Oui ! Les comoriens ont mille fois raison de dire et de réaffirmer que dans notre pays aux Comores, il n'y a pas de différence entre l...
Oui ! Les comoriens ont mille fois raison de dire et de réaffirmer que dans notre pays aux Comores, il n'y a pas de différence entre l'érudit c.à.d, c'est lui qui détient le savoir et l'instruction par l'école et l'inculte c.à.d, c'est lui qui n'a jamais mis ses deux pieds à la porte de l'école.
Et les comoriens ne se sont pas trompés et ne se trompent pas, lorsqu'ils qualifient les cadres et intellectuels comoriens qui pilulent dans la fonction publique d'État de cadres de bois. Et l'exemple le plus ahurissant vient d'être donné par Maître Larifou de la ville lumière de Foumbouni. . . . la seule ville des Comores qui compte plus de 12 médecins qui exercent dans l'archipel et partout dans le monde.
Dans une France qui se réveille sonnée, comment un homme comorien, français , musulman, qui se dit défenseur de la loi, et candidat à la fonction suprême, peut décider par un coup de tête fatal, de tenir meeting, alors que l'État français dont il est citoyen de part sa nationalité, vient de décréter l'état d'urgence (interdiction de tout rassemblement, fermeture des frontières. . . ) sur tout l'étendue du territoire national ?
Comment donc les comoriens peuvent faire confiance à cet homme ? Comment un homme qui se dit censé peut décider de se faire " hara kiri "en public? Où est donc l'humanisme de cet homme, qui veut à tout prix nous gouverner?
Je lui fais grâce de sa tentative éphémère d'alliance avec son pire ennemi Sambi. . . Cet homme a oublié que à chaque fois qu'il est en difficulté à Moroni, c'est vers l'ambassade de France qu'il tourne son regard?
À ceux qui conseillent cet homme, un conseil : rendez les armes . Oui ! L'éminent professeur de lettres modernes de Foumbouni Ali Mlamali, ancien ministre du MONGOZI co -fondateur du RIDJA, avait raison de quitter le navire avant que l'irréparable ne soit comis. Ça y est ! C'est fait dimanche 15 novembre. Par Ali Abdoulwahab, politologue.