Le comoriens en ont marre, la jeunesse au commandement de ces élections - SUITE de l'article Son successeur ne pouvait faire aut...
Le comoriens en ont marre, la jeunesse au commandement de ces élections - SUITE de l'article
Son successeur ne pouvait faire autrement, lui le mentor croyant que le mensonge est une base politique pour servir tout un peuple. Le tour est joué lorsque cette personnalité, qui sait appeler dieu non pas en comorien mais en arabe, épate le comorien lambda qui s’est laissé croire trouver le fruit d'Aden sans mourir ni passer par le paradis. Il s'est accroché à celui qui récite la parole divine les yeux fermés, la tête balançant de haut en bas de droite à gauche et le cœur pouffait de rires, cet icône sans colle Latex qu'importe la traduction, à beau mentir vient-il de loin ou vraiment d’Iran ? Lui aussi il disait qu’il savait rien de politique mais était trahi savamment par ses accompagnateurs.
Vint l'âge d'Ikilillou qui se laisse badigeonner par ses collaborateurs qui eux n'en savent pas plus ce qu'ils ont à dire car personne n'est maître dans cette royauté dont le roi n’attend que partir le plus vite possible, n’est-il pas le bon truand mauvais sage ?
Voila un pays qui évolue seul parce que les jours passent et les nuits se suivent, dans un pays dont sans ou avec président les années peuvent s'écouler sans calendrier, et où les plantes n'ont pas besoin d'être arrosées et où les personnes peuvent mourir sans souci et sans que le sort divin ne soit mis en cause, ou dieu ne soit pris pour responsable, et pourquoi avons-nous besoin d’un Président ?
Voilà jadis un pays où un président conscient de ses fonctions a été tué par des mercenaires, et dont le peuple au lieu d'en pleurer à un des leurs a dansé aux éclats de rires et aux poitrines bombée. Et dirai-je à cet instant, ce qui lui arriva nous arriva tous, en un sens nous sommes tués et vivants tour à tour par un de nous sans que nos cœurs ne soient en pleurs ou ne suent une goutte de sang.
Aujourd'hui les mêmes et leurs pareils sont candidats et dans l’incapacité de poser nullement un diagnostic de ce qu'il arrive en réalité de ce pays. Il est odieux que nous devenions des stoïciens de nausée et souffrance, et nos enfants des offrandes dont nous livrons à ces caïds sans que ces derniers ne soient interpellés ni par la foi ni loi.
Pour les jeunes, le problème ce n'est pas seulement la pensée économique mais le constat d'un pays en dérive où ceux qui sont riches n'ont jamais travaillé et ne se sont jamais mis à l'œuvre pour leur devenir, et où les travailleurs mêmes les plus infatigables sont des mendiants du matin au soir durant des années de vie courte ou longue.
Cette année encore on aurait cru que les cieux vont tomber sur nos têtes par la volonté de celui qui par les paroles divines troussait sa robe verte couleur de l'islam pour nous faire croire et à ses fidèles porteurs du mensonge qu'il allait être candidat et que son programme se base sur des voitures volantes et ses fabriques de petits paradis touristiques, mais dieu a fait autrement, il l’a fait éclipser sans tuer aucune mouche alors qu'il aurait prévenu de battre la terre rouge du sang pour être président en 2016, voila qu'il choisit un plan B en la personne de celle qui se croit tout devoir savoir par naissance.
De l’autre le deuxième clan ceux qui possèdent encore le pouvoir qui sont toujours debout contre quiconque qui oserait réclamer droits. Ceux-là qui sont candidats gagnants avant même les élections, et où les mitraillettes risquent de tomber sur eux-mêmes.
On est dans une campagne où personne ne dit rien non seulement que les candidats n'ont rien à dire mais parce que la plupart, au risque que leur passé perturbe leurs stratégies, de soulever le peuple contre eux, garde pour leur seul argument d’user leur passé morne.
Pour ces élections, alors, on aurait bien la chance que la jeunesse comorienne, se rend comptable de la vie de leur père et d’eux-mêmes, pendant que ceux, qui sont leurs bourreaux, sont en réalité ceux qui ont été durant une partie de leur vie éduqués par l’Etat et voila qu’au lieu de rendre des loyaux services, ils continuent de saigner tout espoir aux générations qu’ils ont en charge.
Ces élections sont pour cette jeunesse bien instruite et bardée de diplômes par la volonté de leurs parents et reconvertis des demeurés sacrifiés sous l’autel des gens qui devraient se donner au contraire au devenir de ce pays.
La jeunesse actuelle de ce pays doit être au commandement de ces élections pour choisir d’autres candidats qui peuvent être à leur écoute et les accompagner pour changer le sort avec des visions partagées.
Pour cela, la jeunesse actuelle doit se concerter partout où elle est au village comme à l’école, des les espaces de jeux comme dans les espaces d’errance à travers la diaspora ou lees kwassa-kwassa pour se concerter studieusement et se faire une voie, une voie du changement, et c’est cela changer le sort, le changement d’un peuple.
A vous jeunesse comorienne de vous faire respecter sans violence mais montrer à vos parents, vos oncles et tantes que pour qu’une fois qu’ils suivent le chemin que vous vous avez fait choix de l’espérance.
Pour parfaire, il faut que la jeunesse comorienne fasse de ces élections sa victoire sollicitée auprès des parents comoriens, sinon elle va continuer pendant encore au moins 5ans à se faire trainer et pour longtemps.
La jeunesse actuelle doit fuir voire bannir ceux qui ont durant leurs mandatures volé les biens communs et qui veulent encore revenir voler plus. Cette jeunesse doit avec conscience évaluer les programmes des candidats surtout les nouveaux, et tenir compte de l’intégrité et des comportements des candidats pour faire choix du meilleur et se faire respecter. La jeunesse actuelle, je suis persuadé qu’elle saurait porter le flambeau des Comores plus prospères tournées vers l’avenir. Elle doit sillonner ville en village pour se constituer l’anneau de la victoire, sa victoire, la victoire sur plume signée des générations futures, car cette victoire serait inoubliable, elle serait inscrite dans l’histoire des Comores, et du monde, seule la démocratie dans ses respects vertus, nous et vous donnera droit de changer le sort de ce pays, et aucun dirigeant comorien ne peut plus être voyou de la République.
Lire la première partie de l'article
Naween Khalifah
On est dans une campagne où personne ne dit rien non seulement que les candidats n'ont rien à dire mais parce que la plupart, au risque que leur passé perturbe leurs stratégies, de soulever le peuple contre eux, garde pour leur seul argument d’user leur passé morne.
Pour ces élections, alors, on aurait bien la chance que la jeunesse comorienne, se rend comptable de la vie de leur père et d’eux-mêmes, pendant que ceux, qui sont leurs bourreaux, sont en réalité ceux qui ont été durant une partie de leur vie éduqués par l’Etat et voila qu’au lieu de rendre des loyaux services, ils continuent de saigner tout espoir aux générations qu’ils ont en charge.
Ces élections sont pour cette jeunesse bien instruite et bardée de diplômes par la volonté de leurs parents et reconvertis des demeurés sacrifiés sous l’autel des gens qui devraient se donner au contraire au devenir de ce pays.
La jeunesse actuelle de ce pays doit être au commandement de ces élections pour choisir d’autres candidats qui peuvent être à leur écoute et les accompagner pour changer le sort avec des visions partagées.
Pour cela, la jeunesse actuelle doit se concerter partout où elle est au village comme à l’école, des les espaces de jeux comme dans les espaces d’errance à travers la diaspora ou lees kwassa-kwassa pour se concerter studieusement et se faire une voie, une voie du changement, et c’est cela changer le sort, le changement d’un peuple.
A vous jeunesse comorienne de vous faire respecter sans violence mais montrer à vos parents, vos oncles et tantes que pour qu’une fois qu’ils suivent le chemin que vous vous avez fait choix de l’espérance.
Pour parfaire, il faut que la jeunesse comorienne fasse de ces élections sa victoire sollicitée auprès des parents comoriens, sinon elle va continuer pendant encore au moins 5ans à se faire trainer et pour longtemps.
La jeunesse actuelle doit fuir voire bannir ceux qui ont durant leurs mandatures volé les biens communs et qui veulent encore revenir voler plus. Cette jeunesse doit avec conscience évaluer les programmes des candidats surtout les nouveaux, et tenir compte de l’intégrité et des comportements des candidats pour faire choix du meilleur et se faire respecter. La jeunesse actuelle, je suis persuadé qu’elle saurait porter le flambeau des Comores plus prospères tournées vers l’avenir. Elle doit sillonner ville en village pour se constituer l’anneau de la victoire, sa victoire, la victoire sur plume signée des générations futures, car cette victoire serait inoubliable, elle serait inscrite dans l’histoire des Comores, et du monde, seule la démocratie dans ses respects vertus, nous et vous donnera droit de changer le sort de ce pays, et aucun dirigeant comorien ne peut plus être voyou de la République.
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Naween Khalifah