JE CONDAMNE ET LE COMBAT CONTINUE Lors de la grande manifestation des comoriens à Marseille, des nombreux discours ont été pondus. Je...
JE CONDAMNE ET LE COMBAT CONTINUE
Lors de la grande manifestation des comoriens à Marseille, des nombreux discours ont été pondus. Je salue quelques uns, notamment ceux de mon frère Aboubakar Sais Omar et de ma sœur Me Anchcoura. Les mots de Lyon.
Toutefois, je condamne le port de Cercueil en m’enfonçant bien dans son inconvénient de celui-ci dans nos mœurs et qui ne favorise personne. Je condamne aussi certains propos tombés des bouches des intervenants et du parage. Des propos n’étant pas conformes à notre lutte.
Condamner des propos, n’est pas synonyme d’abandonner ni de se désolidariser d’un mouvement une lutte. Donc je reste toujours solidaire avec notre mouvement et j’y suis profondément. La lutte continue, jusqu’à ce que le de notre pays, qui n’est autre qu’Azali et ses affriolés s’en aillent.
Par Said Yassine Said Ahmed
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