40 cas de coronavirus recensés à Mayotte et donc 5 cas de plus comme il y a deux jours. Deux patients sont toujours en réanimation. 40 ...
40 cas de coronavirus recensés à Mayotte et donc 5 cas de plus comme il y a deux jours. Deux patients sont toujours en réanimation.
40 cas de coronavirus sont recensés sur le département le plus pauvre. La faiblesse du système de santé local fait craindre une catastrophe sanitaire. C'est une bombe à retardement sanitaire. L'épidémie de coronavirus s'installe depuis quelques jours à Mayotte. Le premier cas a été recensé dans l'île le 14 mars dernier. Le décompte s'élève désormais à 40.
« Mayotte n’est pourvue que de 16 lits de réanimation » pour 256.000 habitants, déplore-t-il, alors que des soignants sont déjà infectés par le virus. « Je crains de m’exposer et d’exposer mes patients », avoue Saïndou Allaoui, président du Syndicat national des infirmiers libéraux. « Tout le monde a peur, on n’est pas équipés, on n’a pas les moyens nécessaires ».
L’île est entièrement placée sous couvre-feu entre 20 h et 5 h du matin depuis mardi pour lutter contre l’expansion du coronavirus. Il est désormais interdit de circuler sur le territoire mahorais de 20 h à 5 h, sauf motif impérieux (notamment pour le personnel soignant, les forces de l’ordre, les pompiers, les journalistes). La rédaction avec AFP
40 cas de coronavirus sont recensés sur le département le plus pauvre. La faiblesse du système de santé local fait craindre une catastrophe sanitaire. C'est une bombe à retardement sanitaire. L'épidémie de coronavirus s'installe depuis quelques jours à Mayotte. Le premier cas a été recensé dans l'île le 14 mars dernier. Le décompte s'élève désormais à 40.
« Mayotte n’est pourvue que de 16 lits de réanimation » pour 256.000 habitants, déplore-t-il, alors que des soignants sont déjà infectés par le virus. « Je crains de m’exposer et d’exposer mes patients », avoue Saïndou Allaoui, président du Syndicat national des infirmiers libéraux. « Tout le monde a peur, on n’est pas équipés, on n’a pas les moyens nécessaires ».
L’île est entièrement placée sous couvre-feu entre 20 h et 5 h du matin depuis mardi pour lutter contre l’expansion du coronavirus. Il est désormais interdit de circuler sur le territoire mahorais de 20 h à 5 h, sauf motif impérieux (notamment pour le personnel soignant, les forces de l’ordre, les pompiers, les journalistes). La rédaction avec AFP
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