Ça n'est pas une volonté de choquer, mais un entêtement à vouloir respecter la marche de l'histoire. J'accuse les acteurs polit...
Ça n'est pas une volonté de choquer, mais un entêtement à vouloir respecter la marche de l'histoire.
Celui que l'on vénère comme un téméraire républicain, anti français a donné un coup d'accélérateur sur l'éloignement de Mayotte, consommant un divorce annoncé. Cet acte vaut la peine maximale: une HAUTE TRAHISON A LA NATION. Notre révolutionnaire na aucune excuse de tuer dans l'oeuf la souverainété du pays proclamé courageusement le 6 Juillet 1975 par un coup d'Etat le 03 Août 1975, j'insiste de la même année.
Celui que l'on prend en exemple pour avoir bâti des constructions qui ont servi et qui servent d'établissements scolaire à nos élèves a fait payer une facture salée à l'Etat comorien et s'est appuyé sur la misère et la peur du peuple. Il était craint et non compris, redouté et non respecté.
L'homme a armé les moins éclairés pour en faire son échelle du haut duquel, il se plaisait à humilier ses égaux et ses supérieurs en esprit. On eut dit un samba Dialo au sommet de son aventure ambigue. Le petit peuple a raison de croire ce qu' aucun acteur politique n'ose remettre en cause tant de mensonges, de contre vérités et de manipulations.
J'aurais aimé, au nom du respect de la mémoire, que des hommes encore en capacité de nous éclairer parlent: Mouzaoir ABDALLAH, Soultan CHOUZOUR, Said Ali KEMAL, Said Ali MOHAMED.
Ali SOILIH était un brillant cadre, il avait des idées, peut être même du patriotisme, mais l'appétit du pouvoir personnel, l'esprit unique à la SAMBI l'a poussé à la plus grave des fautes: la partition programmée et préméditée des Comores.
Acceptons cet échec pour pouvoir faire ce que l'on rêve d'Ali SOILIH!
J'accuse les acteurs politiques des années 70 de rester coupables sur une volonté de trahir l'histoire. L'incurie politique de la classe politique d'alors ne doit pas être un pretexte pour ternir les vérités historiques.
Celui que l'on vénère comme un téméraire républicain, anti français a donné un coup d'accélérateur sur l'éloignement de Mayotte, consommant un divorce annoncé. Cet acte vaut la peine maximale: une HAUTE TRAHISON A LA NATION. Notre révolutionnaire na aucune excuse de tuer dans l'oeuf la souverainété du pays proclamé courageusement le 6 Juillet 1975 par un coup d'Etat le 03 Août 1975, j'insiste de la même année.
Celui que l'on prend en exemple pour avoir bâti des constructions qui ont servi et qui servent d'établissements scolaire à nos élèves a fait payer une facture salée à l'Etat comorien et s'est appuyé sur la misère et la peur du peuple. Il était craint et non compris, redouté et non respecté.
L'homme a armé les moins éclairés pour en faire son échelle du haut duquel, il se plaisait à humilier ses égaux et ses supérieurs en esprit. On eut dit un samba Dialo au sommet de son aventure ambigue. Le petit peuple a raison de croire ce qu' aucun acteur politique n'ose remettre en cause tant de mensonges, de contre vérités et de manipulations.
J'aurais aimé, au nom du respect de la mémoire, que des hommes encore en capacité de nous éclairer parlent: Mouzaoir ABDALLAH, Soultan CHOUZOUR, Said Ali KEMAL, Said Ali MOHAMED.
Ali SOILIH était un brillant cadre, il avait des idées, peut être même du patriotisme, mais l'appétit du pouvoir personnel, l'esprit unique à la SAMBI l'a poussé à la plus grave des fautes: la partition programmée et préméditée des Comores.
Acceptons cet échec pour pouvoir faire ce que l'on rêve d'Ali SOILIH!
Par BEN ALI.