Mésentente (!) et sauve-qui-peut au sein du Parti de l'Entente comorienne (PEC). Les militants, sympathisants et adhérents du Parti ...
Mésentente (!) et sauve-qui-peut au sein du Parti de l'Entente comorienne (PEC).
Les militants, sympathisants et adhérents du Parti de l'Entente comorienne (PEC) ne souhaitent plus du leadership et de la caporalisation d'Ahmed Sambi sur leur organisation politique. C'est dommage pour eux, car apparemment il est déjà trop tard. La confiance n'est plus de mise entre le Parti Juwa d'Ahmed Sambi et Fahmi Saïd Ibrahim.
La mort tragique du PEC est devenue un phénomène politique irréversible. En plus, le torchon brûle désormais entre les presque frères Fahmi Saïd Ibrahim et Tocha Djohar. Ça va mal, très mal entre les deux hommes, qui se définissent comme deux frères… On disait qu'il y avait de la musique dans le bouillonnement du ruisseau. Quand le «PEC» de Fahmi Saïd Ibrahim et le Juwa d'Ahmed Sambi fusionnaient leurs leaders, à Épinay-sur-Seine en région parisienne le 11 janvier 2014, et à Nantes, toujours en janvier 2015, avant de fusionner les idées des deux partis, ou avant d'avertir les militants, les adhérents et les sympathisants, ça faisait danser pour les uns, ça faisait étonner pour les autres, et ça reste à jamais l'étourderie du leader Fahmi Saïd Ibrahim, au regard des passionnés de la chose politique comorienne.
Abdou Hamadi dit Mrimdu
Les militants, sympathisants et adhérents du Parti de l'Entente comorienne (PEC) ne souhaitent plus du leadership et de la caporalisation d'Ahmed Sambi sur leur organisation politique. C'est dommage pour eux, car apparemment il est déjà trop tard. La confiance n'est plus de mise entre le Parti Juwa d'Ahmed Sambi et Fahmi Saïd Ibrahim.
La mort tragique du PEC est devenue un phénomène politique irréversible. En plus, le torchon brûle désormais entre les presque frères Fahmi Saïd Ibrahim et Tocha Djohar. Ça va mal, très mal entre les deux hommes, qui se définissent comme deux frères… On disait qu'il y avait de la musique dans le bouillonnement du ruisseau. Quand le «PEC» de Fahmi Saïd Ibrahim et le Juwa d'Ahmed Sambi fusionnaient leurs leaders, à Épinay-sur-Seine en région parisienne le 11 janvier 2014, et à Nantes, toujours en janvier 2015, avant de fusionner les idées des deux partis, ou avant d'avertir les militants, les adhérents et les sympathisants, ça faisait danser pour les uns, ça faisait étonner pour les autres, et ça reste à jamais l'étourderie du leader Fahmi Saïd Ibrahim, au regard des passionnés de la chose politique comorienne.
Cf. Notre article du 21 septembre 2014: Syndrome des deux cadavres «Juwa-PEC»: Au cours de l'enterrement du Juwa, meurt le vivant «PEC» [mrimdu]. Ce serait se tromper que de voir dans les congrès du 11 janvier 2014, à Épinay-sur-Seine en région parisienne et à Nantes en janvier 2015 une alliance entre deux partis politiques «PEC» et Juwa, qui seraient appelés à négocier sur des idées et des programmes. Autant, nous sommes surpris de constater qu'il a fallu 11 mois au leader du «PEC», pour comprendre enfin que sa démarche entamée en janvier 2014 et renforcée en janvier 2015 avec Ahmed Sambi et le parti Juwa était une démarche fusionnelle et non une démarche d'alliance entre deux partis.
Quand nous avons eu le courage de dire à Maître Fahmi Saïd Ibrahim qu'il allait vers une fusion mortelle de son parti, il nous disait avec arrogance que nous n'avons aucun sens de l'analyse. Aujourd'hui, hélas, il ne peut que constater la dure réalité. Le «PEC» n'existe presque plus et c'est le sauve-qui-peut dans ses rangs. D'ailleurs, la crise est profonde entre le n°1 Fahmi Saïd Ibrahim et le n°2 Tocha Djohar. Entre eux, l'incendie a déjà la chair et l'os. Il ne reste plus que la peau qui empêche les Comoriens de constater les incommensurables dommages. Il est fort probable que le soir même du 22 janvier 2015, ça va exploser.
Certes les concernés vont nier parce que nous sommes entre les deux tours, comme Fahmi Saïd Ibrahim avait nié la fusion Juwa-PEC, avant de le confirmer lui-même à Nantes en janvier 2015. En attendant, Mrimdu confirme qu'entre Fahmi Saïd Ibrahim et son suppléant Tocha Djohar, le torchon brûle. Ce qui est malheureux, parce que non seulement le PEC n'a pas les moyens pour s'imposer au soleil Juwa, mais en plus, il ne peut plus se retirer du Juwa. Ou alors, Fahmi Saïd Ibrahim ne sera plus le leader du PEC. Qui vivra verra.
Abdou Hamadi dit Mrimdu