Plusieurs personnes seraient placées en garde à vue dans le cadre de l'enquête judiciaire ouverte pour déterminer les responsabilités su...
Plusieurs personnes seraient placées en garde à vue dans le cadre de l'enquête judiciaire ouverte pour déterminer les responsabilités sur le naufrage du Madjriha, selon le procureur de la République Soilihi Mahamoud.
Il s'agit, selon le procureur de la République, des responsables et d'agents de la brigade du port, de la capitainerie, de l'Autorité portuaire, de l'armateur, de l'équipage et du commandant de bord. Suivant l es trois chefs d'accusation prononcés, ils sont interpellés pour« homicide involontaire, complicité et non assistance à personnes en danger». L'enquête suit son cours et en attendant, le procureur, en ce qui le concerne, qualifie les faits et attribue à chacun sa responsabilité sur le drame du Madjriha. Pour Soilihi Mahamoud, le commandant de bord serait le principal «auteur » de ce naufrage et, par conséquent, i l est accusé « d'homicide » involontaire. On lui reproche le fait que, conscient que son bateau connaît des problèmes techniques et ayant noté au cours du trajet des séries de pannes, il a malgré tout persisté à continuer le voyage. I l y a ensuite ceux qui sont accusés de « complicité. » Les services de l'immigration pour établissement de « fausses déclarations et fausses manifestes », l'armateur pour « mauvais entretien et mauvais état du bateau » et la capitainerie (Apc) pour «négligence » qui n'a pas permis de limiter les victimes.
Et selon toujours le procureur, sont poursuivis pour « non assistance à personnes en danger », les membres de l'équipage qui n'ont pas fourni aux passagers l'équipement nécessaire de secours comme les gilets de sauvetage et le responsable de l'agence qui, contacté par un passager à bord pour se plaindre des difficultés techniques du bateau, leur aurait conseiller de lire la sourate yassin, au lieu de donner l'alerte. Pour Soilihi Mahamoud, dans cette affaire, il ya « une chaine de responsabilités » que l'enquête va chercher à déterminer et cela va se faire « sans aucune complaisance.» _MMADI MOINDJIE : albalad
Il s'agit, selon le procureur de la République, des responsables et d'agents de la brigade du port, de la capitainerie, de l'Autorité portuaire, de l'armateur, de l'équipage et du commandant de bord. Suivant l es trois chefs d'accusation prononcés, ils sont interpellés pour« homicide involontaire, complicité et non assistance à personnes en danger». L'enquête suit son cours et en attendant, le procureur, en ce qui le concerne, qualifie les faits et attribue à chacun sa responsabilité sur le drame du Madjriha. Pour Soilihi Mahamoud, le commandant de bord serait le principal «auteur » de ce naufrage et, par conséquent, i l est accusé « d'homicide » involontaire. On lui reproche le fait que, conscient que son bateau connaît des problèmes techniques et ayant noté au cours du trajet des séries de pannes, il a malgré tout persisté à continuer le voyage. I l y a ensuite ceux qui sont accusés de « complicité. » Les services de l'immigration pour établissement de « fausses déclarations et fausses manifestes », l'armateur pour « mauvais entretien et mauvais état du bateau » et la capitainerie (Apc) pour «négligence » qui n'a pas permis de limiter les victimes.
Et selon toujours le procureur, sont poursuivis pour « non assistance à personnes en danger », les membres de l'équipage qui n'ont pas fourni aux passagers l'équipement nécessaire de secours comme les gilets de sauvetage et le responsable de l'agence qui, contacté par un passager à bord pour se plaindre des difficultés techniques du bateau, leur aurait conseiller de lire la sourate yassin, au lieu de donner l'alerte. Pour Soilihi Mahamoud, dans cette affaire, il ya « une chaine de responsabilités » que l'enquête va chercher à déterminer et cela va se faire « sans aucune complaisance.» _MMADI MOINDJIE : albalad
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