Par Dépêche - Lors de la dernière phase d'un échange de prisonniers qui a permis la libération du soldat franco-israélien Gilad Shalit,...
Lors de la dernière phase d'un échange de prisonniers qui a permis la libération du soldat franco-israélien Gilad Shalit, 550 détenus palestiniens ont été libérés dimanche des geôles israéliennes. Parmi eux, le Franco-Palestinien Salah Hamouri.
AFP - Israël a relâché dimanche 550 détenus palestiniens, dont le Franco-Palestinien Salah Hamouri, dans le cadre de la dernière phase d'un échange qui a permis la libération du soldat franco-israélien Gilad Shalit, selon des sources palestiniennes et des témoins.
Le principal contingent de prisonniers (505) est arrivé tard dans la soirée à Ramallah, le siège de l'Autorité palestinienne en Cisjordanie, tandis qu'un groupe de 41 détenus entrait au même moment dans la bande de Gaza, ont indiqué ces sources.
Plusieurs milliers de proches étaient rassemblés devant la Mouqata'a à Ramallah, où sont situés les bureaux de la présidence palestinienne, pour fêter les prisonniers libérés. Des scènes similaires se déroulaient à Gaza.
Par ailleurs, Salah Hamouri, 26 ans, a été relâché sur la base militaire israélienne d'Atarot, à Jérusalem-Est, a constaté un photographe de l'AFP.
Il a été accueilli par ses parents avant de retrouver le domicile familial à Jérusalem Est où l'attendaient des proches et des sympathisants dans une atmosphère de fête.
Né à Jérusalem de mère française et de père palestinien, le jeune homme, arrêté le 13 mars 2005, a été reconnu coupable en 2008 par un tribunal militaire israélien de projet d'assassinat du rabbin Ovadia Yossef, le dirigeant spirituel du parti ultra-orthodoxe Shass.
Condamné à sept ans de prison, il a toujours clamé son innocence.
Le rabbin Yossef a donné son aval à la libération de Salah Hamouri, à la suite d'une requête du président Nicolas Sarkozy, un geste que la France a "apprécié", selon le ministre des Affaires étrangères Alain Juppé.
Aux termes d'un pacte conclu avec le mouvement islamiste Hamas, grâce à une médiation de l'Egypte, Israël avait relâché le 18 octobre un premier contingent de 477 détenus palestiniens, le même jour que la libération de Gilad Shalit, détenu pendant plus de cinq ans par le Hamas dans la bande de Gaza.
L'accord prévoyait qu'un deuxième groupe de 550 Palestiniens serait relâché dans les deux mois.
Le principal contingent de prisonniers (505) est arrivé tard dans la soirée à Ramallah, le siège de l'Autorité palestinienne en Cisjordanie, tandis qu'un groupe de 41 détenus entrait au même moment dans la bande de Gaza, ont indiqué ces sources.
Plusieurs milliers de proches étaient rassemblés devant la Mouqata'a à Ramallah, où sont situés les bureaux de la présidence palestinienne, pour fêter les prisonniers libérés. Des scènes similaires se déroulaient à Gaza.
Par ailleurs, Salah Hamouri, 26 ans, a été relâché sur la base militaire israélienne d'Atarot, à Jérusalem-Est, a constaté un photographe de l'AFP.
Il a été accueilli par ses parents avant de retrouver le domicile familial à Jérusalem Est où l'attendaient des proches et des sympathisants dans une atmosphère de fête.
Né à Jérusalem de mère française et de père palestinien, le jeune homme, arrêté le 13 mars 2005, a été reconnu coupable en 2008 par un tribunal militaire israélien de projet d'assassinat du rabbin Ovadia Yossef, le dirigeant spirituel du parti ultra-orthodoxe Shass.
Condamné à sept ans de prison, il a toujours clamé son innocence.
Le rabbin Yossef a donné son aval à la libération de Salah Hamouri, à la suite d'une requête du président Nicolas Sarkozy, un geste que la France a "apprécié", selon le ministre des Affaires étrangères Alain Juppé.
Aux termes d'un pacte conclu avec le mouvement islamiste Hamas, grâce à une médiation de l'Egypte, Israël avait relâché le 18 octobre un premier contingent de 477 détenus palestiniens, le même jour que la libération de Gilad Shalit, détenu pendant plus de cinq ans par le Hamas dans la bande de Gaza.
L'accord prévoyait qu'un deuxième groupe de 550 Palestiniens serait relâché dans les deux mois.
France24
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