Dans un interview au journal d'Etat Alwatwa, le ministre de l'intérieur, Mohamed Daoudou, est revenu sur la polémique émise par le ...
Dans un interview au journal d'Etat Alwatwa, le ministre de l'intérieur, Mohamed Daoudou, est revenu sur la polémique émise par le député Oumouri selon laquelle 304 passeports auraient été émis et plus de 16.000 renouvelés depuis l'arrivée au pouvoir du président Azali (entre juin 2016 et octobre 2017).
Pour le député, ces ventes n'ont été mentionnées nul part dans le rapport sur la citoyenneté économique. Pour Mohamed Daoudou, le régime actuel n'a jamais vendu de passeport. "On a pu recadrer le processus de renouvellement des passeports et nous rejetons ceux qui l’ont eu à via des réseaux parallèles", a-t-il dit au journal Alwatwan.
Pour le député, ces ventes n'ont été mentionnées nul part dans le rapport sur la citoyenneté économique. Pour Mohamed Daoudou, le régime actuel n'a jamais vendu de passeport. "On a pu recadrer le processus de renouvellement des passeports et nous rejetons ceux qui l’ont eu à via des réseaux parallèles", a-t-il dit au journal Alwatwan.
"A mon arrivée au ministère, il y avait des passeports renouvelés et qui n’étaient pas remis aux propriétaires. Mais comme je l’ai annoncé précédemment, ces passeports nous ne les avons pas directement transmis aux Emirats. En plus de ces passeports, il y avait d’autres demandes de renouvellements.
Nous avons procédé à des vérifications avant de procéder à leurs renouvellements. Nous n’avons jamais vendu un seul passeport depuis notre arrivée au pouvoir. Mais effectivement nous avons procédé à des renouvellements conformément à des engagements que l’Etat comorien a pris envers les autorités émiraties. Des engagements que le gouvernement ne peut s’en passer, mais nous l’avons fait dans la légalité, contrairement à ce qui se passait précédemment."
Nous avons procédé à des vérifications avant de procéder à leurs renouvellements. Nous n’avons jamais vendu un seul passeport depuis notre arrivée au pouvoir. Mais effectivement nous avons procédé à des renouvellements conformément à des engagements que l’Etat comorien a pris envers les autorités émiraties. Des engagements que le gouvernement ne peut s’en passer, mais nous l’avons fait dans la légalité, contrairement à ce qui se passait précédemment."