Anisse Chamsidine n'est pas un traître; pas surtout envers Affane, l'anti Fama. Il a eu la partie la plus viandée, même si il a ét...
Anisse Chamsidine n'est pas un traître; pas surtout envers Affane, l'anti Fama. Il a eu la partie la plus viandée, même si il a été battu à Bimbini et dans les législatives et les communales. Tant pis, l'impôt a su combler les vides. Et quoi cela sert de se diviser à quelques mois de la fin d'une histoire sans suite.
J'imagine la scène à la résidence du Ministre, pardon du Commissaire des Finances. Les va et vient pour ne pas passer comme ceux qui ont la "haine", " les jaloux", "wayenga ndjema zamoina" se multiplient. Chacun cherche à se frayer un passage pour la mendicité et cela ne se passe pas sans dénonciation, discours de courtisans.
Personne ne peut prévoir l'orientation de cet île où les autorités affichent leurs indifférence et arrogance devant une misère qu'elles fabriquent pour mieux maintenir la population dans l'ignorance et les pousser à la mort, persuader qu'ils fuient la mort vers Mayotte. L'île devient inhabitable car à côté de la misère imposée, végète une justice d'un autre temps, réprimant en silence ceux qui ont le malheur de comprendre ce qui se passe.
La logique née de cette corruption généralisée se résume ainsi: "ANIMBA COMBO DE MWALANGOU" littéralement, "celui qui me donne le reste est mon seigneur". Et tu vois des docteurs, des ingénieurs, des oulémas rampant à genou, les mains tendus vers un corrompu notoire parachuté dans les affaires de l'Etat parce que la qualité la plus développé chez lui serait l'absence de la honte et le sang froid à faire le mal.
Ne laissons pas Dieu régler par sa main, lourde ces malversations des biens communs; nous sommes témoins des maux et drames que des telles pratiques entraînent dans les familles coupables: maladies incurables et chères, morts subites et brutales, des progénitures handicapées. Résultat du bien mal acquit.
BEN ALI.
J'imagine la scène à la résidence du Ministre, pardon du Commissaire des Finances. Les va et vient pour ne pas passer comme ceux qui ont la "haine", " les jaloux", "wayenga ndjema zamoina" se multiplient. Chacun cherche à se frayer un passage pour la mendicité et cela ne se passe pas sans dénonciation, discours de courtisans.
Personne ne peut prévoir l'orientation de cet île où les autorités affichent leurs indifférence et arrogance devant une misère qu'elles fabriquent pour mieux maintenir la population dans l'ignorance et les pousser à la mort, persuader qu'ils fuient la mort vers Mayotte. L'île devient inhabitable car à côté de la misère imposée, végète une justice d'un autre temps, réprimant en silence ceux qui ont le malheur de comprendre ce qui se passe.
La logique née de cette corruption généralisée se résume ainsi: "ANIMBA COMBO DE MWALANGOU" littéralement, "celui qui me donne le reste est mon seigneur". Et tu vois des docteurs, des ingénieurs, des oulémas rampant à genou, les mains tendus vers un corrompu notoire parachuté dans les affaires de l'Etat parce que la qualité la plus développé chez lui serait l'absence de la honte et le sang froid à faire le mal.
Ne laissons pas Dieu régler par sa main, lourde ces malversations des biens communs; nous sommes témoins des maux et drames que des telles pratiques entraînent dans les familles coupables: maladies incurables et chères, morts subites et brutales, des progénitures handicapées. Résultat du bien mal acquit.
BEN ALI.