Michel Platini a officiellement annoncé, ce mercredi, qu'il se portait à la présidence de la FIFA, dont l'élection aura lieu le 26 f...
Michel Platini a officiellement annoncé, ce mercredi, qu'il se portait à la présidence de la FIFA, dont l'élection aura lieu le 26 février 2016. L'actuel président de l'UEFA souhaite donc, comme prévu, succéder à Sepp Blatter à la tête de l'instance internationale.
Comme cela avait été annoncé dans nos colonnes, Michel Platini a officiellement fait acte de candidature, ce mercredi, à la présidence de la FIFA, dont la prochaine élection aura lieu le 26 février 2016. En cas de succès, l'actuel président de l'UEFA, âgé de 60 ans, succèderait donc à la tête de l'instance internationale à Sepp Blatter, qui a démissionné de son poste en juin dernier juste après sa réélection.
Après avoir été l’un des meilleurs joueurs du monde, le sélectionneur de l’équipe de France, le coprésident du comité d’organisation de la Coupe du monde 1998, et le président de l'UEFA depuis 2007, l'ancien meneur de jeu, qui ne manque pas de soutien, veut donc continuer à écrire l'histoire.
«Je suis à l'un de ces instants décisifs»
Michel Platini a fait part de sa candidature dans une lettre envoyée aux 209 présidents et secrétaires généraux des associations membres de la FIFA. Un courrier où il fait part de sa motivation et ses objectifs pour changer le mode de fonctionnement de l'instance du football mondial : «C’est une décision très personnelle, mûrement réfléchie, dans laquelle se mêlent les considérations propres à l’avenir du football et celles qui tiennent à mon propre parcours. C’est aussi la conséquence des chaleureux témoignages d’estime, de soutien et d’encouragement que nombre d’entre vous m’ont prodigués. [...] Il est des moments dans la vie où il faut forcer son destin. Je suis à l’un de ces instants décisifs, à la jonction du cours de ma vie et des événements qui dessinent l’avenir de la FIFA.»
«Durant ce presque demi-siècle, la FIFA n’a connu que deux présidents. Cette extrême stabilité est une sorte de paradoxe, dans un monde qui a été sujet à des bouleversements radicaux et dans un sport qui a vécu une mutation économique considérable. Mais les événements récents obligent l’institution suprême qui régit le football mondial à se réformer et à repenser sa gouvernance». Et de conclure : «Je compte sur votre soutien et sur notre amour commun du football pour qu’ensemble nous offrions aux dizaines de millions de passionnés de notre sport la FIFA qu’ils attendent : une FIFA exemplaire, unie et solidaire, une FIFA respectée, aimée et populaire». (L'Equipe)
Comme cela avait été annoncé dans nos colonnes, Michel Platini a officiellement fait acte de candidature, ce mercredi, à la présidence de la FIFA, dont la prochaine élection aura lieu le 26 février 2016. En cas de succès, l'actuel président de l'UEFA, âgé de 60 ans, succèderait donc à la tête de l'instance internationale à Sepp Blatter, qui a démissionné de son poste en juin dernier juste après sa réélection.
Après avoir été l’un des meilleurs joueurs du monde, le sélectionneur de l’équipe de France, le coprésident du comité d’organisation de la Coupe du monde 1998, et le président de l'UEFA depuis 2007, l'ancien meneur de jeu, qui ne manque pas de soutien, veut donc continuer à écrire l'histoire.
«Je suis à l'un de ces instants décisifs»
Michel Platini aux Comores. ©lagazettedescomores |
Michel Platini a fait part de sa candidature dans une lettre envoyée aux 209 présidents et secrétaires généraux des associations membres de la FIFA. Un courrier où il fait part de sa motivation et ses objectifs pour changer le mode de fonctionnement de l'instance du football mondial : «C’est une décision très personnelle, mûrement réfléchie, dans laquelle se mêlent les considérations propres à l’avenir du football et celles qui tiennent à mon propre parcours. C’est aussi la conséquence des chaleureux témoignages d’estime, de soutien et d’encouragement que nombre d’entre vous m’ont prodigués. [...] Il est des moments dans la vie où il faut forcer son destin. Je suis à l’un de ces instants décisifs, à la jonction du cours de ma vie et des événements qui dessinent l’avenir de la FIFA.»
«Durant ce presque demi-siècle, la FIFA n’a connu que deux présidents. Cette extrême stabilité est une sorte de paradoxe, dans un monde qui a été sujet à des bouleversements radicaux et dans un sport qui a vécu une mutation économique considérable. Mais les événements récents obligent l’institution suprême qui régit le football mondial à se réformer et à repenser sa gouvernance». Et de conclure : «Je compte sur votre soutien et sur notre amour commun du football pour qu’ensemble nous offrions aux dizaines de millions de passionnés de notre sport la FIFA qu’ils attendent : une FIFA exemplaire, unie et solidaire, une FIFA respectée, aimée et populaire». (L'Equipe)