Le numérique est un espace de bonté, de gaieté, de richesse, et non plus un espace de honte et des bavures. L’espace numérique est o...
Le numérique est un espace de bonté, de gaieté, de richesse, et non plus un espace de honte et des bavures.
L’espace numérique est ouvert pour tous. Il doit servir et faciliter la communication de chacun. Il doit être instructive et porteur de paix et non le contraire. Oui, les Comoriens ont besoin de l’outil numérique pour s’exprimer comme tout le monde. Mais cet outil doit être utilisé à bonne escient.
Nous devons savoir que les utilisateurs et utilisatrices du numériques en profitent cet outil à des fins commerciales, éducatifs, amicaux etc. Il (outil numérique) facilite les liens, diminue la distance et rapproche les familles. C’est ce qui fait la notoriété de cet outil, donc, indispensable pour chacun.
Contrairement à la plupart des utilisateurs et utilisatrices Comoriens, cet outil est usé à des fins dérisoires et malsains. Car des centaines des vidéos pornographiques circulent dans les réseaux sociaux tels que Facebook, Messenger... Que dirons-nous de cette situation ? Car les cas sont divergents si on essaie d’analyser cas par cas.
En pensant des dérives des Comoriens de Dubai, d’Egypte, des îles Comores, et ceux de la France Métropole, nous pourrions parler à ces personnes qui publient ces vidéos, qui sont d’abord des personnes ignorantes pour la plupart d’entre eux et ensuite des personnes mal-éduquées. Car, dans le premier cas, nous pouvons identifier les catégories des illettrés qui s’amusent dans les réseaux sociaux et qui basculent n’importe quoi dans n’importe quel moment, sans savoir ce qu’ils font.
Ensuite, la deuxième catégorie englobe les personnes mal-éduquées, ces femmes et hommes malintentionnés oublient que leurs mauvais actes peuvent à un certain moment détruire la vie d’une personne, d’une famille, d’une ville/village voire même la vie d’une communauté entière.
Il est de notre devoir pour chacun de veiller à l’éducation de nos enfants, de nos proches frères et sœurs qui par malheur confondent le mal au bien. Nous savons très bien que l’éducation devrait être la première préoccupation de notre Etat, mais à son absence ou au mépris de cet éducation du peuple, nous sommes censés de la faire.
A l’absence d’une politique éducative consciente à l’égard du danger dans les réseaux sociaux, nous devons veiller à ce que des images ignobles, indignes de nos valeurs ne se produisent et ne se publient plus jamais dans les réseaux sociaux
Djoubalasse
COMMENTAIRES