La route qui mène vers une élection transparente de la diaspora est encore longue. Le réalisme ne l'emporte manifestement pas sur les se...
La route qui mène vers une élection transparente de la diaspora est encore longue. Le réalisme ne l'emporte manifestement pas sur les sentiments. En première ligne, la Commission électorale nationale indépendante (CENI) qui connait mieux que quiconque que l'opérationnalisation de ce vote est difficile cette année, est exclu du processus.
C'est en fait un poudre aux yeux que le gouvernement veut coute que coute faire voter la diaspora comorienne résumée en ceux qui vivent France. Sans fichier électoral, ni carte d'électeur, ni calendrier des activités, dure encore la CENI est hors du circuit. Devant la presse ce lundi, la CENI a lancé le recensement exceptionnel en vue d'une révision du fichier électoral dans les trois iles sans pour autant donner la modalité du vote de la diaspora.
« Les travaux techniques ont été fait, nous avons soumis nos propositions au gouvernement qui devait fournir les moyens. Mais jusqu'à présent le gouvernement n'a pas dévoilé les cadres légales de ce vote de la diaspora », a-t-elle annoncé la vice-présidente de la CENI.
Mais la presse ne s'est pas montrée persuadé sur tous les aspects du vote de la diaspora. La CENI a été questionné sur la pertinence d'un tel projet ainsi que sur la façon de travailler ses représentants dans la diaspora.
Un journaliste a montré son scepticisme concernant l'enregistrement de la diaspora sur une base volontaire. « Il n'y aura pas un recensement exceptionnel en France puisqu'il y a pas un fichier de base la bas. Il va y avoir juste une inscription pour la diaspora », a-t-elle précisé. En est fait, Ce processus des enregistrements de la diaspora se fait de manière volontaire de la part des personnes intéressée.
Dure encore, la carte consulaire est aussi payante au moment ou la carte d'électeurs est gratuite pour les résidents. Mais le plus pénible dans tout ça, est que jusqu'à présent les conditions d'être électeur dans la diaspora reste un secret entre la CENI et le gouvernement. Pourtant, en fonction des statistiques recueillies, le nombre des comoriens en âge de voter vivant en France sont plus de 120 mille personnes.
En fait, Cela sous entend que le processus du vote de la diaspora est hors contrôle de la CENI, c'est le gouvernement qui s'en charge lui-même. Les membres de la CENI ont informé dans échange avec la presse que « c'est les ministres de l'intérieur et des affaires étrangères qui s'en chargent du processus jusqu'à présent mais la CENI est sur le délai, elle attend le moyen et le cadre légal pour se mettre au boulot », on fait savoir.
Nakidine Hassane
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
C'est en fait un poudre aux yeux que le gouvernement veut coute que coute faire voter la diaspora comorienne résumée en ceux qui vivent France. Sans fichier électoral, ni carte d'électeur, ni calendrier des activités, dure encore la CENI est hors du circuit. Devant la presse ce lundi, la CENI a lancé le recensement exceptionnel en vue d'une révision du fichier électoral dans les trois iles sans pour autant donner la modalité du vote de la diaspora.
« Les travaux techniques ont été fait, nous avons soumis nos propositions au gouvernement qui devait fournir les moyens. Mais jusqu'à présent le gouvernement n'a pas dévoilé les cadres légales de ce vote de la diaspora », a-t-elle annoncé la vice-présidente de la CENI.
Mais la presse ne s'est pas montrée persuadé sur tous les aspects du vote de la diaspora. La CENI a été questionné sur la pertinence d'un tel projet ainsi que sur la façon de travailler ses représentants dans la diaspora.
Un journaliste a montré son scepticisme concernant l'enregistrement de la diaspora sur une base volontaire. « Il n'y aura pas un recensement exceptionnel en France puisqu'il y a pas un fichier de base la bas. Il va y avoir juste une inscription pour la diaspora », a-t-elle précisé. En est fait, Ce processus des enregistrements de la diaspora se fait de manière volontaire de la part des personnes intéressée.
Dure encore, la carte consulaire est aussi payante au moment ou la carte d'électeurs est gratuite pour les résidents. Mais le plus pénible dans tout ça, est que jusqu'à présent les conditions d'être électeur dans la diaspora reste un secret entre la CENI et le gouvernement. Pourtant, en fonction des statistiques recueillies, le nombre des comoriens en âge de voter vivant en France sont plus de 120 mille personnes.
En fait, Cela sous entend que le processus du vote de la diaspora est hors contrôle de la CENI, c'est le gouvernement qui s'en charge lui-même. Les membres de la CENI ont informé dans échange avec la presse que « c'est les ministres de l'intérieur et des affaires étrangères qui s'en chargent du processus jusqu'à présent mais la CENI est sur le délai, elle attend le moyen et le cadre légal pour se mettre au boulot », on fait savoir.
Nakidine Hassane
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