Les retards de la reprise du site "Galawa" sont dus par une situation politique incendiaire voulue par Ahmed Sambi envers les pa...
Les retards de la reprise du site "Galawa" sont dus par une situation politique incendiaire voulue par Ahmed Sambi envers les pays censés exécuter ce projet.
Le journal Alwatwan, a publié ce lundi 24 novembre 2014, un article intitulé « Développement touristique : vers une reprise du Galawa par le fonds qatari pour le développement ? ». Une source dite proche du dossier « Galawa » évoque deux raisons qui pourraient expliquer les retards de la reprise du site. Ces supposées raisons, suscitent mon droit de réponse étant citoyen comorien.
Le plus grand complexe hôtelier du pays Le « Galawa Beach » a été détruit sans assurance. La reprise de ce site par « la Qatar national Hotels Compagny » est longtemps resté en veilleuse pour des raisons que nous connaissons véritablement. Contrairement à ce que dit la source du journal Alwatwan, les retards constatés ne sont pas dus, ni de la faiblesse de la partie comorienne, ni du litige sur le prêt de la banque de développement sud-africaine, mais plutôt à une situation politique incendiaire voulue et entretenue par l'ancien raïs Ahmed Sambi envers les pays censés exécuter ce projet, en l'occurrence le Qatar et les Emirats-Arabes. pourtant la conférence de Doha était (l'alfa et l'oméga du gouvernement Sambi).
« Le dossier sur la reprise du site Galawa par la Qatar national Hotels Compagny, devenu depuis Katara Hospitality, est longtemps resté en veilleuse pour des raisons que nous ignorons. Et pourtant, en mars 2011, le comité arabe pour le développement et l'investissement en Union des Comores avait annoncé que les appels d'offres internationaux allaient être lancés fin du moi de mars pour solliciter les entreprises qui assureront les travaux de construction du complexe hôtelier », nous rappelle Kamardine Soulé, journaliste à Alwatwan. Ce journaliste évoque une source proche du dossier du site Galawa, qui avance deux raisons pour justifier les retards constatés dans ce dossier. Selon cette source dite proche du dossier, deux raisons pourraient expliquer les retards constatés : « Le dossier traîne à cause de la faiblesse de la partie comorienne ». Mais il pourrait exister, croit-il savoir, « une autre raison, qui est le litige sur le prêt de la banque de développement sud-africaine. L’État comorien et le groupe Sun International, qui exploitait l'hôtel Galawa, ne se sont jamais entendu sur qui va payer ce prêt ».
Je pense que la source du journaliste nous cache sciemment la vérité, mais de deux choses une : La plus probable, la source qui avance « ces deux raisons » n'a pas voulu dire la vérité aux comoriens, par peur de froisser des gens. Ou alors, cette source ignore complètement la conjoncture de la période « Mars-Avril 2011 ».
En mars 2011, dans la capitale comorienne Moroni, a eu lieu la première réunion de suivi de la conférence de Doha. La partie comorienne et le Comité arabe se sont mis d'accord sur trois dossiers : le projet pêche à Ngazidja, le projet pour le tourisme à Mohéli et enfin le projet de l'agriculture à Ndzuwani. Le Qatar est chargé de l'exécution.
En avril 2011, oubliant que l'intérêt du pays passe avant l'intérêt personnel, Ahmed Sambi a déclaré publiquement son soutien au guide libyen sachant la décision de la ligue Arabe, sachant aussi, que le Qatar et les Émirats arabes unis ont envoyé 18 avions de chasses pour renforcer la coalition occidentale. Ce jour-la, c'est-à-dire un mois après la première réunion de suivi de la conférence de Doha, le raïs Sambi a coupé les liens avec les Émirats arabes unis, il a coupé les liens avec le Qatar. Il est devenu depuis, un obstacle pour s'approcher à ces pays amis. Vous avez compris qu'après cette rupture, il n'en reste rien de rien, de la conférence de Doha. Vous avez compris aussi, qu'il ne pouvait pas y avoir un suivi du dossier Galawa, même si des appels d'offres internationaux étaient sur le point d'être lancés pour solliciter les entreprises pour les travaux de construction du Galawa Beach.
Oui, Ahmed Sambi a initié la conférence de Doha (très bonne chose), mais il a mit les pieds dans le plat, un mois après la première réunion de suivi de ladite conférence. Il a rompu avec le Qatar. Après ça, qu'est ce que les comoriens attendaient de la conférence de Doha ? Rien.
Le journal Alwatwan, a publié ce lundi 24 novembre 2014, un article intitulé « Développement touristique : vers une reprise du Galawa par le fonds qatari pour le développement ? ». Une source dite proche du dossier « Galawa » évoque deux raisons qui pourraient expliquer les retards de la reprise du site. Ces supposées raisons, suscitent mon droit de réponse étant citoyen comorien.
Le plus grand complexe hôtelier du pays Le « Galawa Beach » a été détruit sans assurance. La reprise de ce site par « la Qatar national Hotels Compagny » est longtemps resté en veilleuse pour des raisons que nous connaissons véritablement. Contrairement à ce que dit la source du journal Alwatwan, les retards constatés ne sont pas dus, ni de la faiblesse de la partie comorienne, ni du litige sur le prêt de la banque de développement sud-africaine, mais plutôt à une situation politique incendiaire voulue et entretenue par l'ancien raïs Ahmed Sambi envers les pays censés exécuter ce projet, en l'occurrence le Qatar et les Emirats-Arabes. pourtant la conférence de Doha était (l'alfa et l'oméga du gouvernement Sambi).
Qu'on se le dise, yeux dans les yeux !
« Le dossier sur la reprise du site Galawa par la Qatar national Hotels Compagny, devenu depuis Katara Hospitality, est longtemps resté en veilleuse pour des raisons que nous ignorons. Et pourtant, en mars 2011, le comité arabe pour le développement et l'investissement en Union des Comores avait annoncé que les appels d'offres internationaux allaient être lancés fin du moi de mars pour solliciter les entreprises qui assureront les travaux de construction du complexe hôtelier », nous rappelle Kamardine Soulé, journaliste à Alwatwan. Ce journaliste évoque une source proche du dossier du site Galawa, qui avance deux raisons pour justifier les retards constatés dans ce dossier. Selon cette source dite proche du dossier, deux raisons pourraient expliquer les retards constatés : « Le dossier traîne à cause de la faiblesse de la partie comorienne ». Mais il pourrait exister, croit-il savoir, « une autre raison, qui est le litige sur le prêt de la banque de développement sud-africaine. L’État comorien et le groupe Sun International, qui exploitait l'hôtel Galawa, ne se sont jamais entendu sur qui va payer ce prêt ».
Je pense que la source du journaliste nous cache sciemment la vérité, mais de deux choses une : La plus probable, la source qui avance « ces deux raisons » n'a pas voulu dire la vérité aux comoriens, par peur de froisser des gens. Ou alors, cette source ignore complètement la conjoncture de la période « Mars-Avril 2011 ».
En mars 2011, dans la capitale comorienne Moroni, a eu lieu la première réunion de suivi de la conférence de Doha. La partie comorienne et le Comité arabe se sont mis d'accord sur trois dossiers : le projet pêche à Ngazidja, le projet pour le tourisme à Mohéli et enfin le projet de l'agriculture à Ndzuwani. Le Qatar est chargé de l'exécution.
Qu'est ce qui s'est passé entre « Mars 2011 et Avril 2011 ? ».
En avril 2011, oubliant que l'intérêt du pays passe avant l'intérêt personnel, Ahmed Sambi a déclaré publiquement son soutien au guide libyen sachant la décision de la ligue Arabe, sachant aussi, que le Qatar et les Émirats arabes unis ont envoyé 18 avions de chasses pour renforcer la coalition occidentale. Ce jour-la, c'est-à-dire un mois après la première réunion de suivi de la conférence de Doha, le raïs Sambi a coupé les liens avec les Émirats arabes unis, il a coupé les liens avec le Qatar. Il est devenu depuis, un obstacle pour s'approcher à ces pays amis. Vous avez compris qu'après cette rupture, il n'en reste rien de rien, de la conférence de Doha. Vous avez compris aussi, qu'il ne pouvait pas y avoir un suivi du dossier Galawa, même si des appels d'offres internationaux étaient sur le point d'être lancés pour solliciter les entreprises pour les travaux de construction du Galawa Beach.
Oui, Ahmed Sambi a initié la conférence de Doha (très bonne chose), mais il a mit les pieds dans le plat, un mois après la première réunion de suivi de ladite conférence. Il a rompu avec le Qatar. Après ça, qu'est ce que les comoriens attendaient de la conférence de Doha ? Rien.
Par Mrimdu
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