Le mensonge est l'énoncé délibéré d'un fait contraire à la vérité, A ne pas confondre avec la contre-vérité, qui désigne simplement...
Le mensonge est l'énoncé délibéré d'un fait contraire à la vérité, A ne pas confondre avec la contre-vérité, qui désigne simplement une affirmation inexacte, sans préjuger du fait que son auteur le sait ou non.
Le mensonge est une forme de manipulation qui vise à faire croire ou faire faire à l'autre ce qu'il n'aurait pas cru ou fait, s'il avait su la vérité. En général, le mensonge s'oppose à la véracité, à la sincérité.
Mentir, c’est donc déguiser sa pensée dans l'intention de tromper autrui. À ce titre, il est considéré comme un vice ou un péché par la tradition morale religieuse. (WIKIPEDIA)
Je ne fais pas de la psychologie mais je souhaiterai comprendre pourquoi d’une manière générale, les soutiens de M. Azali Assoumani n’ont à la bouche que des insultes à l’égard de leurs adversaires ? Et des mensonges et des contre- vérité pour réécrire l’histoire récente du pays ?
Monsieur le Président Ahmed Abdallah SAMBI avec tous les respects que je vous dois, vous mentez.
Vous mentez quand vous affirmez que M. Azali Assoumani eût organisé des élections transparentes qui permirent votre élection.
La vérité est tout autre malgré vos affirmations, les fariboles de ses supporteurs et ceux qui veulent à tout prix, nous faire oublier son passé. Car M. Azali Assoumani tripatouilla les élections malgré la présence des organismes internationaux et la sécurisation de celles-ci par l’AMISEC.
Vous rappelez vous du premier tour à Anjouan avec l’apparition intempestive et inopportune de M. Abderemane Ibrahim Halidi au second tour à la place de M. Caabi Elyachroutu Mohamed ? Qu’avait demandé le candidat malheureux M. Caabi Elyachroutu Mohamed, soutenu à l’époque par le félon ?
Qu’avait donc fait la CNEC, M. Azali Assoumani et son gouvernement de ses demandes ? Ils avalisèrent la fraude. Et où étiez-vous Monsieur le Président ? Lui avez-vous tendu la main à M. Caabi Elyachroutu Mohamed pour faire valoir ses « droits » ?
Au second tour, le raz-de-marée contre M. Azali Assoumani fut tel que son administration ne put rien, y faire. Il eut un gouffre que la fraude ne put pas combler entre la volonté du peuple comorien de se débarrasser de ce putschiste, en vous élisant contre son candidat. Mais malgré cet état de fait, sans la sécurisation assurée par l’AMISEC, le choix souverain du peuple n’aurait pas été respecté.
Alors, Les Bleus veulent nous faire avaler des sornettes en faisant mine d’ignorer le contexte de l’époque et en dépeignant leur « Grand schtroumpf » comme étant le responsable de l’unification du pays, mais sans pouvoir s’y rendre lui-même à Anjouan parce que M. Mohamed Bacar le félon y régnait en despote avec ses renégats.
M. Azali Assoumani n’est pas connu pour être un démocrate, il prit le pouvoir par la force, le 30 avril 1999, alors que les Comoriens revenaient d’une conférence, inter île qui se tenait à Antananarivo (Madagascar) du 19 au 23 avril 1999 à la recherche d’une réconciliation suite à la fugue d’Anjouan. Et cela après avoir organisé une cabale contre nos frères Anjouanais à Moroni. Mais les schtroumpfs disent partout que c’est un homme de rassemblement car il a déjà réussi à réconcilier M. Mohamed Daoud alias KIKI et M. HYDRO. De grâce pas d’éclats de rire c’est très sérieux. La morale est sauve.
Ensuite, Le colonel s’imposa, par la force en 2002, après un simulacre d’élection en l’absence du candidat de l’opposition au deuxième tour. Élu d’après les données communiquées par la CNEC par 39% des inscrits (223 396). C’est-à-dire 81 551 électeurs sur 87 251 votants. Un vrai plébiscite à la mode coréenne du Nord.
Vous souvenez vous, monsieur le Président A. A. Sambi, les Juwaistes ou ce qu’il en reste et les schtroumpfs, les contestations, les réclamations, les différentes requêtes et exigences de l’opposition de l’époque à l’issue du premier tour ? Feu M. Mahamoud M.adabi (Paix à son âme) et M. Said Ali Kemal encore lui, furent les victimes. Le peuple lui est la victime permanente.
Mesdames, Messieurs, vous mentez encore, quand vous affirmez, que le Président A. A. SAMBI eut été, un organisateur des élections libres.
D’ailleurs de tous les reproches que l’on peut faire ou porter à sa mandature, la plus infamante est d’avoir tué dans l’œuf la timide tentative de démocratie aux Comores.
Il n’est nullement nécessaire ici, de rappeler, ses promesses non tenues, car très peu y croyaient. Ni la vente de la nationalité comorienne dans le désert car cela ne concerne assurément pas la dignité du peuple comorien. Mais vous nous direz sûrement avec la qualité de votre raisonnement habituel, qu’il permit au pays d’être connu mondialement surtout dans le terrorisme international. Ne faisons pas la fine bouche. C’est mieux que rien quand même non ?
Au moins, nous le savons. Nous sommes prévenus, car « Mieux vaut un mal connu qu'un bien qui reste à connaître »
Photo ©habarizacomores.com |
Oui, mes chers « Soleilistes », nous sommes très nombreux, avoir été meurtris par l’attitude du président A.A. SAMBI et ses méthodes. Des milliers de Comoriens avaient un espoir raisonnable qu’un président élu démocratiquement, par son peuple, contribuerait à la démocratisation progressive des institutions du pays et non pas en être le fossoyeur.
En 2007, sous son autorité, des élections furent truquées. À Mohéli, contre Mohamed Said Fazul et sur l’île de Ngazidja, M. Mohamed Abdouloihabi a été placé de force en première position au premier tour pour ensuite être imposé au second tour contre le candidat du parti RIDJA, Maître Larifou Said, qui soit dit au passage à contribuer « modestement » avec d’autres à l’élection du grand mollah à la magistrature suprême un an auparavant.
Maître Larifou Said fut même convoqué à la gendarmerie au lendemain de ce kidnapping de la démocratie. Il y passa la journée. C’était peut-être pour prévenir la révolte éventuelle des partisans du candidat. Demandez à M. Dossar.
Vous souvenez vous, des décisions de la CIEC et de la cour constitutionnelle, concernant les recours déposés par le candidat Larifou Said ? Ils confirmèrent l’élection de M. Mohamed Abdouloihabi, le 24 juin 2007, avec 57,05 %. Il n’est peut-être pas nécessaire de rappeler le score obtenu par ce dernier à l’occasion du premier tour du 21 février 2016, il est 15èmesur 25 candidats avec 1.24%. C’est-à-dire 5 fois moins que son ancien challengeur en 2007.
Vous ne vous remémorez pas que Monsieur le Président a déclamé en public lors de la campagne de M. Ikililou Dhoinini, qu’il eut apportée à M. Mohamed Abdouloihabi son siège de président de l’île de Ngazidja et que ce dernier sut comment c’est arrivé. Oui, parce que entre-temps, il eut des désaccords avec M. Mohamed Abdouloihabi, car ce dernier eut peut-être l’outrecuidance de lui refuser son soutien dans sa quête d’être le seul à mériter le titre de « président ». Et accessoirement de tripatouiller la constitution pour s’éterniser au pouvoir. Ah ! L’ivresse du pouvoir des « Démocrates ».
Si vous ne vous souvenez pas, alors demandez à l’intéressé en personne ce qu’il en dit de son élection de 2007. Il en parlera mieux que personne. Mais vous pouvez peut-être aussi questionner ceux qui ont assisté à son mea culpa et à ses plates excuses quand il souhaita le soutien du RIDJA pour sa réélection.
Peut-être avez-vous un meilleur souvenir de l’élection de M. Moussa Toybou en 2008 sur l’île d’Anjouan contre M. Mohamed Djaanfari ? Considérez-vous que les élections furent transparentes ?
Vous mentez encore et toujours à propos de l’élection du pharmacien à la magistrature suprême. Il est de notoriété publique que M. Ikililou Dhoinini est illégitime à ce poste, car il fut imposé contre la volonté souveraine du peuple comorien.
Par quelle magie noire, cet inconnu triompha de Mohamed Fazul à Mohéli au premier tour et dans tout le pays au second tour ?
Vous souvenez vous des dires des observateurs et des gros titres de la presse internationale au second tour de l’élection ?« Il n’y a pas eu d’élection à Anjouan ».
Voyez-vous ? Ces manquements et ces comportements de voyous de la république, ont dénié au peuple comorien dans son ensemble un droit élémentaire, imprescriptible et inaliénable : La Liberté. Du moins celle de choisir librement ses dirigeants.
M. Le Président l’avait, lui-même peut être murmuré ou laissé entendre que M. Ikililou Dhoinini n’a jamais été régulièrement élu mais qu’il nous fût imposé pour la continuité qui le rassure. Manque de chance, il lui tourna le dos.
Vous connaissez le projet. Il s’agissait de créer à terme un pouvoir à deux têtes comme en IRAN avec le dernier mot au mollah. Mais la nature humaine est ainsi faite.
Mais il ne fut pas le premier de la liste non exhaustive ci-dessous, des personnes imposées par la fraude au peuple comorien qui lui tourna le dos :
M. Mohamed Abdouloihabi - Ngazidja
M. Mohamed Ali Said - Mohéli
M. Moussa Toybou - Anjouan
M. Mouigni Baraka Soilihi - Ngazidja
M. Ikililou Dhoinini - Comores
M. Anissi Chamsidine - Anjouan
Alors quand ces Messieurs les ex interpellent M. Ikililou Dhoinini à ne pas marquer l’histoire de Mohéli négativement en cautionnant des fraudes aux élections, qu’ils s’égosillent sur ce spectacle déplorable et de ses conséquences pour la jeune génération, que croyez-vous que nous retiendrons de vos actions passées?
Messieurs les ex, les Zova, les schtroumpfs, vous ne pouvez pas vous draper dans des nouveaux habits qui vous siéent si mal en vous érigeant en donneur de leçons quand les mêmes procédés furent usés systématiquement pendant vos mandats, pour imposer vos hommes contre la souveraineté du peuple comorien.
Tous les candidats qui endurèrent et supportèrent ces manquements, eurent déposé des recours auprès des instances organisatrices des élections et la cour constitutionnelle pour faire valoir leurs droits. Et ils s’inclinèrent ensuite devant les décisions (iniques) de cette instance suprême dans une « démocratie».
Mesdames, Messieurs, il ne s’agit pas de vous dénier le droit de mentir et des nous raconter vos rêves qui sont nos cauchemars, dans votre quête absolue du pouvoir mais seulement vous priez d’agir en responsabilité et pas avec des menaces de révolution du peuple comorien, etc...si vous perdez sachant que l’addition de 2 perdants ne produise pas un gagnant.
Mais quoi que vous décidiez, agissez pacifiquement. De grâce ne prenez pas ce pays en otage. C’est notre bien commun à tous. Nous ne pouvons pas nous payer le luxe d’une guerre civile.
Nous n’avons nullement envie de nous entretuer pour vous. M. Mohamed Ali Soilihi est au pouvoir depuis 5 ans, sans compter ses participations aux différents gouvernements successifs, mais ses partisans répètent à qui veulent l’entendre qu’il n’a été que ministre (c’est léger). M. Mouigni Baraka Said Soilih « Iznogoud »devenu calife en tuant son bienfaiteur « Haroun el Poussah », est à la tête de l’île de Ngazidja depuis 5 ans, M. Azali Assoumani suite à sa forfaiture, fut à la tête du pays pendant 7 ans, M. Le Président A.A. Sambi, fut au pouvoir pendant 5 ans. Qu’avons-nous gagné en tant que peuple ? Qu’est-ce que notre pays gardera de vos passages respectifs au pouvoir ?
- · Un chemin pavé vers la démocratie ? Kapvou
- · Un meilleur système éducatif ? Kapvou
- · Des hôpitaux, pour soigner nos malades ? Kapvou
- · Un peu d’eau et de l’électricité ? Kapvou
- · L’autosuffisance alimentaire ? Kapvou
- · Le recul de la pauvreté ?
- · Le recouvrement de l’intégrité territoriale ?
- · L’espoir à un avenir meilleur ?
- · Un réel sentiment d’appartenance à une nation ?
Plus de 95% du peuple comorien vivote depuis des années, alors s’il vous plaît, épargnez-nous. Faites vos jeux et que le meilleur aigrefin gagne.
Monsieur le Président A.A. SAMBI est le premier responsable de cette situation. C’est le relais qui le rassure qui est aux manettes. Il n’a donc pas le droit, d’entraîner le peuple comorien dans un malheur encore plus grand, car sa propre créature se retourne contre vous. Et vos propres procédés sont réutilisés contre vous tous.
Alors quand, un autoproclamé « révolutionnaire » appel à une alliance productive pour le pays entre le JUWA et le CRC qui pense-t-il trompé ?
Ou quand il affirme que la seule faute imputable au « Grand schtroumpf » est d’avoir permis la départementalisation de Mayotte ? Monsieur le « révolutionnaire » considère donc que c’est une faute pardonnable ? Alors que lui reste-t-il de révolutionnaire ? En somme le seul fait d’appartenir au front démocratique vous confère le titre du grand « Che ». Dont acte.
M. le « révolutionnaire », considère-t-il que la prise du pouvoir par la force et les faux coups d'État à la mode soviétique de Bolléro pour justifier, les emprisonnements des opposants, ou les détournements de fonds publics et tous ce qui précèdent doivent être tout simplement enfouis dans les oubliettes de l’histoire ?
Des schtroumpfs bricoleurs bardés des diplômes en économie et sociologie (impressionnant) affirment que choisir, le Grand schtroumpf, c’est choisir l’énergie pour les Comores. Au moins avec eux à la manette, nous aurons des illuminés. Ils sont tellement brillants, qu’ils leur suffiraient d’être au pouvoir pour irradier le pays de leur lumière.
Le schtroumpf coquet affirme pour sa part que le président A.A. SAMBI, à lui seul, peut faire gagner le Grand schtroumpf à Anjouan. Quel soleil. Heureusement qu’il est là sinon les Comores et l’île d’Anjouan en particulier seraient plongés dans l’obscurité. « ngari choukri ao Mngu pvo yari pvayé. Ba ri wono ndrongo ratsuparo zi wona»
Nous parlons bien ici, du piètre stratège qui espéra gagner les élections avec le député, Maître Fahami Said Ibrahim qui fut élu avec 10 malheureuses voix d’écart dans son « fief » ? Alors qu’il disposa de plusieurs combinaisons possibles notamment M. Bourhane Hamidou qui est l’un de ses hommes ? Ah ! Cette propension à se croire infaillible le perd.
Un Soilihiste affirme même que l’accord entre le JUWA et CRC a une conséquence géopolitique entre les sunnites et les chiites ? Ali Soilihi doit se retourner dans sa tombe. Paix à son âme. C’est dire, le niveau atteint par ces joyaux de notre pays.
Nous autres, nous pouvons déjà écrire la suite et la fin de l’histoire du Grand schtroumpf, Gargamel et Azraël.
C’est bien le Président A.A. Sambi qui a fait huer le colonel. C’est bien le même qui affirma que le putschiste, ne lui, laissa que 500 000fc dans les caisses, et qui emprisonna certains collaborateurs du Grand schtroumpf et interdit, les autres de quitter le territoire national ?
Alors quand, les schtroumpfs, les سولي, s’évertuent à qualifier certains politiciens de prostitués, s’adressent-ils, plus particulièrement au camp d’en face ?
Le plus grave dans tout cela, c’est cette certitude en nous, d’être utile aux débats. Nous sommes convaincus que nous avons les solutions pour sortir le pays de sa léthargie. Que nous sommes préparés à exercer le pouvoir parce que nous avons un master 2 en bavardage sur la toile.
Le peuple n’a rien à gagner dans ces élections. Nous demandons donc un peu de « IMANI » et de la décence eut égard à la situation du pays. Nous savons tous que dans cinq ans, ce pays sera toujours au même niveau de désespérance et nous recommencerons ces invectives improductives.
Veuillez donc, garder vos insultes et vos verbiages creux pour vous. Foutez-nous la paix s’il vous plaît.
MAHE Ahmed