Son nom est quasiment devenu éponyme de l’entreprise qu’elle manager er ses actions une marque identitaire dans l’univers digital camerou...
Son nom est quasiment devenu éponyme de l’entreprise qu’elle manager er ses actions une marque identitaire dans l’univers digital camerounais. Country Manager de la marketplace Kaymu au Cameroun, ses sollicitations médiatiques et communautaires ne se comptent plus et ses actions tendent à aller bien au delà des frontières. Redécouverte d’une femme qui fait l’histoire du e-commerce au Cameroun après juste une année d’implémentation.
C’est une femme de la néo-génération, celle qui se réclame 2.0 qui a offensivement décidé de poser une empreinte dans les IT solutions en Afrique. Candace Nkoth Bisseck est désormais l’un des noms les plus courus de la sphère digitale continentale et camerounaise. Avec une équipe de quelques 30 personnes, elle a réussi à implanter le nom Kaymu dans la psyché sociale du triangle national puisque la marketplace qu’elle dirige est le 63e site le plus visité au Cameroun avec un taux de connectivité de 77,03%.
Vendre et acheter en ligne, c’est déjà dans les mœurs des citadins des grandes villes, mais c’est encore suffisant pour le manager qui se donne à défi de convertir ses compatriotes au e-commerce. Comment en est-elle arrivée à ce résultat ? Pour la petite histoire, Candace très jeune, n’aimait pas accompagner sa mère faire ses courses dans les marchés. Fort de cette répréhension, elle s’imaginait d’autres manières de faire ses courses… Quelques années plus tard, lors de ses multiples voyages, elle acquiert une nouvelle culture : acheter sur internet. Seulement, elle était loin de se douter qu’elle deviendrait elle-même une pionnière de ce domaine.
C’est au courant des années 2010 que la jeune femme originaire de la région du Littoral se fait approcher par des responsables de l’Africa Internet Group, groupe spécialisé dans l’e-commerce. Fort de ses études en économie digitale et de son expérience dans l’e-consulting, Candace Nkoth Bisseck devient irrévocablement la moteur de l’« industrie » Kaymu. Aujourd’hui partagée entre deux interviews, trois séminaires ou quatre voyages, sa présence se fait impérative quasiment partout. Sur les réseaux sociaux, le phénomène de Kaymunauté a pris une efficace envolée à tel point 98,96% de ses fans s’y retrouvent. Sportive dans l’âme (elle a pratiqué les arts martiaux et le basketball entre autres), son chemin est encore long à parcourir dans l’univers web africain.
C’est une femme de la néo-génération, celle qui se réclame 2.0 qui a offensivement décidé de poser une empreinte dans les IT solutions en Afrique. Candace Nkoth Bisseck est désormais l’un des noms les plus courus de la sphère digitale continentale et camerounaise. Avec une équipe de quelques 30 personnes, elle a réussi à implanter le nom Kaymu dans la psyché sociale du triangle national puisque la marketplace qu’elle dirige est le 63e site le plus visité au Cameroun avec un taux de connectivité de 77,03%.
Vendre et acheter en ligne, c’est déjà dans les mœurs des citadins des grandes villes, mais c’est encore suffisant pour le manager qui se donne à défi de convertir ses compatriotes au e-commerce. Comment en est-elle arrivée à ce résultat ? Pour la petite histoire, Candace très jeune, n’aimait pas accompagner sa mère faire ses courses dans les marchés. Fort de cette répréhension, elle s’imaginait d’autres manières de faire ses courses… Quelques années plus tard, lors de ses multiples voyages, elle acquiert une nouvelle culture : acheter sur internet. Seulement, elle était loin de se douter qu’elle deviendrait elle-même une pionnière de ce domaine.
C’est au courant des années 2010 que la jeune femme originaire de la région du Littoral se fait approcher par des responsables de l’Africa Internet Group, groupe spécialisé dans l’e-commerce. Fort de ses études en économie digitale et de son expérience dans l’e-consulting, Candace Nkoth Bisseck devient irrévocablement la moteur de l’« industrie » Kaymu. Aujourd’hui partagée entre deux interviews, trois séminaires ou quatre voyages, sa présence se fait impérative quasiment partout. Sur les réseaux sociaux, le phénomène de Kaymunauté a pris une efficace envolée à tel point 98,96% de ses fans s’y retrouvent. Sportive dans l’âme (elle a pratiqué les arts martiaux et le basketball entre autres), son chemin est encore long à parcourir dans l’univers web africain.
Par Gaspard Ngono