80.000 fc et 100.000 francs comoriens. Le ministre de l’Intérieur a autorisé la police nationale à ouvrir une enquête et a pris la déci- sion de suspendre tout contrat de travail vers l’Arabie Saoudite “en attendant les conclusions de l’enquête” car il estime que “le gouvernement comorien doit se saisir de cette question”.
La société civile s’est entre- tenue, hier, avec le minist- re de l’Intérieur, Hamada Abdallah, au sujet des “conditions difficiles de travail” auxquelles seraient confrontées, en Arabie Saoudite, des femmes comoriennes.Au cours de la rencontre, beaucoup de “témoignages“ ont été reportées sur la maltraitance que subiraient ces femmes.
Selon le ministre de l’Intérieur, Hamada Abdallah, “des choses qui nous ont émus ont été entendues”. Le ministre a autorisé la police nationale à ouvrir une enquête et a pris la décision de suspendre tout contrat de travail vers l’Arabie Saoudite “en attendant les enquêtes diligentées à cette fin” car il estime que “le gouvernement comorien doit se saisir de cette question”.
Il a été rappelé que seules trois agences locales ont été agréées par le gouvernement comorien pour le recrutement des personnes désirant aller travailler en Arabie Saoudite mais que des réseaux incontrôlés se sont “emparés du marché et opèrent sans agrément”.
C’est pourquoi, le directeur de la sûreté nationale, Abou Achirafi, souhaite que ces femmes portent plainte pour que les auteurs de ces maltraitances”.
Les participants à la réunion ont soutenu que les contrats signés ne sont pas respectés, une fois en Arabie Saoudite. C’est ainsi que des femmes travailleraient 24 h sur 24 pour des salaires variant entre 80.000fc et 100.000 francs como- riens. “Nous avons saisi le ministre de l’Intérieur aujourd’hui et on s’est convenu de travailler ensemble par rapport à ce problème”.
Une rencontre est prévue les jours à venir afin de trouver une solution pour les travailleuses qui sont enco- re en Arabie Saoudite, devait confirmé la présidente de la plate forme nationale de lutte contre la violence, Halima Abdoulkarim.
A.Andhumati : alwatwan
La société civile s’est entre- tenue, hier, avec le minist- re de l’Intérieur, Hamada Abdallah, au sujet des “conditions difficiles de travail” auxquelles seraient confrontées, en Arabie Saoudite, des femmes comoriennes.Au cours de la rencontre, beaucoup de “témoignages“ ont été reportées sur la maltraitance que subiraient ces femmes.
Selon le ministre de l’Intérieur, Hamada Abdallah, “des choses qui nous ont émus ont été entendues”. Le ministre a autorisé la police nationale à ouvrir une enquête et a pris la décision de suspendre tout contrat de travail vers l’Arabie Saoudite “en attendant les enquêtes diligentées à cette fin” car il estime que “le gouvernement comorien doit se saisir de cette question”.
Il a été rappelé que seules trois agences locales ont été agréées par le gouvernement comorien pour le recrutement des personnes désirant aller travailler en Arabie Saoudite mais que des réseaux incontrôlés se sont “emparés du marché et opèrent sans agrément”.
C’est pourquoi, le directeur de la sûreté nationale, Abou Achirafi, souhaite que ces femmes portent plainte pour que les auteurs de ces maltraitances”.
Les participants à la réunion ont soutenu que les contrats signés ne sont pas respectés, une fois en Arabie Saoudite. C’est ainsi que des femmes travailleraient 24 h sur 24 pour des salaires variant entre 80.000fc et 100.000 francs como- riens. “Nous avons saisi le ministre de l’Intérieur aujourd’hui et on s’est convenu de travailler ensemble par rapport à ce problème”.
Une rencontre est prévue les jours à venir afin de trouver une solution pour les travailleuses qui sont enco- re en Arabie Saoudite, devait confirmé la présidente de la plate forme nationale de lutte contre la violence, Halima Abdoulkarim.
A.Andhumati : alwatwan
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