Les Comores vers les contradictions de la loi scélérate sur la mort subite des partis Et si finalement, Abdou Hamadi dit « Mrimdu » avait r...
Les Comores vers les contradictions de la loi scélérate sur la mort subite des partis
Et si finalement, Abdou Hamadi dit «Mrimdu» avait raison? Notre grand blogueur national vient de soulever un problème juridique et politique d’une grande importance: celui des formations partisanes qui n’ont déposé des candidatures à la députation qu’à la Grande-Comore et qui, sur le plan légal, devront fermer boutique, puisqu’elles doivent avoir des élus sur toutes les îles de l’Union des Comores pour continuer d’exister légalement. En s’attaquant au sujet, Abdou Hamadi a pris un malin plaisir à verser du kérosène mélangé à de l’acide, du piment, de l’ail et du citron sur le RIDJA de Maître Saïd Larifou et sur le Parti de l’Entente comorienne (PEC) de Maître Fahmi Saïd Ibrahim, comme pour évacuer une petite haine personnelle ou pour vider de vieilles querelles personnelles. Pourtant, ceux qui le connaissent savent qu’Abdou Hamadi est un homme foncièrement bon, objectif et honnête.
Il a exprimé les choses d’une manière un peu abrupte, péremptoire, virile et rugueuse, mais pour poser un vrai problème, un problème juridique et politique: faudra-t-il dissoudre des partis politiques qui auraient des Députés à l’Assemblée de l’Union des Comores, mais des Députés qui ne seraient pas issus de toutes les îles de la République des Comores? Pourra-t-on forcer ces élus à intégrer des partis politiques de substitution, par défaut? Devra-t-on chasser ces Députés de l’Assemblée de l’Union des Comores? La question présente un très grand intérêt, qui n’est pas qu’intellectuel, rhétorique et académique. La réponse à la question renvoie les Comores à une loi inintelligente, scélérate et liberticide. Ce qui frappe le plus en ce qui concerne cette loi sur les partis politiques, c’est qu’on comprend très vite qu’elle a été élaborée par des Députés qui n’ont aucune notion de Droit constitutionnel (notamment comparé) et de Science politique. Ça saute aux yeux. Il faudra donc que le législateur comorien explique aux Comoriens ce qu’il compte faire de ces partis politiques qui auront des élus mais pas sur toutes les îles. Va-t-il pousser la bêtise jusqu’à demander à l’Union pour le Développement des Comores (UPDC) ou «Rats des Comores», le «parti cocotte-minute» du Président Ikililou Dhoinine, et le Parti des Consanguins et de la Consanguinité politique d’Ahmed Sambi, de fusionner, au cas fort probable où ils feront un flop prévisible, sauf si le pouvoir politique actuel organise la fraude électorale massive pour les «Rats des Comores»? Soyons sérieux!
Il est certain que le caractère artificiel, insulaire, unipersonnel, familial et folklorique de la plupart des partis politiques comoriens agace les Comoriens. Mais, ces organisations politiques sans consistance, ni vision d’État, ni réel dessein politique dérangent qui alors qu’elles n’existent pas de manière effective? Elles n’existent que pour la frime et le décor. Pourquoi «tuer un cadavre déjà mort»? Cette redondance est nécessaire pour expliquer le caractère sui generis et ubuesque de la situation. Une fois de plus, le législateur comorien a manqué de rigueur et de sérieux, et a péché par légèreté. Ce législateur comorien présente toutes les caractéristiques d’un marmouset. Le diplomate Alloui Saïd Abasse s’interroge sur le fait qu’à ce jour, aucun parlementaire comorien n’a laissé son nom à une loi intéressante et d’envergure, comme c’est le cas dans d’autres régimes politiques, plus sérieux, où les Députés et les Sénateurs prennent une part dans l’élaboration de nombreuses lois aussi intéressantes les unes que les autres.
Tout au plus, constate-t-on que les rares parlementaires comoriens qui proposent des lois font dans l’intolérance, comme c’est le cas de cet hurluberlu prétendument «islamiste» qui veut légiférer sur la tenue vestimentaire féminine, pour obliger la femme comorienne à enfermer sa tête dans un grillage et dans une bâche, soit dans l’insignifiance, comme c’est le cas du Docteur Abdou Djabir, qui n’a rien trouvé de mieux que de proposer une loi sur l’École coranique, alors que l’École coranique comorienne a toujours fonctionné sans problèmes, sauf dans le cas des écoles de l’intolérance et de la sous-traitance du terrorisme à venir ouvertes même en sous-main aux Comores par Ahmed Sambi, du Caporal crypto-sambiste Bourhane Hamidou et Hamidou Karihila, les sous-marins des Talibans. Qu’attendre donc des Députés comoriens? Rien. Alors, quand ils se mettent à tuer la vie politique par l’assassinat des partis politiques, ils sont dans leur rôle. Cette loi scélérate est une recette à la fraude, et tout sera fait pour placer en orbite l’UPDC, en usant de l’argent du peuple et de la fraude électorale, même si on sait que le Parti des Consanguins et de la Consanguinité politique d’Ahmed Sambi ne constitue une menace que pour lui-même, surtout depuis que le Gouverneur Anissi Chamssidine d’Anjouan a décidé de renforcer ses relations avec le Président Ikililou Dhoinine et fuir le camp de l’injure, du racisme et de la haine, les mamelles d’Ahmed Sambi. En tout état de cause, les Comoriens pourront ricaner quand ils verront les partis politiques des promoteurs de la loi scélérate disparaître en février 2015, quand ces carcans seront incapables d’obtenir le nombre d’élus fixés par la Loi.
Par ARM
© www.lemohelien.com – Dimanche 14 décembre 2014.
Et si finalement, Abdou Hamadi dit «Mrimdu» avait raison? Notre grand blogueur national vient de soulever un problème juridique et politique d’une grande importance: celui des formations partisanes qui n’ont déposé des candidatures à la députation qu’à la Grande-Comore et qui, sur le plan légal, devront fermer boutique, puisqu’elles doivent avoir des élus sur toutes les îles de l’Union des Comores pour continuer d’exister légalement. En s’attaquant au sujet, Abdou Hamadi a pris un malin plaisir à verser du kérosène mélangé à de l’acide, du piment, de l’ail et du citron sur le RIDJA de Maître Saïd Larifou et sur le Parti de l’Entente comorienne (PEC) de Maître Fahmi Saïd Ibrahim, comme pour évacuer une petite haine personnelle ou pour vider de vieilles querelles personnelles. Pourtant, ceux qui le connaissent savent qu’Abdou Hamadi est un homme foncièrement bon, objectif et honnête.
Il a exprimé les choses d’une manière un peu abrupte, péremptoire, virile et rugueuse, mais pour poser un vrai problème, un problème juridique et politique: faudra-t-il dissoudre des partis politiques qui auraient des Députés à l’Assemblée de l’Union des Comores, mais des Députés qui ne seraient pas issus de toutes les îles de la République des Comores? Pourra-t-on forcer ces élus à intégrer des partis politiques de substitution, par défaut? Devra-t-on chasser ces Députés de l’Assemblée de l’Union des Comores? La question présente un très grand intérêt, qui n’est pas qu’intellectuel, rhétorique et académique. La réponse à la question renvoie les Comores à une loi inintelligente, scélérate et liberticide. Ce qui frappe le plus en ce qui concerne cette loi sur les partis politiques, c’est qu’on comprend très vite qu’elle a été élaborée par des Députés qui n’ont aucune notion de Droit constitutionnel (notamment comparé) et de Science politique. Ça saute aux yeux. Il faudra donc que le législateur comorien explique aux Comoriens ce qu’il compte faire de ces partis politiques qui auront des élus mais pas sur toutes les îles. Va-t-il pousser la bêtise jusqu’à demander à l’Union pour le Développement des Comores (UPDC) ou «Rats des Comores», le «parti cocotte-minute» du Président Ikililou Dhoinine, et le Parti des Consanguins et de la Consanguinité politique d’Ahmed Sambi, de fusionner, au cas fort probable où ils feront un flop prévisible, sauf si le pouvoir politique actuel organise la fraude électorale massive pour les «Rats des Comores»? Soyons sérieux!
Il est certain que le caractère artificiel, insulaire, unipersonnel, familial et folklorique de la plupart des partis politiques comoriens agace les Comoriens. Mais, ces organisations politiques sans consistance, ni vision d’État, ni réel dessein politique dérangent qui alors qu’elles n’existent pas de manière effective? Elles n’existent que pour la frime et le décor. Pourquoi «tuer un cadavre déjà mort»? Cette redondance est nécessaire pour expliquer le caractère sui generis et ubuesque de la situation. Une fois de plus, le législateur comorien a manqué de rigueur et de sérieux, et a péché par légèreté. Ce législateur comorien présente toutes les caractéristiques d’un marmouset. Le diplomate Alloui Saïd Abasse s’interroge sur le fait qu’à ce jour, aucun parlementaire comorien n’a laissé son nom à une loi intéressante et d’envergure, comme c’est le cas dans d’autres régimes politiques, plus sérieux, où les Députés et les Sénateurs prennent une part dans l’élaboration de nombreuses lois aussi intéressantes les unes que les autres.
Tout au plus, constate-t-on que les rares parlementaires comoriens qui proposent des lois font dans l’intolérance, comme c’est le cas de cet hurluberlu prétendument «islamiste» qui veut légiférer sur la tenue vestimentaire féminine, pour obliger la femme comorienne à enfermer sa tête dans un grillage et dans une bâche, soit dans l’insignifiance, comme c’est le cas du Docteur Abdou Djabir, qui n’a rien trouvé de mieux que de proposer une loi sur l’École coranique, alors que l’École coranique comorienne a toujours fonctionné sans problèmes, sauf dans le cas des écoles de l’intolérance et de la sous-traitance du terrorisme à venir ouvertes même en sous-main aux Comores par Ahmed Sambi, du Caporal crypto-sambiste Bourhane Hamidou et Hamidou Karihila, les sous-marins des Talibans. Qu’attendre donc des Députés comoriens? Rien. Alors, quand ils se mettent à tuer la vie politique par l’assassinat des partis politiques, ils sont dans leur rôle. Cette loi scélérate est une recette à la fraude, et tout sera fait pour placer en orbite l’UPDC, en usant de l’argent du peuple et de la fraude électorale, même si on sait que le Parti des Consanguins et de la Consanguinité politique d’Ahmed Sambi ne constitue une menace que pour lui-même, surtout depuis que le Gouverneur Anissi Chamssidine d’Anjouan a décidé de renforcer ses relations avec le Président Ikililou Dhoinine et fuir le camp de l’injure, du racisme et de la haine, les mamelles d’Ahmed Sambi. En tout état de cause, les Comoriens pourront ricaner quand ils verront les partis politiques des promoteurs de la loi scélérate disparaître en février 2015, quand ces carcans seront incapables d’obtenir le nombre d’élus fixés par la Loi.
Par ARM
© www.lemohelien.com – Dimanche 14 décembre 2014.