Quelques semaines après le retour des pèlerins comoriens, les agences de voyages accusent le gouvernement d’avoir fomenté un sabotage du Had...
Quelques semaines après le retour des pèlerins comoriens, les agences de voyages accusent le gouvernement d’avoir fomenté un sabotage du Hadj 2015. Bien que des dysfonctionnements dans l’organisation du Hadj ont eu lieu, les agences déclarent que le gouvernement n’a rien entrepris pour limiter la mésaventure des pèlerins.
En effet, les agences de voyages dénoncent les conditions difficiles dans lesquelles ils ont effectué le hadj de 2015 du fait de la mauvaise organisation du gouvernement. Ceci est totalement inacceptable. Devant la presse ce samedi à Moroni, les représentants des agences de voyages ont profité pour dénoncer la misère généralisée dans laquelle ont vie les pèlerins et ont montré que le gouvernement était au cœur de toute les problèmes du Hadj. « Le hadj de cette année a connu certainement des problèmes pendant que ce trois dernières années, il n’y a eu aucun soucis. Ceci est du au fait que le ministère des affaires islamique et l’ambassadeur des Comores en Arabie saoudite ont voulu ouvrir une agence a eu pour gérer le hadja et comme ça n’a pas marché, ils ont collaboré avec la commission du Hadj pour saboter l’organisation du Hadj sous prétexte que les agences ont malgré et enfin pour qu’on le retire l’organisation. Mais en réalité c’est le gouvernement qui a saboté le hadj de cette année », a-t-il déclaré Mohamed Moina directeur de l’agence Amani Voyage.
En répondant aux accusations du ministre de la justice sur le fait que les agences ont volé de l’argent, les agences de voyages ont donné la réponse du berger à la berge. « Si nous avons volé de l’argent je crois que le ministère de tutelle de ce hadj et le ministère de la justice et on devrait être déjà en prison sinon je crois que ce de la rumeur. Le hadj est une activité touristique de manière religieuse. Donc en général, ces les agences de voyage et les tours operateurs qui doivent gérer ces voyages.
En effet, les agences de voyages dénoncent les conditions difficiles dans lesquelles ils ont effectué le hadj de 2015 du fait de la mauvaise organisation du gouvernement. Ceci est totalement inacceptable. Devant la presse ce samedi à Moroni, les représentants des agences de voyages ont profité pour dénoncer la misère généralisée dans laquelle ont vie les pèlerins et ont montré que le gouvernement était au cœur de toute les problèmes du Hadj. « Le hadj de cette année a connu certainement des problèmes pendant que ce trois dernières années, il n’y a eu aucun soucis. Ceci est du au fait que le ministère des affaires islamique et l’ambassadeur des Comores en Arabie saoudite ont voulu ouvrir une agence a eu pour gérer le hadja et comme ça n’a pas marché, ils ont collaboré avec la commission du Hadj pour saboter l’organisation du Hadj sous prétexte que les agences ont malgré et enfin pour qu’on le retire l’organisation. Mais en réalité c’est le gouvernement qui a saboté le hadj de cette année », a-t-il déclaré Mohamed Moina directeur de l’agence Amani Voyage.
Image d'archives ©habarizacomores |
En répondant aux accusations du ministre de la justice sur le fait que les agences ont volé de l’argent, les agences de voyages ont donné la réponse du berger à la berge. « Si nous avons volé de l’argent je crois que le ministère de tutelle de ce hadj et le ministère de la justice et on devrait être déjà en prison sinon je crois que ce de la rumeur. Le hadj est une activité touristique de manière religieuse. Donc en général, ces les agences de voyage et les tours operateurs qui doivent gérer ces voyages.
On a paye tous les droits à 100% alors qu’on ne devrait pas payer que le 50% pour qu’on nous délivre les visas. Pourtant nous avons payé tout en avance, une situation qui ne nous est jamais arrivé mais cette fois ci c’est la pression du ministère. Donc c’est eux qui ont saboté le processus soit par ignorance soit par ce qu’ils voulaient des intérêts personnel mais s’il y a eu sabotage c’est bien le gouvernement qu’il a fait et non les agence », a-t-il précisé Younoussa Mohamed.
Par Nakidine Hassane