Le chef d’état-major de l’armée éthiopienne, le général Seare Mekonnen, a été abattu samedi par son garde du corps lors d’une tentative d...
Le chef d’état-major de l’armée éthiopienne, le général Seare Mekonnen, a été abattu samedi par son garde du corps lors d’une tentative de renversement du gouvernement d’un des neuf États autonomes du pays. Au moins trois autres officiers de haut rang ont été tués lors de ce coup de force commis lors d’une réunion de représentants du gouvernement de l’État d’Amhara, situé au nord d’Addis-Abeba.
En Ethiopie, le chef d’état-major de l’armée éthiopienne a été abattu par son garde du corps quelques heures après une tentative de coup d’État dans l’Amhara, un État régional dont le président a également été tué, a déclaré dimanche une porte-parole du Premier ministre.
Celle-ci a précisé à la presse qu’un « commando de tueurs » dirigé par le chef de la sécurité de l’Amhara (nord-ouest) avait fait irruption dans une réunion samedi après-midi, blessant mortellement le président de la région Ambachew Mekonnen et un autre haut responsable.
Un peu plus tard, le chef d’état-major de l’armée éthiopienne, le général Seare Mekonnen, a été tué par son garde du corps lors de ce qui semble avoir été « une attaque coordonnée », a ajouté la porte-parole. ©Ouest France
En Ethiopie, le chef d’état-major de l’armée éthiopienne a été abattu par son garde du corps quelques heures après une tentative de coup d’État dans l’Amhara, un État régional dont le président a également été tué, a déclaré dimanche une porte-parole du Premier ministre.
Celle-ci a précisé à la presse qu’un « commando de tueurs » dirigé par le chef de la sécurité de l’Amhara (nord-ouest) avait fait irruption dans une réunion samedi après-midi, blessant mortellement le président de la région Ambachew Mekonnen et un autre haut responsable.
Un peu plus tard, le chef d’état-major de l’armée éthiopienne, le général Seare Mekonnen, a été tué par son garde du corps lors de ce qui semble avoir été « une attaque coordonnée », a ajouté la porte-parole. ©Ouest France
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