L'état des routes de l a ville de Mutsamudu inquiète aussi bien les automobilistes que les piétons. Il est très difficile de se promener...
L'état des routes de l a ville de Mutsamudu inquiète aussi bien les automobilistes que les piétons. Il est très difficile de se promener, ces derniers temps, à Mutsamudu, à cause de la dégradation des routes. Les habitants et les conducteurs se plaignent tous les jours des cortèges de véhicules, causés par les embouteillages
Les commerçants ambulants qui exposent leurs marchandises au bord de la route n'arrivent plus à tenir le coup de la poussière. «Nous pouvons supporter les effets de la pluie, mais la poussière non. Cette poussière va finir par nous créer des problèmes sanitaires. Je pense que l'Etat doit s'occuper de ces routes» a soulevé un exposant de marchandises à M'roni.
Beaucoup de gros commerçants préfèrent fermer leurs magasins tôt, pour éviter de trop s'exposer à la poussière. «Nous vivons avec cette calamité depuis le début de cette saison de Koussi. C'est trop risqué de travailler dans cette situation. Je suis obligé de fermer le magasin avant quatorze heure car c'est devenu insupportable» a déclaré Mohamad Koulou.
Pendant la période de pluie, les rues sont i nondées par l es eaux. A vrai dire aucune saison n'épargne les populations. La direction régionale des travaux publics dit regretter le fait de ne pas pouvoir rassurer la population en ce qui concerne le début des travaux de réhabilitation de ces routes. Aujourd'hui, une grande partie des trottoirs de la ville est détruite par l es véhicules qui veulent contourner certains nids de poules creusés dans l a chaussée. _BEN DHOIHIRC
Les commerçants ambulants qui exposent leurs marchandises au bord de la route n'arrivent plus à tenir le coup de la poussière. «Nous pouvons supporter les effets de la pluie, mais la poussière non. Cette poussière va finir par nous créer des problèmes sanitaires. Je pense que l'Etat doit s'occuper de ces routes» a soulevé un exposant de marchandises à M'roni.
Beaucoup de gros commerçants préfèrent fermer leurs magasins tôt, pour éviter de trop s'exposer à la poussière. «Nous vivons avec cette calamité depuis le début de cette saison de Koussi. C'est trop risqué de travailler dans cette situation. Je suis obligé de fermer le magasin avant quatorze heure car c'est devenu insupportable» a déclaré Mohamad Koulou.
Pendant la période de pluie, les rues sont i nondées par l es eaux. A vrai dire aucune saison n'épargne les populations. La direction régionale des travaux publics dit regretter le fait de ne pas pouvoir rassurer la population en ce qui concerne le début des travaux de réhabilitation de ces routes. Aujourd'hui, une grande partie des trottoirs de la ville est détruite par l es véhicules qui veulent contourner certains nids de poules creusés dans l a chaussée. _BEN DHOIHIRC
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