Hier mercredi, hôpital El-Maarouf a fêté la première année d’exercice de son centre de dialyse. La cérémonie a été présidée par le chef d...
Hier mercredi, hôpital El-Maarouf a fêté la première année d’exercice de son centre de dialyse. La cérémonie a été présidée par le chef de l’Etat, Ikililou Dhoinine, en présence, entre autres, du président de l’assemblée nationale, de la ministre de la Santé, du directeur administratif du centre, l’Egyptien Saïd Chahine, des docteur égyptien et comorien, Mohamed Abdoulwahab et Moundhir. Dès le lendemain de son inauguration, le 15 juillet 2010, le centre recevait déjà son premier malade.
Depuis, prés de 2600 séances de dialyse ont été réalisées. De toute l’Océan indien, le centre d’hémodialyse des Comores est le mieux équipé, avec 20 appareils de filtrage du sang, un laboratoire d’analyse, un système d’électro-pompage, un centre d’hospitalisation des malades rénaux, d’une pharmacie distribuant des médicaments gratuits aux malades rénaux, et deux groupes électrogènes. La prochaine étape que vise le personnel, est la possibilité de pouvoir effectuer des greffes de reins. Jusqu’ici, le plus gros problème que rencontre le centre est celui de l’eau.
Le centre dispose de deux grands puits devant continuellement être fournis en eau. Le personnel de santé appelle à une mobilisation non seulement de l’Etat mais aussi et surtout des citoyens, et propose l’ouverture d’une association de soutien des malades rénaux des Comores, présidée par le docteur Moundhir, afin que chacun puisse participer au maintien du centre de dialyse après le départ de l’Ong Al-Gamya Al-Sharya. Par ailleurs, Al-Gamya Al-Sharya offre pendant le mois de ramadan près de quatre cent repas par jour aux personnes hospitalisés, elle soutient des écoles coraniques à Moroni, et accorde des bourses de formation aux médecins, aux infirmiers pour qu’ils puissent assurer parfaitement le fonctionnement du centre.
“Nous ne faisons pas ça pour nous attirer une quelconque gloire, nous dit Saïd Chahin, mais pour l’amour de Dieu. Nous voulons aider, c’est notre manière de travailler et nous n’en resterons pas là, Incha Allah“.
Iza M’madi:alwatwan
Depuis, prés de 2600 séances de dialyse ont été réalisées. De toute l’Océan indien, le centre d’hémodialyse des Comores est le mieux équipé, avec 20 appareils de filtrage du sang, un laboratoire d’analyse, un système d’électro-pompage, un centre d’hospitalisation des malades rénaux, d’une pharmacie distribuant des médicaments gratuits aux malades rénaux, et deux groupes électrogènes. La prochaine étape que vise le personnel, est la possibilité de pouvoir effectuer des greffes de reins. Jusqu’ici, le plus gros problème que rencontre le centre est celui de l’eau.
Le centre dispose de deux grands puits devant continuellement être fournis en eau. Le personnel de santé appelle à une mobilisation non seulement de l’Etat mais aussi et surtout des citoyens, et propose l’ouverture d’une association de soutien des malades rénaux des Comores, présidée par le docteur Moundhir, afin que chacun puisse participer au maintien du centre de dialyse après le départ de l’Ong Al-Gamya Al-Sharya. Par ailleurs, Al-Gamya Al-Sharya offre pendant le mois de ramadan près de quatre cent repas par jour aux personnes hospitalisés, elle soutient des écoles coraniques à Moroni, et accorde des bourses de formation aux médecins, aux infirmiers pour qu’ils puissent assurer parfaitement le fonctionnement du centre.
“Nous ne faisons pas ça pour nous attirer une quelconque gloire, nous dit Saïd Chahin, mais pour l’amour de Dieu. Nous voulons aider, c’est notre manière de travailler et nous n’en resterons pas là, Incha Allah“.
Iza M’madi:alwatwan
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