Azali sur un nuage ? En apparence non, si les informations rapportées sont dignes de foi, le président confie à ses proches que la sor...
Azali sur un nuage ?
En apparence non, si les informations rapportées sont dignes de foi, le président confie à ses proches que la sortie du vice-président Djaffar est «un non événement». Au moins ça baisse l'atmosphère lourd qui règne au sommet de l'État et prie à ses soutiens de ne pas commenter l'événement, ce qui expliquerait le curieux silence observé par Beit- Salam .
En apparence non, si les informations rapportées sont dignes de foi, le président confie à ses proches que la sortie du vice-président Djaffar est «un non événement». Au moins ça baisse l'atmosphère lourd qui règne au sommet de l'État et prie à ses soutiens de ne pas commenter l'événement, ce qui expliquerait le curieux silence observé par Beit- Salam .
Interrogé sur la suite des évènements, le proche du président poursuit son propos en précisant que pour le moment, priorité est donné aux préparatifs du référendum.
Quelle sera l'attitude du président dans le prochain conseil de ministre, l'interlocuteur répond, l'activité gouvernementale n'est pas perturbée, le vice-président en soi n'est pas une institution bien qu'élu sur un même ticket. Le président reste le seul garant des institutions. Au vue d'une telle déclaration, il y a lieu de s'interroger si le président de la République n'est pas dans un nuage, déconnecté de la réalité du terrain.
Quelle sera l'attitude du président dans le prochain conseil de ministre, l'interlocuteur répond, l'activité gouvernementale n'est pas perturbée, le vice-président en soi n'est pas une institution bien qu'élu sur un même ticket. Le président reste le seul garant des institutions. Au vue d'une telle déclaration, il y a lieu de s'interroger si le président de la République n'est pas dans un nuage, déconnecté de la réalité du terrain.
Par Daoud Halifa