La Plateforme africaine pour le développement et les droits humains (Pladh) appelle toutes les associations Africaines, la société civile, l...
La Plateforme africaine pour le développement et les droits humains (Pladh) appelle toutes les associations Africaines, la société civile, les défenseurs des droits humains à un grand rassemblement, le vendredi 24 janvier à Dakar et dans toutes les autres capitales africaines pour dire «Je suis Africain», «Je suis Nigérian», «Je suis Camerounais», «Je suis kenyan»…, peut-on lire dans un communiqué rendu public ce lundi.
Ainsi, les initiateurs ont «constaté avec amertume la vague de contestation qui a eu lieu à Paris et ayant mobilisé plus de 50 Chefs d’Etats dont six présidents Africains (MackySall, Yayi Boni, Faure Gnassimbé, Ibrahime Boubacar Keita, Denis SassouNguesso et Aly Bongo).
Au même moment, souligne la Pladh, l’Afrique comptait ses morts. La veille de cette marche dite républicaine plus de dix personnes ont été massacrées au Nigéria. Des massacres qui viennent s’ajouter aux 4900 morts enregistrés dans ce même pays d’Afrique depuis mai 2009.
Ainsi, il s’agira pour les organisateurs, «de dire non à l’impérialisme galopante de la France, mais aussi et surtout pour se solidariser avec le peuple africain. Car les morts de «Charlie Hebdo» ne sont pas plus importants que ceux de l’Afrique ramassés par dizaine ou par centaine au nord Mali, au Nigéria, en Centrafrique, au Soudan, au Kenya, entre autres».
Lu sur leral.fr
Ainsi, les initiateurs ont «constaté avec amertume la vague de contestation qui a eu lieu à Paris et ayant mobilisé plus de 50 Chefs d’Etats dont six présidents Africains (MackySall, Yayi Boni, Faure Gnassimbé, Ibrahime Boubacar Keita, Denis SassouNguesso et Aly Bongo).
Au même moment, souligne la Pladh, l’Afrique comptait ses morts. La veille de cette marche dite républicaine plus de dix personnes ont été massacrées au Nigéria. Des massacres qui viennent s’ajouter aux 4900 morts enregistrés dans ce même pays d’Afrique depuis mai 2009.
Ainsi, il s’agira pour les organisateurs, «de dire non à l’impérialisme galopante de la France, mais aussi et surtout pour se solidariser avec le peuple africain. Car les morts de «Charlie Hebdo» ne sont pas plus importants que ceux de l’Afrique ramassés par dizaine ou par centaine au nord Mali, au Nigéria, en Centrafrique, au Soudan, au Kenya, entre autres».
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