La seconde révolution comorienne. Âme sensible s'abstenir. Aux Comores, ça sens un odeur de "Kafru Lhayi". Je vous ...
La seconde révolution comorienne. Âme sensible s'abstenir.
Aux Comores, ça sens un odeur de "Kafru Lhayi".
Je vous rappelle que "Makkah et la Kaaba" ne sont pas conquis en caressant la barbe d'Abou Djahali et les bani Kuraychi. Des batailles ont été menées des guerres saintes ont eu lieu.
Cessons d'être gentils, Soyons vrais. Le pourrissement de la situation aux Comores ces dernières années. La décadence totale tirent la sonnette d'alarme. L'ère d'une seconde révolution sociopolitique me semble une option adéquate. Depuis belle lurette, ce "petit peuple" se voile la face ( peuple pacifique, tolèrent ). C'est faux, archi faux. Ce peuple vit avec la peur au ventre. Victime d'une soumission coloniale, d'une soumission sous l'ère des mercenaires. Avouons le mes chers compatriotes, nous sommes éduqués à nous taire. Nous ne savons pas nous révolter, revendiquer nos droits. Voilà en gros les amis ce qui explique le marasme économique, le désordre politique.
L'humanité a connu trois grande révolution: la révolution agricole, la révolution industrielle, la révolution scientifiques et technologiques. Et parallèlement, chaque nation a connu sa "petite" révolution. A titre d'exemple: La révolution française, la révolution Bolchevique et la révolution Soilihiste. Durant ces moments historiques pour le progrès et l'évolution du monde, l'Afrique en général et mon pays les Comores en particulier étaient aux abonnés absents. Raisons pour laquelle cette partie du globe peine à suivre la cadence du développement et du progrès.
L'humanité a connu trois grande révolution: la révolution agricole, la révolution industrielle, la révolution scientifiques et technologiques. Et parallèlement, chaque nation a connu sa "petite" révolution. A titre d'exemple: La révolution française, la révolution Bolchevique et la révolution Soilihiste. Durant ces moments historiques pour le progrès et l'évolution du monde, l'Afrique en général et mon pays les Comores en particulier étaient aux abonnés absents. Raisons pour laquelle cette partie du globe peine à suivre la cadence du développement et du progrès.
Nous sommes arrivés à ce stade de satiété. Les acteurs politiques, les acteurs religieux, le féodalisme sont à bout de souffle. Toutes les énergies sont bouchés. Il faut libérer les énergies, laisser émerger des nouvelles idées, des nouveaux acteurs. Ils sont où les enfants de cette partie. Le temps de la gloire a sonné. A bas le féodalisme! A bas la classe politique corrompue! A bas l'obscurantisme religieux.
Nous avons besoin d'une société juste et équitable. Nous avons besoin d'un État de droit.
Ben Ali Mbae
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