C’est par l’indignation que le parti RIDJA a riposté contre le communiqué de presse de la Cour Constitutionnelle qui amis en garde aux avoc...
C’est par l’indignation que le parti RIDJA a riposté contre le communiqué de presse de la Cour Constitutionnelle qui amis en garde aux avocats à tout interprétation des leurs arrêts. Choqué par cette publication, Saïd Larifou, a prévenu la Cour de mettre fin a leur intimidations.
Quelques heures après la publication du communiqué de la Cour Constitutionnelle, l’avocat, Saïd Larifou a convié la presse pour y répondre. Considérant que cette décision est une menace, le parti Ridja a rappelé la Cour à l’ordre constitutionnel. « Ce qui va se passer passera mais on ne va pas accepter les intimidations de la Cour bien qu’elle soit instrumentalisée mais la cour n’a pas le droit de nous menacer. On ne peut pas se taire et n’est pas dire ce qui se passe dans le pays. La cour doit comprendre qu’elle n’est pas la seule dans ce monde et qu’on commentera leurs décision qu’elle veut ou pas si elles ne sont pas valable. Alors nous leur dirons qu’on ne lâchera rien et leur menaces n’ont pas de place dans le débat actuel »a, t-il averti le candidat Saïd Larifou.
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Choqué par le rejet de la requête de son vice président Maitre Bacon qui a demandé l’invalidation de la candidature de Mamadou et Mouigni Baraka, de ne pas quitter le pouvoir après la publication de la liste définitive, Larifou se soumet à l’arrêt de la cour bien qu’il n’est pas du tout satisfait. « On est des juristes et on accepte la décision même si elle est injuste.
Mais dans la droit, il y a ceux qui les écrits et les non écrits mais valable et applicable à la loi. Il n y a pas un comorien qui ne s’inquiète pas de la pratique malsaine des biens publics a des fins électoraux et les intimidations des agents qui travaillent pour le gouvernement par le vice-président et le gouverneur de l’ile, alors le mieux qu’ils démissionnent avant la campagne », a-t-il montré.
Faisant le tour de l’actualité du pays, en commençant par les anomalies de la CENI, Said Larifou a clarifié sa position sur la rupture des relations entre le Comores et l’Iran. « Je crois que le gouvernement a fait une confusion entre la religion et la diplomatie. Bien sur aucun pays du monde n’est pas d’accord avec ce qu’il a fait l’Iran, mais je crois que c’est la précipitation de rompre ses relations avec l’Iran mais cela montre que ces gens là ne savent pas ce qu’ils font. Par contre si je serai élu, je reprendrai nos relations avec l’Iran », a-t-il conclu.
Nakidine Hassane