Le président Azali renouvelle l'énergie, toute l'énergie. L’énergie sous toutes ses formes, était en 2003 et reste en 2016, la sour...
Le président Azali renouvelle l'énergie, toute l'énergie. L’énergie sous toutes ses formes, était en 2003 et reste en 2016, la source de sa force morale. Il a une dent contre l'obscurité, ce qui fait qu'il est toujours prêt à se soumettre à la nécessité pour offrir la lumière aux comoriens et comoriennes. Ainsi, parfois ça fait rire à gorge déployée, quand certaines personnes nous chantent la chanson d’une meilleure façon d'éliminer l'obscurité, comme si, l’obscurité n’était pas une question urgente de vie ou de mort.
Comme si, il y a pire que l'obscurité ; ou comme si, il peut y avoir dans un pays, le moindre développement social ou économique sans électricité. Est-il vraiment nécessaire de rappeler encore une fois l'évidence au camp d'en face : " Oui, le commun entre l'aveugle et l'éclairé, s’observe lorsqu'il y a l'obscurité jour et nuit". N’est-ce pas ? le manque d'électricité aux Comores gâche tout. Ce manque assassine à la fois les patients (nos mères, pères, frères et sœurs) dans les hôpitaux. Ce manque d'électricité aux Comores, assassine nos économies dans les entreprises, dans les magasins et dans les boutiques. Cela dit que la question de l'énergie est un défi qui, en plus d'être urgent, est une question de vie ou de mort.
L’électricité à tout prix est un combat de vie ou de mort
Cette détermination du président Azali et son équipe, n’est autre que l’art de vivre autour d'un objectif, l’énergie. Pendant la campagne, le candidat Azali nous disait que : « Quand on n'a même pas une lampe, rien ne sert de viser la Lune. Mieux vaut se fixer un objectif à sa portée. Donner de la lumière aux comoriens et aux comoriennes pour pouvoir affronter la vie, c’est un devoir pour un président de la république et son équipe. Après tout, sans énergie, aucun développement ne sera possible. C’est pourquoi, l'achat de la centrale de " Voidjou " sur fond propre en 2003 ». Cela explique ceci, c’est la même raison et la même logique, Azali et son gouvernement ont déboursé six milliards de francs comoriens pour l'achat de cette nouvelle centrale en 2016.
L’énergie, encore l’énergie et toujours l’énergie, qu'elle soit morale, physique, électrique ou autre, il faut l'avoir pour pouvoir la donnée aux autres. Ainsi, Azali n’a pas oublié l’unique aéroport international. Ce dernier disposera désormais, sa propre centrale électrique à part entière. Il n’a pas oublié le palais présidentiel « Beit-Salam » qui vient de recevoir un groupe électrogène de réserve de 300 KVA (photo). Bravo monsieur le président « Mzihira mru navoné bo kowé ! »
Mrimdu