Le principal mal qui ronge l‘Université Des Comores aujourd’hui, semble le manque d’infrastructures. Cela est engendré évidement par plusi...
Le principal mal qui ronge l‘Université Des Comores aujourd’hui, semble le manque d’infrastructures. Cela est engendré évidement par plusieurs motifs :
D’abord, l’absence d’une bonne bibliothèque équipée par des instruments appropriés, soit disons des œuvres correspondants aux matières en vigueurs, une salle informatique équipée des ordinateurs où tous les étudiants auront de place pour faire ses recherches …
Ensuite, le manque de lecture de la part des étudiants comoriens. Ce dernier touche particulièrement la majorité des étudiants de notre aimable Université. Ce phénomène gagne malheureusement du terrain au moment où les jeunes étudiants ne font pas attention. C’est-à-dire au moment où Ils n’y prennent pas conscience de l’origine de leurs échecs universitaires. En outre, l’arrivée en retard des étudiants en cours causé par l’absence des Bus universitaire.
Enfin, la capacité d’accueille qui ne correspond pas aux inscriptions de chaque année. Chaque année les résultats des bacheliers augmentent de façon croissante et un ré doublage qui devient un mode à l’université. Cela implique que toutes les classes de première, deuxième, et troisième années sont déjà remplies. Les étudiants ne trouvent pas de place pour s’assoir ou s’aérer, raison pour laquelle les étudiants s’insultent, troublent les enseignant et suivent la cadence des ceux qu’ils ne veulent plus étudier.
Toutefois, nous remercions énormément l’ex-président Azali Assoumani d’avoir pensé à la jeunesse comorienne qui ne peut plus voyager pour faire ses études à l’extérieur. Le 50 francs qui avait mis en place pour assurer le bon fonctionnement de l’institution a réduit les dépenses et réuni tous les enfants des riches, des pauvres de différentes iles dans un même lieu d’apprentissage.