Des gendarmes ont bloqué hier l'accès au lycée de Moroni pour tenter d'écarter les syndicalistes qui boycottent, depuis deux semaine...
Des gendarmes ont bloqué hier l'accès au lycée de Moroni pour tenter d'écarter les syndicalistes qui boycottent, depuis deux semaines, la correction des examens de fin d'année.
Les syndicalistes ont rencontré d'urgence le commissaire de l’Éducation de l'île de Ngazidja à deux reprises mais sans résultat. Peu après, le corps enseignant s'est réuni à l'école primaire « Application ». « On a décidé de poursuivre nos revendications jusqu'au bout.», a déclaré le secrétaire national du syndicat des professeurs, Faridi Msahazi, ajoutant que des enseignants avaient été réquisitionnés pour démarrer la correction.
Albalad n'a pas pu accéder à l'intérieur du lycée de Moroni pour confirmer si un autre jury avait bien été constitué, ou non, pour corriger le baccalauréat. « Les gendarmes ont bloqué l 'accès tout comme ils ont expulsé les leaders syndicaux dans l a matinée. Le président du jury, quant à lui, n'a pas répondu à notre appel. »
En fin d'après midi, plusieurs leaders syndicaux ont laissé entendre que les enseignants réquisitionnés ne s'étaient pas soumis pour autant à la décision des autorités. « Ils se sont embrouillés entre eux mais nous avons l a confirmation que la correction n'a toujours pas démarré », a assuré M. Mzahazi.
Notons que le commissariat à l'Education de Ngazidja, on envisageait de prendre des « sanctions administratives et pénales » à l'encontre des enseignants qui ne se sont pas soumis aux réquisitions lancées pour reprendre les épreuves physiques et sportives et la correction du baccalauréat
Un autre leader syndical, Moussa Mfoungoulié a déclaré : . « Toute sanction contre un enseignant est une sanction contre tout le corps enseignant On ira jusqu'au bout pour obtenir le respect de toutes les clauses du protocole », a insisté M. Mfoungoulié.
Notons par ailleurs que les leaders syndicaux affirment que les autorités envisagent de verser le mois d'avril sur la base de l'ancienne grille. « C'est inadmissible ! Le gouvernement veut passer outre le protocole d'accord », a conclu le secrétaire général du Snpc. _A..albalad
Les syndicalistes ont rencontré d'urgence le commissaire de l’Éducation de l'île de Ngazidja à deux reprises mais sans résultat. Peu après, le corps enseignant s'est réuni à l'école primaire « Application ». « On a décidé de poursuivre nos revendications jusqu'au bout.», a déclaré le secrétaire national du syndicat des professeurs, Faridi Msahazi, ajoutant que des enseignants avaient été réquisitionnés pour démarrer la correction.
Albalad n'a pas pu accéder à l'intérieur du lycée de Moroni pour confirmer si un autre jury avait bien été constitué, ou non, pour corriger le baccalauréat. « Les gendarmes ont bloqué l 'accès tout comme ils ont expulsé les leaders syndicaux dans l a matinée. Le président du jury, quant à lui, n'a pas répondu à notre appel. »
En fin d'après midi, plusieurs leaders syndicaux ont laissé entendre que les enseignants réquisitionnés ne s'étaient pas soumis pour autant à la décision des autorités. « Ils se sont embrouillés entre eux mais nous avons l a confirmation que la correction n'a toujours pas démarré », a assuré M. Mzahazi.
Notons que le commissariat à l'Education de Ngazidja, on envisageait de prendre des « sanctions administratives et pénales » à l'encontre des enseignants qui ne se sont pas soumis aux réquisitions lancées pour reprendre les épreuves physiques et sportives et la correction du baccalauréat
Un autre leader syndical, Moussa Mfoungoulié a déclaré : . « Toute sanction contre un enseignant est une sanction contre tout le corps enseignant On ira jusqu'au bout pour obtenir le respect de toutes les clauses du protocole », a insisté M. Mfoungoulié.
Notons par ailleurs que les leaders syndicaux affirment que les autorités envisagent de verser le mois d'avril sur la base de l'ancienne grille. « C'est inadmissible ! Le gouvernement veut passer outre le protocole d'accord », a conclu le secrétaire général du Snpc. _A..albalad
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