Nous sommes en 2018 aux Comores Une violence policière d’un temps passé qui se répète sans justice. Face aux violences policière répété...
Nous sommes en 2018 aux Comores
Une violence policière d’un temps passé qui se répète sans justice. Face aux violences policière répétées: Osons rétablir le lien entre police et population.
Photo d'archives: Le journaliste Toufé Maecha et le commandant de la Gendarmerie Nationale, Chigou |
Nous condamnons avec la plus grande fermeté cette violence aveugle. La police a le devoir de protéger les citoyens et ne doit en aucun cas se servir de son autorité pour sortir des cadres stricts de sa mission. Ce genre de comportement abject nuit à la profession dans son ensemble et provoque également la défiance d’une partie de la population.
Les raisons de ses interpellations doivent être éclaircies. Aucun texte n’autorise le lynchage d’un citoyens pour motif non possession de sa pièce d’ identité. Les policiers doivent répondre de leurs actes devant la justice. J’espère du fond du cœur que ces gens pourront se remettre de l’épreuve qu’ils ont subit.
Je une pensée particulière à cette population martyrisée par un groupe d’individus sans scrupules. Nous demandons Justice. Rafik Adili