Suite de ma lettre ouverte à maitre FAHAMI. Les victimes de AHA. Cher grand ami Fahami. Comme promis, je vous livre la suite de ma ...
Suite de ma lettre ouverte à maitre FAHAMI.
Les victimes de AHA.
Les victimes de AHA.
Cher grand ami Fahami.
Comme promis, je vous livre la suite de ma lettre ouverte, concernant votre alliance perdante avec Ahmed Abdallah Sambi. L’intitulé de cette lettre est, les victimes politiques de AHA.Cette triste liste commence de Mzé Soulé Elback jusqu’au Général Salim.
Elback,un des condisciples de Sambi à Médine, a soutenu Sambi pour son élection présidentielle de 2006, mais ce qui s’est passé après, Sambi a trahi Elback après avoir été installé à Beit-Salam. La valeur de la réciprocité politique, n’existant pas chez sambi, Elback a été roulé par son ami de Médine. Sambi n’a pas soutenu la réélection d’Elback.
ALI MLIVA, Moulida Ibrahim de vouvouni, respectivement directeur et secrétaire Général de la campagne de sambi 2006, seront eux, aussi trahis par Sambi. Les promesses qui les avaient données seront comme celles d’ailleurs données aux comoriens, jetés complètement aux oubliettes.
Monsieur Fahami.
Souvenez- vous, de Monsieur ABDOULWAHAB de Mjoiezi. Sambi le présentait lors du scrutin présidentiel de l'île autonome de Ngazidja en 2007, comme sa propre main droite. Fahami vous-même également candidat dans cette élection. Le lendemain de l’investiture de son ex directeur du cabinet, Sambi commencera à lâcher Abdoulwahab et tout a été déployé pour faire échouer son projet politique. Résultat, à cause des coups tordus de Sambi, Abdoulwahab perdra la présidence de Ngazidja avant la fin de son mandat. Pareil pour Moussa Toybou, l’ami d'enfance de Sambi, malgré sa soumission totale au régime, mais ne parviendra pas, lui, aussi, à éviter la trahison voir l’humiliation de Foundi Sambi.Idi Nadhoim, son vice-président, qui pendant 5 ans, subira de la marginalisation à l’exclusion pour les prises de grande décisions au sein de l’exécutif. Le but de Sambi, était toujours, de tuer la carrière politique de son vice-président de Ngazidja. Le 2e vice- champion, Iklilou Dhoinine, son propre dauphin, comme on dit en comorien, ne dira pas non plus que « Yo méma » car une fois élu au perchoir présidentiel, Sambi tombe dans son délire égocentrique en se transformant son premier opposant juste pour déstabiliser le régime IKI et saboter les promesses de la conférence de Doha.
Parlons d’Aniss Chamsoudine, gouverneur actuel de Ndzouani, membre fondateur de juwa. Lui, aussi est en train d’en subir « ye Ze Mbi » de Monsieur Sambi. Les mauvaises manières du président du Juwa, le suit actuellement et en sauvant sa tête, le gouverneur Chamsoudine se trouve obligé de se réfugier chez les anciens rebelles. Bourhane Hamidou, ancien président de l’assemblée malgré sa fidélité, sa longue connaissance avec Sambi, n’est-il pas été lâché finalement par Abdallah Sambi pour faire tomber ses rêves présidentiels à l’eau ?
Cher Grand ami Fahami
Comme promis, je vous livre la suite de ma lettre ouverte, concernant votre alliance perdante avec Ahmed Abdallah Sambi. L’intitulé de cette lettre est, les victimes politiques de AHA.Cette triste liste commence de Mzé Soulé Elback jusqu’au Général Salim.
Elback,un des condisciples de Sambi à Médine, a soutenu Sambi pour son élection présidentielle de 2006, mais ce qui s’est passé après, Sambi a trahi Elback après avoir été installé à Beit-Salam. La valeur de la réciprocité politique, n’existant pas chez sambi, Elback a été roulé par son ami de Médine. Sambi n’a pas soutenu la réélection d’Elback.
ALI MLIVA, Moulida Ibrahim de vouvouni, respectivement directeur et secrétaire Général de la campagne de sambi 2006, seront eux, aussi trahis par Sambi. Les promesses qui les avaient données seront comme celles d’ailleurs données aux comoriens, jetés complètement aux oubliettes.
Monsieur Fahami.
Souvenez- vous, de Monsieur ABDOULWAHAB de Mjoiezi. Sambi le présentait lors du scrutin présidentiel de l'île autonome de Ngazidja en 2007, comme sa propre main droite. Fahami vous-même également candidat dans cette élection. Le lendemain de l’investiture de son ex directeur du cabinet, Sambi commencera à lâcher Abdoulwahab et tout a été déployé pour faire échouer son projet politique. Résultat, à cause des coups tordus de Sambi, Abdoulwahab perdra la présidence de Ngazidja avant la fin de son mandat. Pareil pour Moussa Toybou, l’ami d'enfance de Sambi, malgré sa soumission totale au régime, mais ne parviendra pas, lui, aussi, à éviter la trahison voir l’humiliation de Foundi Sambi.Idi Nadhoim, son vice-président, qui pendant 5 ans, subira de la marginalisation à l’exclusion pour les prises de grande décisions au sein de l’exécutif. Le but de Sambi, était toujours, de tuer la carrière politique de son vice-président de Ngazidja. Le 2e vice- champion, Iklilou Dhoinine, son propre dauphin, comme on dit en comorien, ne dira pas non plus que « Yo méma » car une fois élu au perchoir présidentiel, Sambi tombe dans son délire égocentrique en se transformant son premier opposant juste pour déstabiliser le régime IKI et saboter les promesses de la conférence de Doha.
Parlons d’Aniss Chamsoudine, gouverneur actuel de Ndzouani, membre fondateur de juwa. Lui, aussi est en train d’en subir « ye Ze Mbi » de Monsieur Sambi. Les mauvaises manières du président du Juwa, le suit actuellement et en sauvant sa tête, le gouverneur Chamsoudine se trouve obligé de se réfugier chez les anciens rebelles. Bourhane Hamidou, ancien président de l’assemblée malgré sa fidélité, sa longue connaissance avec Sambi, n’est-il pas été lâché finalement par Abdallah Sambi pour faire tomber ses rêves présidentiels à l’eau ?
Cher Grand ami Fahami
Pour le Général SALIM, c'est vraiment un cas d'école.
Salimou après avoir dit Non à l’installation des mercenaires libyens à KANDAANI, et à la prolongation du mandat de Sambi, Il subira à son tour, le complot d’Etat, le plus sauvage que le pays n’en a connu qu’à l’époque du mercenariat de Bob Denard. Le Général salimou, sera jeté en prison seule manière de le débarrasser de l'AND. Lorsque la vérité judiciaire acquittant le Général Salim avait éclatée, cette libération irrita Sambi.
Se sentant trahi à la fois par la justice divine qui protège les innocents et la justice civile qui libère les hommes victimes du mensonge et de calomnie, Sambi n’hésitera pas de fomenter sa riposte sur youtub contre ces deux justices rendues. Et dans cette vidéo, au cœur palpité, Sambi déclara, qu'il connait bien "les mobiles causant l'assassinat de combo mais ne connaît pas les auteurs", Cher Maitre Fahami, en terme juridique celui qui connaît les mobiles, n’est-ce pas le premier qui devait être accusé ou moins entendu? Secondairement, Ahmed Sambi avouant qu' il ne connaît pas les auteurs de ce crime, pourquoi alors votre allié avait-il arrêté, emprisonné le Général Salimou? Pourquoi ne les a-t-il pas dites à la justice quand était chef suprême de la magistrature ou quand est devenu simple citoyen libre après quitté Beit-Salam alors que Monsieur Salimou était toujours en prison? Disons qu'il a été trompé par ses collaborateurs, comme il a tendance à dire, pourquoi donc, n'a-t-il pas toujours présenté des excuses au Général Salimou et à la famille de combo?
Cher ami Fahami
Enfin, moi Tadjidine, en tant que votre ami, merci de m'assurer que vous ne seriez pas la prochaine victime, d’ailleurs si ça n’en a pas déjà commencé avec l’alliance Juwa RDC faite à votre insu et que vous dénoncez sur Facebook. Donnez-le peuple, les assurances de votre alliance, un démocrate et un dictateur ne peuvent pas s’allier sauf si c’est pour autre raison que la politique. Je regrette de votre alliance avec Sambi, mais puisque vous avez décidé que ça soit ainsi, je dis à Monsieur Sambi, ne manipulez pas, ne touchez pas à Mon grand ami Fahami.
Je ne veux pas que Fahami ou un autre comorien d’ailleurs, soit la prochaine victime du sambisme égocentrique. Faisons la politiquement autrement en s’alliant avec des principes et non aux hommes quel que soit leur degré de manipulation, de séduction, ou de nuisance c’est comme ça qu’on va faire gagner les Comores.
TADJIDINE Said Mzé
Ex, Président du mouvement des jeunes pour le développement des Comores. Haut membre pour la libération de l’Ile d’Anjouan, section jeunesse.