Le règlement de compte au sein du parti Juwa a commencé, ce règlement de compte est la conséquence de l'orientation du parti lors de ...
Le règlement de compte au sein du parti Juwa a commencé, ce règlement de compte est la conséquence de l'orientation du parti lors de la dernière présidentielle où Fahami dit-on a entraîné Sambi pour porter son soutien à Azali.
À l'époque, ce parti était divisé en trois tendances différentes, les uns sont allés chez Mouigni, Comme le secrétaire général du parti actuel, Barwane entre autres le député de Moroni Nord « affectueusement Papa » pour les intimes.
À l'époque, ce parti était divisé en trois tendances différentes, les uns sont allés chez Mouigni, Comme le secrétaire général du parti actuel, Barwane entre autres le député de Moroni Nord « affectueusement Papa » pour les intimes.
D'autres ont porté leur soutien à Mamadou, comme le docteur Adam Jimmy aujourd'hui devenu principal porte parole de l'opposition en France, un extrémiste. D'ailleurs, ce dernier anime avec d'autres je pense notamment à Paul Paul-Charles Delapeyre qui anime une équipe chargée d'infecter les réseaux sociaux, se cache souvent derrière, écrit et distribue à des anonymes pour ensuite publier sur Facebook.
Fahami et Jimmy bien que liés parentalement ne cessent de s'envoyer des amabilités à chaque occasion. Plus on avance dans le référendum plus le degré de nervosité chez les responsables de Juwa monte. Fahami est il le seul comptable de cette orientation? Non puisque Mahmoud Elarif et Paul Charles ont joué un rôle non négligeable dans le soutien d'Azali. Pourquoi ne demande pas t-on des Comptes à ceux là, et pourquoi Fahami seulement? Hier, à Ntsoudjini dans le meeting de l'opposition Barwane n'est pas allé par 4 chemin, il a abondamment critiqué leur [next] Ancien candidat le suspectant de proximité avec le régime.
Mais en réalité que se cache derrière cette bataille contre Fahami? On peut supposer que dans le cadre d'une probable présidentielle, subordonnée à la faisabilité du référendum, puisque l'opposition entend l'empêcher, Barwae peut suspecter Fahami de vouloir refaire surface pour constituer un obstacle pour celui dont tout le monde pense être le candidat légitime du parti en cas de présidentielle. Pour rappel lors d'une interview, la première depuis son exil, au cours de laquelle, Fahami s'est contenté de parler de généralités juridiques, alors qu'aux yeux de son parti, il aurait fallu, condamner la « dictature. »
Par Daoud Halifa - photo d'archives
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