Depuis maintenant quelques semaines la mairie de Mitsamiouli et l’Office National de Tourisme travaillaient d’arrache-pied pour l'organ...
Depuis maintenant quelques semaines la mairie de Mitsamiouli et l’Office National de Tourisme travaillaient d’arrache-pied pour l'organisation de la deuxième édition du Festival culturel et gastronomique indianocéanique, prévu du 28 au 30 août prochain.
La station balnéaire du nord avait été choisi pour accueillir l'événement devant réunir plus de 2.000 visiteurs de toute la sous-région. Tout était beau pour être vrai. Mais arrivée à la dernière ligne droite des préparatifs, le gouvernement a décidé de faire machine arrière.
Et pour cause, notre gouvernement pointe du doigt le manque d'infrastructures routières et les délestages chroniques dans cette ville, deuxième capitale de l'île de Ngazidja s'il vous plaît. Des membres du gouvernement expliquent qu'il est impossible d'inviter des étrangers dans une ville fantôme.
La station balnéaire du nord avait été choisi pour accueillir l'événement devant réunir plus de 2.000 visiteurs de toute la sous-région. Tout était beau pour être vrai. Mais arrivée à la dernière ligne droite des préparatifs, le gouvernement a décidé de faire machine arrière.
Et pour cause, notre gouvernement pointe du doigt le manque d'infrastructures routières et les délestages chroniques dans cette ville, deuxième capitale de l'île de Ngazidja s'il vous plaît. Des membres du gouvernement expliquent qu'il est impossible d'inviter des étrangers dans une ville fantôme.
Ainsi, le gouvernement de son excellence le docteur Ikililou a décidé d'organiser le festival dans l'hôtel Retaj Le Moroni. Tant pis si un festival ne s'organise pas dans un hôtel, tant pis s'il n'y a pas assez de places pour les 2000 visiteurs.
L'essentiel c'est de sauver les apparences. Les problèmes seront confiés aux générations futures.
Par Toyb Ahmed