"Lettre à la jeunesse Comorienne Permettez-nous,d'avoir le souci de votre juste réussite et de vous dire que votre avenir qui es...
"Lettre à la jeunesse Comorienne
Permettez-nous,d'avoir le souci de votre juste réussite et de vous dire que votre avenir qui est menacé par une politique suivie depuis 40 ans sans ambition et encore moins avec des résultats totalement nuls, pour le bien être de vous Jeunes, Femmes et Hommes des Comores mais par contre a permis aux gens au pouvoir de s'enrichirent et de vivrent aux frais de la princesse l'Etat.Vous allez avoir la première place et les honneurs de toute la classe politique et de la Communauté Internationale dans l’apothéose de cette fête patriotique qui se prépare pour fêter le 40éme anniversaire de l'arrivée au pouvoir de Ali SOIHILI le 3 aout 2015.
Permettez-nous,d'avoir le souci de votre juste réussite et de vous dire que votre avenir qui est menacé par une politique suivie depuis 40 ans sans ambition et encore moins avec des résultats totalement nuls, pour le bien être de vous Jeunes, Femmes et Hommes des Comores mais par contre a permis aux gens au pouvoir de s'enrichirent et de vivrent aux frais de la princesse l'Etat.Vous allez avoir la première place et les honneurs de toute la classe politique et de la Communauté Internationale dans l’apothéose de cette fête patriotique qui se prépare pour fêter le 40éme anniversaire de l'arrivée au pouvoir de Ali SOIHILI le 3 aout 2015.
Il y a des situations en ce moment aux Comores qui dépassent
tout-entendement, déroutantes,inadmissibles,honteuses l’histoire écrira
que c’est sous la Présidence de Ikililou Dhoininee qu’un tel crime
social a pu être commis. Puisqu’ils ont osé, nous oserons nous
aussi. La vérité, nous la dirons, car nous avons promis de rendre
justice, à tous ceux Femmes, Hommes, Enfants qui ont bravés les
insuffisances de ces roitelets, qui ont semés très souvent sur leur
parcours au pouvoir des actes les plus graves tels que pédophilie,
moeurs honteuses, détournements,enrichissements illicites, notre devoir
est de parler, nous n'accepterons pas d'être complices.
Nos nuits
seraient hantées par le spectre des innocents qui expient dans les
géoles, bléssés, tués pour avoir osé dire NON! Et c’est à vous, Jeunesse
Comorienne, que nous crierons cette vérité, car notre révolte contre
cette affreuse comédie de personnages qui ne pensent en aucune façon à
cette brave population, nous allons crier cette vérité, de toute la
force de notre révolte contre cette abominable société politique
comorienne.
Le cas qui nous intéresse renferme tous les ingrédients dignes d'un
roman catastrophe,Une histoire à rebondissement, comme seules savent
nous les raconter les politiques comoriens.Une de ces histoires banales
qui peut arriver à chacun d'entre vous,dans votre vie quotidienne, Mais
reconnaissons que l'acte incriminé relève de la sphère politique, cette
galaxie hors du commun avec ses règles et ses propres codes d'honneur,
alors ,le scandale est total !On parle ici, d'une faute politique
qualifiée,un acte infâme et éhonté, en un mot la TRAHISON.Son auteur est
pointé du doigt avec une étiquette lourde de conséquences, abjecte, car
il est considéré comme traitre!. La trahison en politique est courante,
voir très fréquente.on pourrait croire que cette véracité fait partie
de l'univers politique.La vigilance, est de mise, particulièrement quand
on s'engage dans le chemin des alliances de circonstance ,
conjoncturelle ou contre -nature.
C'est le cas entre le parti DJUWA d'Ahmed Abdallah Sambi et DUDJA
de ELBACK Abdoul Souley ou encore le RDC de Mogni Baraka dit TONTON
MAKOUT !. Des partis politique opportunistes, sans principes, ni morale,
avec une absence totale d'un minimum d'idéologie, sans programme
politique et des dirigeants sans aucune morale patriotique.Hanté
d’intrigues romanesques, se complaisant aux moyens des
romans-feuilletons, les papiers volés, les lettres anonymes, les
rendez-vous dans les endroits déserts, les témoins mystérieux qui
colportent, de nuit, des preuves accablantes. Combien d'Hommes de
qualité connurent l'enfermement, la trorture par ce genre de procédés
.On ne saurait concevoir les expériences auxquelles, ont été soumis ces
officiers, soldats, policiers, les pièges dans lesquels on a voulu sous
tous les pouvoirs les faire tomber,les enquêtes folles, les imaginations
monstrueuses, toute une démence torturante Le huis clos le plus absolu
est exigé.La nation est frappée de stupeur, on chuchote des faits
terribles, de ces trahisons monstrueuses qui indignent l’Histoire ; et
naturellement la nation s’incline.
Il n’y a pas de châtiment assez
sévère, elle applaudira à la dégradation publique, elle voudra que le
coupable reste dans sa geôle ou en dehors du Pays. Tout cela n’a été
fait que pour cacher la plus saugrenue des situations: pouvoir continuer
les magouilles et les plaisirs malsains Et cela est d’autant plus
odieux et cynique qu’ils mentent impunément sans qu’on puisse les en
convaincre. Ils ameutent le Pays, ils se cachent derrière sa légitime
émotion, ils ferment les bouches en troublant les cœurs, en
pervertissant les esprits. Nous ne connaissons pas de plus grand crime
civique. Voilà donc,chers Jeunesse Comorienne, la vérité que l'on a
voulue vous cacher: des pratiques de basse police, des moeurs
d’inquisition et de tyrannie, le bon plaisir de quelques galonnés
mettant leurs bottes sur la nation, lui rentrant dans la gorge son cri
de vérité et de justice, sous le prétexte menteur et sacrilège de la raison d’État !
C’est un crime d’avoir accusé de troubler l'Union des Comores ceux
qui la veulent généreuse, à la tête des nations libres et justes,
lorsqu’on ourdit soi-même l’impudent complot d’imposer l’erreur, devant
le monde entier. C’est un crime d’égarer l’opinion, d’utiliser pour une
besogne de mort cette opinion qu’on a pervertie jusqu’à la faire
délirer. C’est un crime d’empoisonner les petits et les humbles,
d’exaspérer les passions de réaction et d’intolérance, en s’abritant
derrière l’odieuses comédies de parjures, alors que les quatres îles de
l'Archpel des Comores sont fières d'être libérales , et que des pourris
essaient de faire mourir les Droits de l’homme; si on n'y met pas de
l'ordre. C’est un crime que d’exploiter le patriotisme pour des oeuvres
de haine, et c’est un crime, enfin, que de faire de l'argent, le dieu
moderne, lorsque toute la science humaine est au travail pour l’oeuvre
prochaine de vérité et de justice.
Nous accusons la classe politique aux Comores de s’être rendue
complice, tout au moins par faiblesse d’esprit, d’une des plus grandes
iniquités, la mauvaise gouvernance, d'avoir en grande partie dilapider
les finances et les nombreuses aides financières pour des besoins très
souvent personnels et laissant à l'abandon la population.Ils cultivent
et exploitent l'ignorance et l’inconscience de certains éléments dans le
peuple, se nourrissent et s'abreuvent du sang du peuple , de leur peur
et de leurs angoisses,en abusant de leur position dominante pour tromper
une opinion décontenancée en utilisant ruse et subterfuge, faisant
croire que leur volonté d'être proche des préoccupations du peuple
opprimé alors qu'il n'en est rien.
Beaucou de ces Partis politique servent de supplétif aux oppresseurs
en leur faisant la courte échelle pour qu'ils puissent accéder au sommet
de la pyramide et atteindre de surcroît leurs objectifs ; la
confiscation programmée du pouvoir du peuple, sans lui donner les
avantages qu'il mérite.Des exemples rappelez-vous de El BACK, AZALY
ASSOUMANI. Quant ils vous ont joué la comédie des frères ennemis en vous
bernant. Aujourd'hui ils sont associés pour le meilleur et pour le
pire:PLUTÔT! , nous savons que vous en êtes conscients.
C'est donc une
association des malfaiteurs ? Un exemple: Mogni Baraka :un
multirécidiviste des coups tordus , qui affectionne la panoplie la plus
fournie et élaborée cela s’étend de trahison , mensonge , mœurs ,
assassinats non élucidés et impunis. C'est le maître absolu dans l'art
de la politique du retournement de veste. Le parti orange qui a fait de
lui, le roi fainéant qu'il est devenu, en sait quelque chose !. Ikililou
Dhoinine a cru son heure arrivée, pendant un moment avant de comprendre
que son éloignement n'a été que stratégique pour monter les enchères et
revenir en force ! C'est aujourd'hui chose faite mais on dit jamais
deux sans trois,avec Mogni Baraka, il vaut-mieux tenir que courir! Il
faut rester sur ses gardes,sinon risques et périls,car celui-là , il a
toujours un tour de vis dans ses tiroirs, un homme à qui il ne faut
jamais tourner le dos et rester toujours sur ses gardes!
Le parti Djuwa vient de l'apprendre à ses dépends et pourtant ses
antécédents auraient du lui servir de lanceur d'alertes, force et de
constater qu' apparemment non. Sous le charme et l'effet papillon, il a
baissé sa garde.
Avant de conclure toute alliance, il faut se donner le temps
d'analyser, de disséquer et de décortiquer les motivations de votre
interlocuteur et éventuel futur partenaire..Examiner tous les aspects du
problème, les tenants et les aboutissants, de cet accord, se renseigner
des antécédents politiques, s'entourer de toutes les précautions utiles
et nécessaires.
Ne pas hésiter de sacrifier un présent éphémère pour préserver un
futur prometteur,Jeunesse Comorienne en cette période de préparatifs de
cette grande réunion du Peuple Comorien, de sa Jeunesse, des politicards
qui sauront par leur présence demander à la population le pardon pour
leurs erreurs En politique il vaut mieux récompenser la loyauté, la
fidélité et les convictions assumée et affirmées!
Oui, nous serons tous présents autour des anciens , nous mettrons
en valeur ces Hommes et Femmes qui tout au long de ces 40 années de
pouvoir, ont apportés du réconfort , de l'espor à cette jeunesse.Nous
voulons ce jour rendre un hommage très appuyé au patron du parti PEC le
prince Fahami Saïd Ibrahim qui malgré le mauvais traitement qui lui a
été infligé par ses partenaires de DJUWA qui n'a ni dévié, ni renoncé,ni
trahis sous la menace et droit dans les yeuix de ses adversaires à
réitérer ses engagements, car pour lui la parole donnée est sacrée, et
nous savons qu'elle a du sens pour quelques politiciens comoriens, qui
subissent mais sont toujours présents. Bientôt vous aurez cette grande
mission d'encadrer cette jeunesse pour lui donner l'amour de la Patrie,
de sa Religion et le respect des Anciens.
Sultan Akbaraly Roger.