L’ancien président malgache a, malgré son statut juridique, déclaré jeudi les ambitions politiques de son par rapport aux prochaines électio...
L’ancien président malgache a, malgré son statut juridique, déclaré jeudi les ambitions politiques de son par rapport aux prochaines élections.
Marc Ravalomanana a, au cours d’une conférence de presse tenue jeudi à sa résidence, revelé que sont parti, TIM, envisageait de prendre part à toutes les élections à venir.
L'exprésident malgache est en effet en résidence surveillée depuis son retour au pays fin 2014
Il n’a pas parlé des candidats mais la presse malgache évoque déjà les candidatures de son épouse Lalao à la mairie de la capitale et de son fils Tojo à Antsirabe, la première ville industrielle de Madagascar, où était implantée l'usine du groupe agroalimentaire familial Tiko.
Les forces de l'ordre, qui l'avaient arrêté à son retour en octobre dernier, ne sont pas intervenues lors de cette conférence de presse dans la capitale Antananarivo.
Le statut juridique de Marc Ravalomanana doit cependant encore être précisé. Il a notamment été condamné par contumace aux travaux forcés à perpétuité, alors qu'il était en exil en Afrique du Sud, pour la mort de 36 manifestants abattus par sa garde en février 2009 lors de la révolte qui l'a emporté.
La presse malgache évoque déjà les candidatures de son épouse Lalao à la mairie de la capitale et de son fils Tojo à Antsirabe, la première ville industrielle de Madagascar, où était implantée l'usine du groupe agroalimentaire familial Tiko.
Mais l'ancien président, qui vivait en exil en Afrique du Sud depuis son renversement en 2009 jusqu'à son fracassant retour en octobre, n'a pas confirmé ces possibles candidatures.
Marc Ravalomanana a, au cours d’une conférence de presse tenue jeudi à sa résidence, revelé que sont parti, TIM, envisageait de prendre part à toutes les élections à venir.
L'exprésident malgache est en effet en résidence surveillée depuis son retour au pays fin 2014
Il n’a pas parlé des candidats mais la presse malgache évoque déjà les candidatures de son épouse Lalao à la mairie de la capitale et de son fils Tojo à Antsirabe, la première ville industrielle de Madagascar, où était implantée l'usine du groupe agroalimentaire familial Tiko.
Les forces de l'ordre, qui l'avaient arrêté à son retour en octobre dernier, ne sont pas intervenues lors de cette conférence de presse dans la capitale Antananarivo.
Le statut juridique de Marc Ravalomanana doit cependant encore être précisé. Il a notamment été condamné par contumace aux travaux forcés à perpétuité, alors qu'il était en exil en Afrique du Sud, pour la mort de 36 manifestants abattus par sa garde en février 2009 lors de la révolte qui l'a emporté.
La presse malgache évoque déjà les candidatures de son épouse Lalao à la mairie de la capitale et de son fils Tojo à Antsirabe, la première ville industrielle de Madagascar, où était implantée l'usine du groupe agroalimentaire familial Tiko.
Mais l'ancien président, qui vivait en exil en Afrique du Sud depuis son renversement en 2009 jusqu'à son fracassant retour en octobre, n'a pas confirmé ces possibles candidatures.