Installé depuis un peu plus d’un an à Ouani-Anjouan, le site des travaux de concassage du groupe Comoros Gulf Holding, est prêt pour l...
Installé depuis un peu plus d’un an à Ouani-Anjouan, le site des travaux de concassage du groupe Comoros Gulf Holding, est prêt pour le lancement des travaux d’infrastructures publiques. Sur place, l’entreprise répond à des besoins multiples des communautés notamment.
Une initiative accueillie en grande pompe
Misbahou Mdama, le coordinateur des opérations du groupe CGH à Anjouan a pu, à moins de deux années, avec son équipe créer une ambiance de confiance entre les citoyens anjouanais et le site de concassage situé à quelques mètres de l’aéroport d’Ouani. Tout le monde se félicite de l’installation du groupe dans cette région qui traverse des périodes difficiles, s’agissant le désensablement des côtes de la région.
«L’objectif est double. Soutenir les communautés à préserver leurs ressources côtières et répondre aux appels de notre principal partenaire qui est l’Etat comorien» a expliqué M. Misbahou.
Le personnel du groupe CGH travaillant dans le site est composé de près de quarante employés dont 50% d’ Anjouanais, 20% d’expatriés et 30% des ressortissants des autres îles.
Un système de partenariat élargi
Le groupe de CGH-Anjouan a su miser sur la nécessité de sous-traitance avec certaines entreprises de la région afin de faciliter l’accès de la population au sable industriel. Les demandeurs de service viennent de quatre coins de l’île. Mais selon Elie Yazbeck, les des travaux du site devraient contribuer à aider les Comoriens à régler le problème d’infrastructures routières.
«Il est vrai que nous aidons largement les citoyens dans la construction de leurs habitations mais, il faut savoir que nous privilégions l’intérêt général qui est de soutenir l’Etat comorien dans ses travaux routiers», a indiqué le responsable des travaux régionaux, précisant que leur matériel peut être loué par des tiers en cas de nécessité.
La décision de l’Etat est attendue pour débuter des travaux
Et le coordinateur précise que la «La société est dotée des équipements devant la permettre d’évoluer à pas de géant avec le gouvernement comorien, quelle que soit la durée» renchérit Misbahou Mdama, ajoutant que pour les travaux routiers «tout est sous contrôle» et que tout peut démarrer dès que le gouvernement donne son feu vert.
A en croire M. Mdama, les démarches de négociations devraient être entreprises part les deux parties pour entamer les travaux relatifs à la réalisation des infrastructures routières du pays.
BEN DHOIHIR CHABANE :albalad
Une initiative accueillie en grande pompe
Misbahou Mdama, le coordinateur des opérations du groupe CGH à Anjouan a pu, à moins de deux années, avec son équipe créer une ambiance de confiance entre les citoyens anjouanais et le site de concassage situé à quelques mètres de l’aéroport d’Ouani. Tout le monde se félicite de l’installation du groupe dans cette région qui traverse des périodes difficiles, s’agissant le désensablement des côtes de la région.
«L’objectif est double. Soutenir les communautés à préserver leurs ressources côtières et répondre aux appels de notre principal partenaire qui est l’Etat comorien» a expliqué M. Misbahou.
Le personnel du groupe CGH travaillant dans le site est composé de près de quarante employés dont 50% d’ Anjouanais, 20% d’expatriés et 30% des ressortissants des autres îles.
Un système de partenariat élargi
Le groupe de CGH-Anjouan a su miser sur la nécessité de sous-traitance avec certaines entreprises de la région afin de faciliter l’accès de la population au sable industriel. Les demandeurs de service viennent de quatre coins de l’île. Mais selon Elie Yazbeck, les des travaux du site devraient contribuer à aider les Comoriens à régler le problème d’infrastructures routières.
«Il est vrai que nous aidons largement les citoyens dans la construction de leurs habitations mais, il faut savoir que nous privilégions l’intérêt général qui est de soutenir l’Etat comorien dans ses travaux routiers», a indiqué le responsable des travaux régionaux, précisant que leur matériel peut être loué par des tiers en cas de nécessité.
La décision de l’Etat est attendue pour débuter des travaux
Et le coordinateur précise que la «La société est dotée des équipements devant la permettre d’évoluer à pas de géant avec le gouvernement comorien, quelle que soit la durée» renchérit Misbahou Mdama, ajoutant que pour les travaux routiers «tout est sous contrôle» et que tout peut démarrer dès que le gouvernement donne son feu vert.
A en croire M. Mdama, les démarches de négociations devraient être entreprises part les deux parties pour entamer les travaux relatifs à la réalisation des infrastructures routières du pays.
BEN DHOIHIR CHABANE :albalad
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