Depuis quelques jours, des procès sont ouverts au parquet de Moroni. L'opinion des hommes de droits sont partagés sur les conditions ...
Depuis quelques jours, des procès sont ouverts au parquet de Moroni. L'opinion des hommes de droits sont partagés sur les conditions du déroulement de ces procès, ce qui peut laisser des séquelles néfastes dans tout le pays.
En faisant un retour en arrière et en tenant compte de celui à qui on a hérité le système de gouvernance, la France, on trouve que l'histoire nous rattrape comme une sorte de fatalité.
Aujourd'hui, le climat peut se résumer à celui de l'oeuvre cinématographique de Mathieu Kassovitz, sorti en 1995, en France, dont un des protagonistes, disait :
"C'est l'histoire d'un homme qui tombe d'un immeuble de 50 étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : « Jusqu'ici tout va bien... Jusqu'ici tout va bien... Jusqu'ici tout va bien. » Mais l'important, c'est pas la chute. C'est l'atterrissage".
Et pourtant, la façon dont nous connaissons notre pays, sinon, la façon dont on aimerait voir notre pays, se résumerait sur une autre vision, une autre pensée, comme celle de Gandhi qui dit que :
"On ne peut battre son adversaire que par l'amour et non la haine. La haine est la forme la plus subtile de la violence. La haine blesse celui qui hait, et non le haï".
Et même dans l'alphabet le "M" précède la "N", ce qui implique que, c'est toujours l'amour qui triomphe.
Aujourd'hui, nous sommes arrivés à un stade où on ne peut compter, en aucun cas, sur la bonté de qui que ce soit, sauf à Dieu.
Que Dieu nous vienne en aide.
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