En vérité, qui gouverne les Comores ? Depuis une décennie à peine, l’archipel des Comores s’expose à une barbarie indescriptible. Des ass...
En vérité, qui gouverne les Comores ? Depuis une décennie à peine, l’archipel des Comores s’expose à une barbarie indescriptible. Des assassinats et des hécatombes, dont certains avec l’usage d’armes à feu… Depuis l’assassinat de Mohamed Farouk, natif de Mitsoudje, mort en taule, du colonel Combo, du Dr Assad Said Omar, de Kouva… et le feu ouvert sur Hamada komic, tous ceux-là, sous le régime Sambi.
Du Dr Youssouf Djamani, du garde du corps du gouverneur Mouigni Baraka…, sans oublier les tirs à balles réelles sur le jeune Mitsamihoulien par le garde du corps de Mamadou, sous l’actuel régime d’Ikililou. Les Comores ont perdu leur visage normal. Avec ce désordre total, cette sauvagerie surestimée… les autorités perdent le contrôle de l’Etat.
La population souffre. Sans eau ni électricité. Sans route ni santé ni salaire. Des sociétés d’Etat ont rendu l’âme et d’autres à l’état pitoyable… Un désastre qui s’installe depuis l’ère Mwangaza-RDR. Des autorités qui ont abusé la gentillesse du feu, Said Mohamed Djohar, président de l’époque. Une période où le pouvoir se reposait dans les mains d’une secte.
Mais à l’ancrage de cette situation, on ne peut pas omettre la complicité des citoyens qui font rebondir ceux qui ont mis les Comores dans cette situation déplorable et qui leurs confient à nouveau des responsabilités… Les faucons du matin, deviennent les colombes de l’après-midi. Drôle de mémoire ! Et là, ils profitent de la naïveté du peuple, pour enfoncer le pays d’avantage. La situation actuelle et les dernières élections illustrent ce cas.
« Une histoire de trembo, (vin local), tournée au drame. Des militaires sans scrupules ont tiré à Balles réelles sur des contestataires, ne voulant pas que leurs frères soupçonnés du vol, soient embarqués dans la jeep des militaires présents. C’est ainsi que huit personnes ont été blessées étant canardés, dont quatre grave, dont Mmadi Halidi, Chanfioun Abdoulghafour, Alwafa… et Ousama. Ce dernier est dans un état plus que grave. Une situation qui ne laisse pas la ville de Mitsoudjé au repos. Quelques évacuations pour un soin à Madagascar ont commencé ce jeudi 12 février et une autre à destination de l’île de La réunion pour la semaine prochaine.
Une enquête doit être ouverte pour que l’on sache la réalité du fait. Le cas de Mitsoudje ne doit pas nous laisser indifférents. Nous devons tous nous sentir concernés. L’usage des armes à feu par le militaires comoriens en vers leurs frères, encore civiles… doit connaitre une fin car depuis que le commando mwassi a massacré la ville d’Ikoni, ceci devient un jeu chez nos militaires. C’est après avoir constaté le laxisme des autorités… et toujours protégés par ces mêmes autorités.
Du Dr Youssouf Djamani, du garde du corps du gouverneur Mouigni Baraka…, sans oublier les tirs à balles réelles sur le jeune Mitsamihoulien par le garde du corps de Mamadou, sous l’actuel régime d’Ikililou. Les Comores ont perdu leur visage normal. Avec ce désordre total, cette sauvagerie surestimée… les autorités perdent le contrôle de l’Etat.
La population souffre. Sans eau ni électricité. Sans route ni santé ni salaire. Des sociétés d’Etat ont rendu l’âme et d’autres à l’état pitoyable… Un désastre qui s’installe depuis l’ère Mwangaza-RDR. Des autorités qui ont abusé la gentillesse du feu, Said Mohamed Djohar, président de l’époque. Une période où le pouvoir se reposait dans les mains d’une secte.
Mais à l’ancrage de cette situation, on ne peut pas omettre la complicité des citoyens qui font rebondir ceux qui ont mis les Comores dans cette situation déplorable et qui leurs confient à nouveau des responsabilités… Les faucons du matin, deviennent les colombes de l’après-midi. Drôle de mémoire ! Et là, ils profitent de la naïveté du peuple, pour enfoncer le pays d’avantage. La situation actuelle et les dernières élections illustrent ce cas.
« Mitsoudje pris pour cible »
Depuis quelques jours, plus précisément, depuis le 9 février 2015, une opération baptisée journées « île morte » a été organisée par des comoriens, qui réclament « l’eau et l’électricité ». Une capitale quasiment désertée. Quelques milieux périphériques ont été témoins des barricades. Et la ville de Miitsoudje au Sud de « l’île morte » de Ngazidja, a été prise depuis ce jour du 9 février pour cible. Des murs d’une épicerie-buvette locale, privée ont été démolis avec l’ordre des autorités de l’Etat. Et le lendemain, le pire s’est invité inopinément dans cette cité.« Une histoire de trembo, (vin local), tournée au drame. Des militaires sans scrupules ont tiré à Balles réelles sur des contestataires, ne voulant pas que leurs frères soupçonnés du vol, soient embarqués dans la jeep des militaires présents. C’est ainsi que huit personnes ont été blessées étant canardés, dont quatre grave, dont Mmadi Halidi, Chanfioun Abdoulghafour, Alwafa… et Ousama. Ce dernier est dans un état plus que grave. Une situation qui ne laisse pas la ville de Mitsoudjé au repos. Quelques évacuations pour un soin à Madagascar ont commencé ce jeudi 12 février et une autre à destination de l’île de La réunion pour la semaine prochaine.
« Le silence complice des autorités »
Le plus inquiétant est qu’aucune autorité comorienne, qu’elle soit politique ou religieuse n’a levé son petit doigt pour condamner cet acte diabolique, moment où les victimes deviennent invalides. Dans un Etat de droit comme le notre… au moment où ces sont des unités de l’armée nationale qui ont commis cet acte d’atrocité, les autorités compétentes, notamment concernées… doivent impérativement fournir des explications. Mais voilà trois jours de l’acte, elles restent toujours de marbre.Une enquête doit être ouverte pour que l’on sache la réalité du fait. Le cas de Mitsoudje ne doit pas nous laisser indifférents. Nous devons tous nous sentir concernés. L’usage des armes à feu par le militaires comoriens en vers leurs frères, encore civiles… doit connaitre une fin car depuis que le commando mwassi a massacré la ville d’Ikoni, ceci devient un jeu chez nos militaires. C’est après avoir constaté le laxisme des autorités… et toujours protégés par ces mêmes autorités.