J’ai beau lire un article intitulé « Larifou s’enterre à Marseille », apparu le lundi 16/11/2015 sur habarizacomores.com (A lire ici) d’un ...
J’ai beau lire un article intitulé « Larifou s’enterre à Marseille », apparu le lundi 16/11/2015 sur habarizacomores.com (A lire ici) d’un certain politologue comorien qui se prénomme Abdoulwahab. Ma première réaction fut de l’intercepter par un rappel à l’ordre de son imposture à s’attribuer un titre digne de toute valeur intellectuelle. Un titre qui se doit à des analyses politiques consistantes et bien fondées. Simplement parce que, votre lecteur se laisse guider par votre orientation, du fait, que l impression que vous cataloguez en tant que spécialiste, ne doit pas laisser place à la culture du doute.
Pour être bavard dans mon raisonnement thématique, ce soit disant politologue confond étude des faits politiques et haine en soi envers autrui. Facile à invectiver par la grâce de toute baliverne, salade et compagnie, surtout quand on est un homme sans couleur politique et qui se laisse emporter par les vagues et clivages de l’opportunisme sataniques. Mr Abdoulwahab que je connais très bien par son parachutage politique est un homme de la politique du pain sur la planche. Assagi par ses troubles sommeils, on l’a découvert dans le mouvement de la diversité autrefois dirigé par Mr Soilihi Hassani de Mbeni. Je peux vous dire qu’il fut un grand élément troublant, hautain et surtout confus.
Revenons à l’article du politologue :
Comme élément de réponse à ton article bâclé à-la-va-vite, je vous rappelle qu’à la date du meeting de Maître Larifou, (le 15/11/2015) l’état d’urgence a été décrété uniquement à paris alors que, le meeting se tenait à Marseille. Et de deux, les organisateurs du meeting sont allés s’enquérir auprès de la préfecture de Marseille, et qu’on leurs a appris que, pour ce qui est de rassemblement dans une salle fermée, cala ne pose aucun problème. Une erreur d’appréciation classiquement non négligeable de votre part en tant que politologue.
Larifou n’a jamais fait l’objet de rejuge à l’ambassade de France aux Comores comme l’a fait ton soldat Azali. Je suppose que votre étude de faits politiques, vous renvoie à des troubles de mémoires. Etant défenseur de la démocratie moderne, et membre de la ligue de droit de l’homme, Larifou s’est fait défendre en 2003, auprès du tribunal de grande instance de Moroni, par des avocats français, quand il fut incarcéré arbitrairement pour avoir organisé des manifestations légalement autorisées. En tout état de cause, les internautes comoriens méritent bien d’être éduqués et informés par des politologues sérieux et moins malhonnêtes.
M’nemoi ahamed Doudou
Pour être bavard dans mon raisonnement thématique, ce soit disant politologue confond étude des faits politiques et haine en soi envers autrui. Facile à invectiver par la grâce de toute baliverne, salade et compagnie, surtout quand on est un homme sans couleur politique et qui se laisse emporter par les vagues et clivages de l’opportunisme sataniques. Mr Abdoulwahab que je connais très bien par son parachutage politique est un homme de la politique du pain sur la planche. Assagi par ses troubles sommeils, on l’a découvert dans le mouvement de la diversité autrefois dirigé par Mr Soilihi Hassani de Mbeni. Je peux vous dire qu’il fut un grand élément troublant, hautain et surtout confus.
Revenons à l’article du politologue :
Comme élément de réponse à ton article bâclé à-la-va-vite, je vous rappelle qu’à la date du meeting de Maître Larifou, (le 15/11/2015) l’état d’urgence a été décrété uniquement à paris alors que, le meeting se tenait à Marseille. Et de deux, les organisateurs du meeting sont allés s’enquérir auprès de la préfecture de Marseille, et qu’on leurs a appris que, pour ce qui est de rassemblement dans une salle fermée, cala ne pose aucun problème. Une erreur d’appréciation classiquement non négligeable de votre part en tant que politologue.
Larifou n’a jamais fait l’objet de rejuge à l’ambassade de France aux Comores comme l’a fait ton soldat Azali. Je suppose que votre étude de faits politiques, vous renvoie à des troubles de mémoires. Etant défenseur de la démocratie moderne, et membre de la ligue de droit de l’homme, Larifou s’est fait défendre en 2003, auprès du tribunal de grande instance de Moroni, par des avocats français, quand il fut incarcéré arbitrairement pour avoir organisé des manifestations légalement autorisées. En tout état de cause, les internautes comoriens méritent bien d’être éduqués et informés par des politologues sérieux et moins malhonnêtes.
M’nemoi ahamed Doudou